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    Doigts de sorcière…

     

    Poésie:  Doigts de sorcière....

     

    Doigts de sorcière…
    Doigts de sorcière dans le sable,
    fleurs écloses dès le matin
    avec un petit air carmin…

    Les deux tourterelles grappillent
    les graines déposées au nichoir
    Elles savent bien que la vie s’éparpille
    comme les serments et le hasard…

    De petits flocons duveteux
    flottent dans l’air printanier

    Le soleil se pose sur nos yeux
    comme un papillon malicieux

    Un faux bourdon cherche sa voie
    au milieu de l’ancien fuchsia

    Les bambous le montrent du doigt,
    sentinelles qui font feu de tout bois,
    envahisseurs du fond du jardin

    Nos désirs restent suspendus
    sur la corde à songes du temps
    qui semble immobile à présent

    Tout à l’heure, nous prendrons le sentier
    qui descend au bord de l’étang

    Nous marcherons paisiblement
    en écoutant chanter le vent
    qui balance les blés dans le champ

    Nous cheminerons jusqu’aux portes du soir
    heureux simplement d’être ensemble
    et nous sèmerons, près du tremble,
    de petites graines d’espoir…

    ( Copyright Alain Biaux )

     

    Poésie:  Doigts de sorcière....

     

     

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    Il suffit en France d'affirmer un chose avec autorité pour être cru sur parole.

    Alexandre Minkowski, Pédiatre

    Le plaisir, telle la vengeance, peut-être un plat qui se mange froid.

    Alexandre Minkowski, Pédiatre

    Une théorie nouvelle ne triomphe jamais. Ce sont ses adversaires qui finissent par mourir.

    Max Planck, Physicien

    L'homme est un accident de parcours, dans un cosmos vide et froid. Il est un enfant du hasard.

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    Dans quelques décennies, nous ne serons plus, mais nos atomes existeront toujours, poursuivant ailleurs l'élaboration du monde.

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    Devenir adulte, c'est reconnaître, sans trop souffrir, que le "Père Noël" n'existe pas.

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    L'univers est une machine à faire de la conscience.

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    Des catastrophes "arrivent". Puis, elles "sont arrivées". Et on passe à autre chose.

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    Pour explorer le champ des possibles, le bricolage est la méthode la plus efficace.

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    Distinguer le “raisonnable” et le “rationnel”. Le premier inclut l'intuition et l'affectif. Le second n'implique qu'un déroulement correct du processus logique.

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    Les hérésies jouent un rôle essentiel. Elles tiennent les esprits en état d'alerte.

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    Le vrai problème c'est : " Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ?

    Hubert Reeves, Astrophysicien

    Bon gré mal gré, l'on vit de ce que l'on nie.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Attendre d'en savoir assez pour agir en toute lumière, c'est se condamner à l'inaction.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    C'est parfois sur le plus faible que soi qu'on doit prendre appui pour aller plus loin.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Tous les espoirs sont permis à l'homme, même celui de disparaître.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Je n'ai besoin de rien, mais rien ne me suffirait.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Je vois beaucoup de gens qui ont de la maturité politique, j'en vois moins qui ont la maturité humaine.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Qui ne s'élève contre toutes les guerres ne s'élèvera jamais contre aucune.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Un mensonge peut être moins menteur qu'une vérité bien choisie.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Il est plus facile de mourir pour ce qu'on croit que d'y croire un peu moins.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    C'est encore croire en soi que de douter de soi.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Plus on aime, plus on aurait besoin d'être celui des deux qui aime le moins.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

    Nous nous sentons haussé par la louange, d'aussi bas qu'elle vienne.

    Jean Rostand, Ecrivain, biologiste et historien des sciences

     Citations du la Conscience - 7

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    Citations et Proverbes 3:  Proverbe chinois

     

    Merci beaucoup de vos visites

    sur mon blog et

    Revenez me voir

    Gros bisous de

    Frawsy

     

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    Bahamas: les couleurs de l'archipel

     

    Une femme se balade sur la plage de... (Photo Yannick Fleury, La Presse)

     

    Une femme se balade sur la plage de Ten Bay, à Eleuthera.

    PHOTO YANNICK FLEURY, LA PRESSE

     
     

    On croit connaître les Bahamas, et pourtant... Avec 700 îles, dont 17 seulement sont habitées, l'archipel présente des visages beaucoup plus variés qu'on pourrait le penser. Visite de quatre îles aux ambiances nettement distinctes.

     

    NEW PROVIDENCE ET PARADISE ISLAND: DE TOUTES LES COULEURS

    L'île de New Providence et sa petite voisine, la chic Paradise Island, abritent les deux tiers des Bahamiens. Ici, le paysage est un mélange hétéroclite de boutiques de luxe et de restos populaires, de plages animées et d'anses sablonneuses peu fréquentées. Ces îles ont beaucoup plus à offrir que la seule capitale, Nassau, avec ses casinos et ses mégacomplexes hôteliers. La preuve... en couleur!

    Or

     

    Par endroits, le sable des plages est si fin qu'on croirait en effet de la poudre d'or. La côte nord de l'île est une enfilade de plages, certaines privées, d'autres publiques. Junkanoo Beach, à Nassau, attire ceux qui carburent au boom-boom musical, aux cocktails colorés et à la faune festive. À Love Beach, plus à l'ouest, il est possible de marcher de longues minutes sans rencontrer âme qui vive. Quelques résidants y promènent leurs chiens, des apnéistes viennent profiter des récifs. Mais il n'y a aucun vendeur pour offrir des piñas coladas ou vendre des souvenirs de pacotille.

    La plus belle plage du lot demeure toutefois Cabbage Beach, dans le nord de Paradise Island. Les habitants l'adorent, les touristes et les croisiéristes aussi. Plusieurs grands hôtels y installent des chaises longues à la seule disposition de leurs clients, mais une entrée publique permet à tous de profiter du sable fin et des vagues, plus imposantes qu'ailleurs. Ici, les visiteurs de passage peuvent acheter des cocktails multicolores prémélangés servis à même de grandes cruches de plastique, ou s'offrir de l'eau de coco qu'ils boiront à la paille, à même la noix.

     

    Blanc

    Les Bahamiens servent sa chair blanche en salade, en chili, dans un court-bouillon ou enrobée de panure... La conque (conch, en anglais, mais prononcez «konk» à la bahamienne) est sans conteste le plat national du pays. Chaque jour, des pêcheurs vont cueillir un par un, sur le lit marin, les précieux coquillages aux lèvres ourlées de rose.

    Souvent en après-midi chez Dino's, à 15 km à l'ouest de Nassau, deux hommes s'affairent sur un étal de fortune à extraire le mollusque de sa cachette. L'un fracasse la coquille à coup de marteau, le second extirpe la chair blanche et tarabiscotée. Du muscle pur, qui doit être attendri pour ne pas trop rebondir sous la dent. Dino's sert, dit-on, la meilleure salade de conque du pays, et c'est à lui que revient la paternité de la salade tropicale, où concombres et poivrons rouges côtoient pommes et ananas.

    Dans ce stand alimentaire de bord de rue, tout concept de productivité a été évacué. Chaque salade est faite à l'unité, les légumes et les fruits frais sont coupés à la demande, qui est incessante. Pourquoi se presser?

    Les tabourets (de simples caisses de lait renversées) étant tous occupés, peu importe l'heure de la journée, il faut s'attendre à... attendre. Qu'importe, la bière locale, la Kalik, est servie bien fraîche, et les Sky Juices (un cocktail fait de gin, de lait condensé, de chair de coco écrasée et d'une pincée de muscade) font délicieusement tourner les têtes. On est à l'heure des Caraïbes, après tout, et le stress n'a pas sa place ici.

    Les viandes grillées sur le barbecue et les poissons frits sont les autres spécialités bahamiennes à découvrir. Tous les soirs, au Fish Fry d'Arawak Cay (à l'ouest de Nassau), la population locale et les touristes s'installent côte à côte pour déguster des plats traditionnels. 

     

    Bleu

    C'est aux Bahamas qu'on trouve la troisième barrière de corail du monde en matière de taille, après celles de l'Australie et du Belize. Plus encore, la météo est propice à la plongée 12 mois par année, ce qui explique la grande popularité de l'archipel auprès des plongeurs et apnéistes.

    Au sud de l'île de New Providence, l'entreprise Stuart Cove's s'est fait connaître grâce à ses plongées au milieu des requins.

    Au cours de notre après-midi en mer, nous avons fait la première de nos trois escales près d'une île qui a servi au tournage du film Pirates des Caraïbes. Beaucoup de poissons colorés entourent le bateau, habitués d'être nourris par le capitaine. Le deuxième arrêt est plus émouvant : on peut nager près d'une immense sculpture sous-marine représentant une femme accroupie, paume ouverte vers le ciel, comme si elle portait la mer dans sa main.

    L'ultime plongée a lieu dans l'Arène des requins. Flottant à l'horizontale le long d'un câble, nous avons vu tournoyer sous nos palmes une quinzaine de requins de récifs, attirés par un leurre lesté qui pendait plusieurs mètres sous le bateau. Les requins de récifs sont charognards, ils ne chassent pas les autres créatures marines (et encore moins les humains), mais les femelles peuvent être agressives. Et la plus grande fait près de deux mètres... D'où la prudence excessive du guide qui nous accompagnait dans l'eau. Une plongée magique.

     

    Arc-en-ciel

    Plusieurs îles des Antilles ont été peuplées par des esclaves venus d'Afrique. C'est vrai aussi pour les Bahamas. Sauf qu'ici plus qu'ailleurs, on a gardé bien vivante une tradition qui remonte à l'époque de l'esclavage: le Junkanoo.

    Depuis plus de 200 ans, ce carnaval est présenté en pleine nuit, le 26 décembre et le 1er janvier. Les participants portent de lourds costumes multicolores faits de papier crêpé et dansent jusqu'aux aurores dans les rues. Partout, tout n'est que bruits de tambours et de cloches à vache, roulements de sifflets, chants et bans.

    «Le Junkanoo célèbre aujourd'hui l'émancipation des Bahamiens», explique Arlene Nash Ferguson, double gagnante nationale du meilleur costume et directrice d'un musée consacré à ces festivités, à Nassau. «Les esclaves de l'Empire britannique avaient droit à trois jours de congé à Noël et en ont profité pour recréer un festival inspiré des rituels de leur Afrique natale. Il faut une année de travail pour faire un costume de Junkanoo ; il y a eu des divorces à cause du Junkanoo, tellement l'investissement en temps est grand. Mais qu'importe, c'est la célébration ultime de notre identité nationale.»

    _____________________________________________________

    Une partie des frais de ce voyage a été payée par le ministère du Tourisme et de l'Aviation des Bahamas, qui n'a exercé aucun droit de regard sur le contenu du reportage.

     


    Voyager en Images 4:  Bahamas: les couleurs de l'archipel

    À la plage de Ten Bay, dans l'île d'Eleuthera, de simples pins servent de parasols.

    PHOTO YANNICK FLEURY, LA PRESSE

     

    ELEUTHERA: 150 PLAGES POUR SOI

    Un trou, une bosse, un trou, une bosse... Il faut avoir la foi pour croire qu'une plage se cache au bout de cette route de bout du monde, faite de terre mille fois battue, au coeur de l'île d'Eleuthera.

    Or, non seulement la route mène à une plage, mais cette dernière, nommée Ten Bay Beach, possède tous les attributs pour figurer dans le top 10 des paradis sur terre. Du moins pour qui rêve de paix et d'intimité.

    Voyez : des pins pour simples parasols, du sable blond ou délicatement rosé sous les pieds, le clapotis des vagues comme seule musique. Dix humains au maximum dans les environs et un couple de pélicans pour représenter la faune ailée. On est loin des plages endiablées à la Copacabana... mais étonnamment près de Nassau. En effet, Eleuthera est situé à 96 km à vol d'oiseau de la capitale bahamienne. Vingt minutes de vol et on y est.

     

    Couper l'hiver en deux

    C'est cette tranquillité qui attire depuis quatre ans les Québécois Philippe Béha et Denise Labrie dans cette île. Chaque année depuis 2015, le couple coupe l'hiver en deux avec un séjour d'un mois à Eleuthera. Et pour l'an prochain, la maison est déjà louée... Restera l'automobile, essentielle ici, à réserver.

    «Au début, on a eu le coup de foudre pour la configuration étroite de l'île, raconte Denise Labrie. Le matin, on peut aller marcher ou courir du côté atlantique, c'est extrêmement vivifiant. Puis, en moins de 10 minutes, on peut se retrouver de l'autre côté, où c'est calme et zen. Il y a peu d'endroits dans le monde où on trouverait ces deux ambiances à si courte distance. C'est idéal.»

    En effet, dans cette île longue de 177 km, mais large d'à peine quelques mètres à son plus étroit, toutes les plages - on en compte plus de 150 ! - donnent soit sur l'Atlantique, soit sur le détroit d'Exumas. Les premières sont battues par une mer plus houleuse; l'eau y est d'un bleu profond. Les secondes baignent dans des eaux tranquilles flirtant avec le turquoise. Certaines sont vastes, d'autres juste assez grandes pour y étendre deux serviettes de plage...

    Toutes, en revanche, sont gardées à l'état sauvage, ce qui séduit Denise Labrie.

    «Il y a des plages pour tout : pour nager, pour ramasser des coquillages, pour marcher, pour faire de l'apnée. Par contre, il ne faut pas avoir peur de partir à la découverte, car la majorité des plages ne sont pas indiquées et peuvent être difficiles à trouver.»

    En effet, la signalisation et l'aménagement des plages frôlent souvent le zéro absolu. Parfois, on a simplement dégagé un petit espace de stationnement près des dunes. Dans de rares cas, des tables de pique-nique avec parasols en coco y sont installées. Mais on n'y trouvera jamais de vendeurs itinérants, de stands alimentaires ou de chaises longues à louer à la journée. Et aucune clôture n'est plantée pour interdire l'accès à telle ou telle parcelle.

    Dans une île de 11 000 habitants où l'on a l'impression que tout le monde connaît tout le monde, pareille mesure de sécurité n'est pas nécessaire. Sauf peut-être autour de la demeure du musicien Lenny Kravitz. Et encore. Ici, les simples quidams et les vedettes cohabitent dans la plus saine des indifférences. La légende veut que certains soirs, au bar Elvina de Gregory Town, on puisse voir Mariah Carey, Kid Rock, The Black Crowes ou Lenny Kravitz en personne se présenter au micro. Sans tambour ni trompette. Et sans provoquer d'émeute.

     

    Au jour le jour

    Eleuthera est l'île des vacances non organisées, qu'on planifie à la journée dans une résidence louée à des particuliers, comme le font Denise Labrie et son conjoint. De toute façon, on a trop de doigts dans une seule main pour compter le nombre d'hôtels dans cette île au profil effilé. Ce n'est pas le genre de la maison. Eleuthera est un mot grec qui signifie «liberté»; il n'y a pas de hasard. Les voyageurs viennent ici pour la beauté et la tranquillité des plages, pour les restos sans prétention qui servent du poisson frais grillé. Le mérou à la cajun (et la Key Lime Pie) de Tippy's, à Governor's Harbour, attire d'ailleurs les foules...

    Haldore Russell et ses ananas dorés et sucrés méritent aussi d'être célébrés. Ex-employé des douanes, M. Russell veille sur 90 000 plants d'ananas (et quelques arbres fruitiers) dans sa plantation d'Hatchet Bay. «Eleuthera était célèbre pour la culture des ananas au XIXe siècle, mais l'avènement de la société américaine Dole puis le passage de certains ouragans ont découragé plusieurs cultivateurs.» Il faut dire que la charge de travail est colossale: il faut 18 mois pour produire un seul ananas à partir d'une bouture. Et chaque plan ne donne qu'un fruit dans sa vie.

    Autre visite éducative: celle de la Leon Levy Native Plan Preserve, à Governor's Harbour. Une randonnée permet de traverser plusieurs écosystèmes différents, depuis la forêt de mangrove jusqu'aux milieux humides. Des jardins présentent des plantes médicinales ou vénéneuses, des arbres endémiques et des espèces venues d'ailleurs. À partir de la tour d'observation, on voit se dérouler sous nos pieds un gigantesque tapis vert qui ondule jusqu'à la mer.

    Eleuthera a le coeur vert et les pieds qui baignent dans le bleu.

     

    Voyager en Images 4:  Bahamas: les couleurs de l'archipel

    Un garçon court sur la plage d'Harbour Island.

    PHOTO YANNICK FLEURY, LA PRESSE

     

    CARNET DE NOTES

    Vols

    La façon la plus rapide de se rendre aux Bahamas? Le vol sans escale offert chaque semaine - pendant l'hiver - par Air Canada depuis Montréal-Trudeau. On peut parfois trouver des billets pour moins de 500 $. La durée du vol varie entre trois et quatre heures. Sunwing offre aussi en hiver un vol sans escale entre Montréal et Freeport, dans l'île de Grand Bahama.

     

    Combien ça coûte?

    Plus cher qu'un tout-inclus à Cuba ou en République dominicaine, mais moins qu'une semaine à Saint-Barthélemy, on vous le dit tout de suite. À Eleuthera, la location d'une maison coûte entre 1500 et 2200 $ CAN la semaine. Le site le plus populaire est VRBO.

    www.vrbo.com

     

    Location d'auto

    Si Nassau profite d'un service de bus et de taxi digne de ce nom, les autres îles sont moins bien desservies. La location d'une voiture s'impose et, souvent, il faut se tourner vers des particuliers ou de micro-agences. Le prix de location varie alors entre 90 et 105 $ CAN par jour, assurance comprise (si possible, payez avec une carte de crédit pour profiter d'une couverture supplémentaire avec votre société émettrice). Le prix de l'essence: autour de 1,70 $ CAN le litre à Nassau, plus cher dans les autres îles qui doivent être ravitaillées à partir de Nassau.

     

    À gauche!

    Les Bahamiens ont conservé du colonisateur britannique la conduite à gauche de la route. Le hic: plusieurs voitures sont importées des États-Unis et le volant est du côté nord-américain. On s'y fait...

     

    Monnaie

    Dollar bahamien et dollar américain sont interchangeables: ils ont la même valeur et on peut payer avec l'un ou l'autre, sans distinction. 

     

    Quand y aller?

    La haute saison aux Bahamas reste de la mi-décembre à la mi avril, quand l'hémisphère Nord fuit l'hiver. L'été, la température grimpe et les moustiques peuvent être dérangeants. La saison des ouragans peut s'étendre du début de juin à la fin de novembre.

     

    Attention: pourboire

    Au restaurant, le pourboire - 15 ou 18 % selon le cas - est presque toujours inclus dans la facture; on peut le constater sans problème en regardant la facture avec attention. Par contre, sur les reçus de cartes de crédit qu'il faut signer, on a prévu une ligne vierge pour inscrire le montant du pourboire à laisser. Le client inattentif risque donc de payer deux fois 18 %! Et ça arrive: on en a été témoin...

     

    Dormir

    Gros coup de coeur pour l'hôtel Compass Point Beach Resort, dans l'île de New Providence, à une quinzaine de minutes de Nassau. Ses 18 petits bungalows arc-en-ciel font face à la mer et chacun peut accueillir de trois à cinq personnes. Le lieu a hébergé de nombreuses célébrités, puisqu'un studio d'enregistrement a jouxté le complexe hôtelier jusqu'à sa fermeture en 2010. Tenu par Chris Blackwell (l'homme qui a enregistré pour la première fois Bob Marley et U2), le studio a vu passer des artistes comme AC/DC, Eric Clapton, les Rolling Stones, Céline Dion... À partir de 280 $ CAN la nuit.

    www.compasspointbeachresort.com

     

    Voyager en Images 4:  Bahamas: les couleurs de l'archipel

     

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