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    Socotra : l'île des plantes aliens

    Socotra : l'île des plantes aliens

    Socotra est une île située au large du Yémen. Son isolement est tel qu'environ 30% de la flore y est endémique. Elle a été surnommée "l'île des aliens".

    A l'image des Galapagos, Socotra est une île restée longtemps très isolée. On y trouve un grand nombre d'espèces végétales endémiques, c'est à dire propre à l'île. Les voyageurs qui s'y sont rendus s'accordent à dire qu'elle dégage une beauté "extra-terrestre".

    Bing.

    Découvrez les drôles d'aliens qui peuplent l'île :

    1. Le dragonnier de Socotra, Dracaena cinnabari

    Un arbre qui semble pousser à l'envers, les racines vers le ciel. Il produit de la résine écarlate appelée "sang-dragon" qui sert dans la préparation de certains médicaments.

    2. La rose du désert ou Adenium Obesium

    Aux allures de bonhomme tout rond, parsemé de fleurs roses. Coquet, l'Adenium Obesium ?

    3. L'Arbre à concombre ou Dendrosicyos Socotrana

    Et son fruit.

    Une forme de baobab.

    4. Le figuier de Socotra ou Dorstenia Gigas

    Qui ressemble étonnement à un éléphant.

    5. Un echidnopsis inconspicua en fleurs

    Petit monstre caché dans le recoin d'une rocaille.

    6. L'Aloé Jawiyon

    Un vrai monstroplante !

    7. L'Euphorbia Spiralis

    Qui pousse parfois, en forme de spirales.

    8. La fleur pourpre d'une succulente


    Une dernière de l'île pour finir :

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  • Le syndrome des jambes sans repos (impatience dans les jambes)

     

    Le syndrome des jambes sans repos (impatience dans les jambes)

     

    Le syndrome des jambes sans repos, appelé aussi impatiences dans les jambes ou impatiences nocturnes, est un trouble neurologique qui cause un besoin irrépressible de bouger les jambes. Ce besoin naît d’un inconfort dans les membres inférieurs - fourmillements, picotements, sensations de brûlure -, dont l’intensité varie beaucoup d’une personne à l’autre. Ces sensations désagréables surviennent particulièrement durant les périodes de détente ou d'inactivité. Par conséquent, il peut être très difficile de simplement se reposer, ou encore de rester assis pour assister à une réunion ou de voyager en avion, par exemple.

     

    Puisque les symptômes ont tendance à s’aggraver le soir et la nuit, l'assoupissement est plus ardu. L’insomnie chronique qui peut en résulter entraîne fatigue et somnolence durant le jour, altérant énormément la qualité de vie. Certaines personnes racontent même avoir la sensation, au réveil, d’avoir marché toute la nuit.

     

    Le syndrome des jambes sans repos est mieux connu en médecine depuis le début des années 1980. Mais, il a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale en 1945.

     

    Qui est touché?

     

    En Amérique du Nord et en France, environ 1 personne sur 10 souffre du syndrome des jambes sans repos. Selon des études épidémiologiques, il serait plus fréquent dans certaines populations : c’est le cas des Italiens du Nord et des Canadiens français (1). Au Québec, environ 15 % des gens sont atteints de ce syndrome (2). Cela est attribuable à une anomalie génétique, transmise d’une génération à l’autre.

     

    Les hommes et les femmes sont à peu près également touchés quoique les femmes le seraient légèrement plus, selon des études.

     

    Le syndrome des jambes sans repos est plus fréquent à partir de 45 ans, mais survient à un plus jeune âge lorsqu’il y a une prédisposition héréditaire (habituellement dans la vingtaine). Les enfants peuvent aussi en être atteints, mais cela demeure exceptionnel.

     

    Causes

     

    Pour la majorité des cas, la cause reste inconnue. Sur le plan physiologique, on sait qu’il s’agit d’un trouble neurologique qui impliquerait un manque de dopamine dans le cerveau et la moelle épinière. La dopamine est un composé chimique important qui permet aux nerfs de communiquer entre eux et de réguler les mouvements.

     

    Voici quelques causes possibles.

     

    Une prédisposition héréditaire. Au Québec, environ 1 cas sur 2 de syndrome des jambes sans repos survient chez des personnes qui sont prédisposées à cette maladie dès la naissance (10).

     

    Une carence en fer. Le manque de fer pourrait entraver la production de dopamine, même si la carence n’est pas suffisante pour parler d’anémie. Le fer est impliqué dans la production de dopamine dans le cerveau.

     

    Une maladie chronique : le diabète, une insuffisance rénale (4 patients sur 10 en dialyse en souffrent (10), la fibromyalgie ou la polyarthrite rhumatoïde pourraient contribuer au syndrome des jambes sans repos. Mais la plupart du temps, le syndrome des jambes sans repos survient en l’absence d’une autre maladie.

     

    La grossesse. Elle peut déclencher les symptômes, surtout durant le dernier trimestre, ou les aggraver. Dans le premier cas, ceux-ci ont tendance à disparaître dans les 2 semaines suivant l’accouchement.

     

    Une carence en acide folique (vitamine B9).

     

    La prise de certains médicaments, comme les antidépresseurs tricycliques, le lithium, les antinauséeux et les antipsychotiques.

    La caféine.

     

     

    Évolution

     

    Le syndrome tend à s’aggraver avec l’âge. Les symptômes initialement ressentis dans les mollets, par exemple, peuvent s’étendre aux cuisses, et survenir plus souvent. Dans les formes plus graves de la maladie, les bras peuvent aussi être atteints. Certaines personnes arrivent à très bien contrôler le syndrome en modifiant leurs habitudes de vie. Des cas de rémission spontanée ont été décrits (10).

     

    Mentionnons que le syndrome des jambes sans repos n’augmenterait pas le risque de maladie de Parkinson, bien qu’il s’agisse aussi d’un problème de dopamine.

     

    Diagnostic

     

    Pour poser un diagnostic, le médecin se base sur la description des symptômes, l’histoire médicale et les antécédents familiaux. Certains tests musculaires ou sanguins (taux de ferritine, d’hémoglobine, d’acide folique, de vitamine B12, de glucose et de créatinine) sont parfois suggérés. Si nécessaire, le médecin propose de consulter un neurologue. Celui-ci pourra, au besoin, observer au polygraphe la qualité du sommeil durant une nuit passée dans un centre d’étude du sommeil.

     

    N’hésitez pas à consulter!

     

    Certaines personnes n’osent pas consulter un médecin, car elles banalisent leurs symptômes ou croient qu’elles ne seront pas prises au sérieux. De nos jours, il existe des moyens efficaces de les soulager. Pour votre premier rendez-vous, ayez en main un journal décrivant vos symptômes et les moments où ils se manifestent.

     

    Les symptômes du syndrome des jambes sans repos (impatience dans les jambes)

     

    Les 4 états suivants doivent être réunis, d’après les critères de l’International Restless Legs Syndrome Study Group (3).

     

    Un besoin de bouger les jambes, habituellement accompagné et parfois causé par des sensations désagréables dans les jambes (des picotements, des fourmillements, des démangeaisons, de la douleur, etc.).

     

    Ce besoin de bouger apparaît (ou s’aggrave) durant les périodes de repos ou d’inactivité, généralement en position assise ou couchée.

     

    Les symptômes s’accentuent le soir et la nuit.

     

    Un soulagement survient lorsqu’on bouge les jambes (marcher, s'étirer, plier les genoux) ou qu’on les masse.

     

    Remarques

     

    Les symptômes viennent par périodes, qui durent de quelques minutes à quelques heures.

     

    Le syndrome s’accompagne souvent d’insomnie chronique, donc d’une grande fatigue durant le jour.

     

    Durant la nuit, pour des raisons qu’on ignore, le syndrome s’accompagne, dans environ 80 % des cas, de mouvements involontaires des jambes, aux 10 à 60 secondes. Ceux-ci rendent le sommeil léger. À ne pas confondre avec les crampes nocturnes qui, elles, sont douloureuses.

     

    Remarque. La majorité des personnes ayant des mouvements périodiques des jambes durant leur sommeil ne sont pas atteintes d’un syndrome des jambes sans repos. Ces mouvements périodiques peuvent se manifester de façon isolée.

     

    Les symptômes touchent généralement les deux jambes, mais il arrive qu’une seule le soit.

     

    Parfois, les bras sont aussi touchés.

     

    Les personnes à risque, les facteurs de risque et la prévention du syndrome des jambes sans repos (impatience dans les jambes)

     

    Personnes à risque

     

    Les personnes dont un membre de la famille proche est atteint du syndrome des jambes sans repos. Selon les résultats d’une étude menée auprès de 249 Québécois, chez les frères et soeurs des patients atteints, le risque relatif de souffrir du syndrome était multiplié par 3,69.

     

    Facteurs de risque

     

    Aucun facteur de risque n’est connu. Voir les causes possibles énumérées précédemment.

     

    Prévention

     

    Peut-on prévenir?

     

    Comme les causes du syndrome des jambes sans repos sont mal connues, il n’existe pas de moyen reconnu de le prévenir.

     

    Néanmoins, puisque certaines carences en nutriments essentiels (fer, acide folique, vitamine B12) semblent contribuer au syndrome, on peut mettre toutes les chances de son côté en ayant une alimentation variée qui comble nos besoins nutritifs. En cas de doute, consulter un médecin afin de diagnostiquer toute carence. Consulter aussi la fiche Nutrition, de même que les fiches Fer, Acide folique et Vitamine B12 pour connaître les symptômes liés aux carences et leurs sources alimentaires.

     

    Par ailleurs, les personnes atteintes d’une maladie comme le diabète ou l’arthrite rhumatoïde peuvent réduire leur risque en suivant activement leur traitement.

     

     

    Mesures pour prévenir les périodes de symptômes et leur aggravation

     

    Certaines habitudes de vie ont tendance à déclencher et à aggraver les symptômes, pour la majorité des personnes atteintes. En les modifiant, on peut diminuer les symptômes. Cela devrait faire partie intégrante de l’approche thérapeutique.

     

    Avoir une alimentation saine et diversifiée afin de combler les besoins du corps en nutriments.

     

    Diminuer le plus possible la consommation de caféine, par exemple de café, de thé, de cola et de chocolat. Certaines personnes ont rapporté avoir réglé leur problème de cette façon. On peut tenter l’expérience durant quelques semaines et observer la différence (4).

     

    Diminuer la consommation d’alcool et de tabac, qui semble aussi exacerber les symptômes.

     

    Pratiquer l’exercice physique de façon régulière et modérée contribue à la qualité du sommeil et peut aussi calmer les symptômes. Dans le cadre d’une étude clinique aléatoire, la diminution des symptômes a été notée dès la 6e semaine du programme d’entraînement (3 séances par semaine) et a été maintenue jusqu’à la fin de l’étude (3 mois) (11).

     

    Apprendre à mieux combattre le stress. La fatigue et le stress contribuent parfois au syndrome. Voyez la section Approches complémentaires, et le dossier Le stress et l’anxiété pour un aperçu global des solutions possibles.

     

    Créer un environnement propice au sommeil. Si vous cherchez des trucs pour mieux dormir, consultez notre dossier Avez-vous bien dormi?

     

    Certains médicaments peuvent aggraver les symptômes. Ce serait le cas, par exemple, d’antidépresseurs et de bronchodilatateurs. Renseignez-vous auprès de votre médecin.

     

    Les traitements médicaux du syndrome des jambes sans repos

     

    Certaines personnes n’osent pas consulter un médecin, croyant leurs symptômes mineurs et impossibles à soigner. Toutefois, il arrive que la cause puisse être découverte et traitée. Par ailleurs, il existe plusieurs moyens, médicamenteux ou pas, de soulager les symptômes et de retrouver ainsi une vie plus satisfaisante.

     

    Traitement de la cause

     

    Le médecin tente d’abord de découvrir la cause et la traiter. Par exemple, en cas d’anémie, la prise de suppléments de fer peut régler le problème. Même chose en cas de carence en acide folique. Si les symptômes sont attribuables à la prise d’un médicament, le médecin en proposera un autre. Chez les personnes atteintes d’insuffisance rénale chronique et qui sont sous dialyse, les symptômes disparaissent souvent à la suite d’une greffe rénale.

     

    Malheureusement, le traitement de la cause n’est pas toujours possible. Si la cause est génétique, il est néanmoins possible d’éliminer les facteurs aggravants.

     

    Habitudes de vie

     

    Dans le cas où les symptômes sont légers à modérés et ne perturbent pas trop la vie de tous les jours, plusieurs personnes parviennent à réduire l’intensité et la fréquence de leurs symptômes en modifiant certaines habitudes de vie. Il faut d’abord être attentif aux circonstances qui entourent les moments d’absence et d’exacerbation des symptômes, et ensuite adapter sa vie en conséquence. Voir la section Prévention pour connaître quelques pistes.

     

    Médicaments

     

    Lorsque l’insomnie nuit considérablement aux activités durant le jour (et c’est généralement le cas si 2 nuits ou plus par semaine sont perturbées), les médecins peuvent prescrire divers médicaments. Aucun d’entre eux ne traite le syndrome de manière spécifique. Cependant, ils peuvent aider à mieux dormir, à diminuer la gravité des symptômes et à minimiser les mouvements involontaires des jambes durant la nuit. Leur efficacité varie d’une personne à l’autre.

     

    Agents dopaminergiques. Il s’agit, en général, des premiers médicaments que l’on essaie. Ces médicaments, parfois appelés antiparkinsoniens, agissent en mimant l’action de la dopamine (agonistes de la dopamine), comme le pramipexole (Mirapex®), le pergolide (Permax®) et le ropinirole (ReQuip®). Les agents dopaminergiques sont consommés à faibles doses comparativement aux doses prescrites pour la maladie de Parkinson. Ils peuvent entraîner des effets indésirables, comme des nausées et des vomissements, ou encore dans certains cas accroître les symptômes du syndrome. Si c’est le cas, il faut en parler au médecin, qui corrigera le problème en ajustant la posologie ou en prescrivant un autre médicament.

     

    Anticonvulsivants. Dans les cas où le sommeil est régulièrement perturbé par des mouvements involontaires des jambes, un anticonvulsivant peut inhiber les neurones qui provoquent ces mouvements. Par exemple, la gabapentine (Neurontin®). Habituellement, ils sont utilisés seulement dans les cas où les agents dopaminergiques sont inefficaces.

     

    Sédatifs. Les sédatifs, comme les benzodiazépines (Clonazepam®, Diazepam®, Valium®, etc.), aident à mieux dormir et à soulager les symptômes durant la nuit. Ils sont souvent pris à l’heure du coucher. Ces médicaments créent cependant une accoutumance physique; leur effet thérapeutique s’atténue donc avec le temps. Les médecins y ont recours seulement dans certaines situations, pour une durée limitée.

     

    Analgésiques narcotiques. Si les symptômes sont insupportables et s’accompagnent de douleur, on peut avoir recours à des médicaments contre la douleur de type narcotiques (opioïdes). Par exemple, la codéine (seulement sous forme générique) et l’oxycodone (OxyContin®). Ces médicaments agissent dans le cerveau et la moelle épinière et entravent la transmission des messages de douleur. Leur effet est plus puissant que celui des analgésiques non narcotiques, tels les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) qui, eux, agissent localement.

     

    Conseils pour soulager les symptômes

     

     Lorsque les symptômes sont présents, les mesures suivantes apportent un soulagement immédiat, mais temporaire.

     

    Lorsque le besoin est ressenti, bouger les jambes, les étirer ou plier les genoux. Ne pas tenter de réprimer l’envie urgente de bouger.

     

    Pratiquer des automassages et de légers étirements, surtout le matin et le soir avant d’aller au lit.

     

    Prendre un bain chaud.

     

    Appliquer de la chaleur et du froid sur les muscles, en alternance.

     

    Prendre un analgésique, comme un anti-inflammatoire non stéroïdien obtenu en vente libre (de l’ibuprofène comme Advil® et Motrin®, du naproxen comme Anaprox® et Naproxen®, de l’acide acétylsalicylique comme Aspirine®, etc.).

     

    Garder son esprit occupé avec des activités qui demandent une attention particulière lorsqu’on doit rester assis longtemps (trajet en voiture, etc.).

     

    Syndrome des jambes sans repos - L’opinion de notre médecin

     

    Dans le cadre de sa démarche de qualité, Passeportsanté.net vous propose de découvrir l’opinion d’un professionnel de la santé. Le Dr Dominic Larose, urgentologue, vous donne son avis sur le syndrome des jambes sans repos :

     

    Le syndrome des jambes sans repos est « plaisant » à traiter. En effet, de nombreux patients qui en souffraient depuis des années ont vu leur qualité de vie s’améliorer avec un traitement approprié. Par ailleurs, la maladie cause souvent de la fatigue, alors vous pouvez certainement mettre votre médecin sur la piste en lui décrivant vos symptômes, si vous pensez souffrir du syndrome des jambes sans repos.

     

    Donnez une bonne chance à l’exercice modéré avant d’exiger des médicaments et résistez à l’envie de vous faire prescrire des somnifères ou des narcotiques. Sauf vraiment en dernier recours...

     

    Dr Dominic Larose, M.D.

     

    Révision médicale (octobre 2010) : Dr Dominic Larose, M.D., MCMFC (MU), ABEM

     

    Syndrome des jambes sans repos - Approches complémentaires

    En traitement

     

    Approches à considérer

    Acupression. Techniques de relaxation (méditation, yoga ou autre).

     

    En cas de carence en fer ou en acide folique, il peut être indiqué de prendre des suppléments alimentaires. Cette pratique nécessite toutefois une supervision médicale.

     

    Certains naturopathes recommandent la prise de suppléments de magnésium avant le coucher afin de diminuer les mouvements involontaires des jambes durant la nuit5. Seulement une étude non contrôlée (6,7) de faible envergure indique que les suppléments de magnésium peuvent soulager ce symptôme, même en l’absence d’une carence.

     

    On peut aussi tenter de limiter les périodes d’insomnie à l’aide de plantes médicinales ou de suppléments. Voir la section Approches complémentaires dans notre fiche Insomnie.

     

    Approches à considérer Acupression. Cette technique parente de l’acupuncture peut aider à soulager les symptômes dans les jambes (8). Elle consiste à appliquer des pressions sur différents points des méridiens afin de relâcher la douleur et les tensions musculaires. Voir nos fiches Jin Shin Do et Shiatsu.

     

    Approches à considérer Techniques de relaxation. À la Clinique Mayo, aux États-Unis, on recommande la pratique du yoga et de la méditation pour diminuer le stress. Les experts recommandent d’apprendre à relâcher les tensions nerveuses et musculaires, pour parvenir à un sommeil réparateur, particulièrement avant le coucher4. La Restless Legs Syndrome Foundation propose aussi d’intégrer des techniques de relaxation à son quotidien pour mieux vivre avec cette maladie8.

     

    Syndrome des jambes sans repos - Sites d’intérêt et groupes de soutien

     

    Pour en savoir plus au sujet du syndrome des jambes sans repos, Passeportsanté.net vous propose une sélection d’associations et de sites gouvernementaux traitant du sujet du syndrome des jambes sans repos. Vous pourrez ainsi y trouver des renseignements supplémentaires et contacter des communautés ou des groupes d’entraide vous permettant d’en apprendre davantage sur la maladie.

     

    Sites d'intérêt

     

    Canada

     

    Fondation Sommeil

    Cette association de personnes atteintes de trouble du sommeil, créée à Montréal en 1995, fournit des renseignements et propose diverses activités de soutien.

    www.fondationsommeil.com

     

    France

     

    Association Française des personnes affectées par le Syndrome des Jambes sans Repos

    Fiche maladie sur la maladie chez l'adulte et l'enfant ainsi que les traitements possibles.

    www.afsjr.fr

     

    Syndrome des jambes sans repos

    Le contenu médical de ce site a été rédigé par Jean Krieger, professeur à la clinique neurologique des Hôpitaux universitaires de Strasbourg en France.

    www.sjsr.fr

     

    États-Unis

     

    Restless Legs Syndrome Foundation

    Pour mieux comprendre la maladie, on y trouve des renseignements pour le grand public, mais aussi pour les professionnels de la santé (en anglais seulement).

    www.rls.org

     

     

    Groupes de soutien

     

    Consulter la liste des Groupes de soutien Syndrome des jambes sans repos.

     

    Recherche et rédaction : PasseportSanté.net

    Mise à jour : octobre 2010

     

     

    Syndrome des jambes sans repos - Références

    Références

     

    Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

     

    Bibliographie

     

    InteliHealth (Ed). Diseases and Conditions - Restless Legs Syndrome, Aetna Intelihealth. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.intelihealth.com

    Itin I, Comella CL. Restless legs syndrome. Prim Care. 2005 Jun;32(2):435-48. Review.

    Lespérance Paul, Dr. Le syndrome des jambes sans repos: une qualité de vie possible! Le clinicien, juillet 2005. Texte : www.stacommunications.com [Consulté le 5 octobre 2010].

    Mayo Foundation for Medical Education and Research (Ed). Diseases & Conditions -Restless Legs Syndrome, MayoClinic.com. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.mayoclinic.com

    National Library of Medicine (Ed). Medline Plus Health Information, Health topics - Restless legs, Medline plus. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.nlm.nih.gov

    National Library of Medicine (Ed). PubMed, NCBI. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.ncbi.nlm.nih.gov

    Natural Standard (Ed). Condition Center - Restless Legs Syndrome, Nature Medicine Quality Standards. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.naturalstandard.com

    Pizzorno JE Jr, Murray Michael T (Ed). Textbook of Natural Medicine, Churchill Livingstone, États-Unis, 2006.

    Syndrome des jambes sans repos. [Consulté le 5 octobre 2010]. www.sjsr.fr

    Restless Legs Syndrome Foundation. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.rls.org

    The Natural Pharmacist (Ed). Natural Products Encyclopedia, Conditions - Restless Legs Syndrome, ConsumerLab.com. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.consumerlab.com

    UpToDate. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.uptodate.com

     

    Notes

     

    1. Clinical and genetic description of a family with a high prevalence of autosomal dominant restless legs syndrome. Young JE, Vilariño-Güell C, et al. Mayo Clin Proc. 2009 Feb;84(2):134-8. Texte intégral : www.mayoclinicproceedings.com [Consulté le 5 octobre 2010].

    2. Nouvelle PasseportSanté.net (14 mai 2010) : Syndrome des jambes sans repos : la thèse génétique se confirme.

    3. Allen RP, Picchietti D, et al. Restless Legs Syndrome Diagnosis and Epidemiology workshop at the National Institutes of Health; International Restless Legs Syndrome Study Group. Restless legs syndrome: diagnostic criteria, special considerations, and epidemiology. A report from the restless legs syndrome diagnosis and epidemiology workshop at the National Institutes of Health. Sleep Med. 2003 Mar;4(2):101-19. Review.

    4. Mayo Foundation for Medical Education and Research (Ed). Diseases & Conditions -Restless Legs Syndrome, MayoClinic.com. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.mayoclinic.com

    5. Pizzorno JE Jr, Murray Michael T (Ed). Textbook of Natural Medicine, Churchill Livingstone, États-Unis, 2006, p. 1833.

    6. Hornyak M, Voderholzer U, et al. Magnesium therapy for periodic leg movements-related insomnia and restless legs syndrome : an open pilot study. Sleep. 1998 Aug 1;21(5):501-5.

    7. The Natural Pharmacist (Ed). Natural Products Encyclopedia, Conditions - Restless Legs Syndrome, ConsumerLab.com. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.consumerlab.com

    8. Restless Legs Syndrome Foundation. Medical and Scientific Info, Publications and brochures, For the public - Living With Restless Legs, RLS. [Consulté le 1er octobre 2010]. www.rls.org

    9. Family study of restless legs syndrome in Quebec, Canada: clinical characterization of 671 familial cases. Xiong L, Montplaisir J, et al. Arch Neurol. 2010 May;67(5):617-22.

    10. Lespérance Paul, Dr. Le syndrome des jambes sans repos : une qualité de vie possible! Le clinicien, juillet 2005. Texte : www.stacommunications.com [Consulté le 5 octobre 2010].

    11. Exercise and restless legs syndrome: a randomized controlled trial. Aukerman MM, Aukerman D, et al. J Am Board Fam Med. 2006 Sep-Oct;19(5):487-93. Texte intégral : www.jabfm.org

     

    http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=syndrome_jambes_sans_repos_pm

     

     

     

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    10 Images de Papillons

     

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  • Poulet « bruschetta » en papillote

     

    Poulet « bruschetta » en papillote

     

     

    préparation 10 min 

    prêt en 50 min 

    portions 4 portions, 1 papillote (245 g) chacune

     

    ce qu'il vous faut

    1 boîte (19 oz liq. ou 540 ml) de tomates en dés, égouttées

    1 paquet (120 g) de mélange à farce Stove Top plus faible en sodium, pour poulet

    2 gousses d' ail hachées fin

    4 petites poitrines de poulet désossées et sans peau (1 lb ou 450 g)

    1 c. à thé de basilic séché

    1 tasse de Mozzarella partiellement écrémé Cracker Barrel

     

    ce qu'il faut faire

    CHAUFFER le four à 400 °F.

     

    MÉLANGER les tomates, le mélange à farce et l'ail juste assez pour que le mélange à farce soit humide.

     

    PLACER chaque poitrine de poulet au centre d'une grande feuille de papier d'aluminium épais vaporisé d'enduit à cuisson ; garnir de basilic, de mélange à farce et de fromage. Plier les côtés de chaque feuille de papier d'aluminium vers le haut ; replier deux fois sur le dessus et sur les côtés pour sceller chaque papillote, en laissant de l'espace à l'intérieur pour la circulation de la chaleur. Placer dans un moule de 15 x 10 x 3/4 po.

     

    CUIRE au four de 30 à 35 min ou jusqu'à ce que le poulet soit cuit (temp. interne : 170 °F). Laisser refroidir 5 min. Faire des entailles dans le papier d'aluminium pour laisser sortir la vapeur avant d'ouvrir les papillotes.

     

    conseils des cuisines kraft

    Présentation suggérée

    Servir avec des légumes vapeur à l'italienne.

    Substitut

    Vous n'avez pas de papier d'aluminium épais ? Utilisez deux épaisseurs de papier d'aluminium ordinaire.

    information alimentaire  

    par portion

    portion = 1 papillote (245 g)

    Calories
     330
    Matières grasses
     8 g
    Matières grasses saturées
     4 g
    Cholestérol
     80 mg
    Sodium
     670 mg
    Glucides
     26 g
    Fibres alimentaires
     2 g
    Sucres
     5 g
    Protéines
     38 g
    Vitamine A
     6 %VQ
    Vitamine C
     25 %VQ
    Calcium
     20 %VQ
    Fer
     20 %VQ
     
    Vie saine
    Nutrition supplémentaire
    Augmentez votre consommation de calcium en servant cette recette.
    Le fromage qu'elle contient est une bonne source de calcium.
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