Faune sauvage : les plus belles espèces du

continent nord-américain

 

Le continent nord-américain abrite une faune incroyable. Les citadins ne voient généralement que quelques rongeurs (rats, écureuils) ou des animaux domestiques, mais cette partie du monde est remplie de créatures étranges et fascinantes suffisamment intelligentes et évoluées pour éviter nos villes.

 

Je ne voudrais pas nous jeter des fleurs, mais nous avons fait ce qu’il faut pour tuer bon nombre d’entre eux ; il fut un temps où félins, cervidés et autres rapaces foulaient et survolaient ces terres comme bon leur semble. Nous pourrions penser que seule l’arrivée des européens puisse coïncider avec l’anéantissement de nombreux espèces « américaines », mais des dizaines de milliers d’années ont conduit à l’extinction de beaucoup de grands animaux; je pense notamment au paresseux géant, ou au mammouth laineux. Nous avons pour coutume de tout détruire mais n’en prenons tout de même pas toute la responsabilité.

 

Aujourd’hui certaines espèces les plus spectaculaires sont toujours là. Nos efforts durant le dernier demi-siècle à mettre l’accent sur la conservation ont contribué à maintenir ces animaux au bord du gouffre, mais pour combien de temps encore ?

 

L’OURS NOIR

 

L’ours noir est le plus largement distribué, et donc est le moins vulnérable. Ils sont surtout présents au Canada et en Alaska, mais se trouvent aussi dans des zones boisées à peu près n’importe où aux États-Unis et vers le bas au Mexique.

 

L’ÉLAN DU CANADA

 

Présents au Canada et en Alaska, les originaux proviennent de Russie ou de Scandinavie.

 

L’OURS POLAIRE

 

Bien que souvent utilisés comme affiches pour le changement climatique, les ours polaires sont effectivement classés comme «vulnérables», qui est le niveau le plus bas de préoccupation en termes de statut de conservation. Une diminution de la chasse a même conduit à la récupération de certaines populations.

 

PÉLICAN BRUN

 

Bien que généralement identifiés aux Etats-Unis, les pélicans brun se trouvent également tout en basde l’Amérique du Sud, aux îles Galapagos. Ils se nourrissent principalement de poissons et les attrapent en plongeant tête la première. La grande classe.

 

PYGARGUE À TÊTE BLANCHE

 

Cet emblème de l’Amérique est particulièrement photogénique. Ils ont été conduits au point de la quasi-extinction dans la zone continentale des États-Unis à la fin du 20e siècle, mais ont depuis fait un retour fracassant. Bien joué les gars.

 

LE MONARQUE

 

Les papillons monarques sont parmi les plus célèbres migrateurs du monde, allant du Canada au Mexique quand sonne la fin de l’été (même si le temps qu’il faut pour parcourir cette distance est en fait plus longue que leur durée de vie moyenne).

LE LOUP GRIS

 

Lui, il a bien failli nous quitter à un moment donné. Mais les efforts pour les réintroduire dans l’environnement s’avèrent aujourd’hui payants ; ils sont aujourd’hui en nombre important dans le parc de Yellowstone.

 

LE TURSIOPS OU GRAND DAUPHIN

 

Ils sont connus pour être les deuxièmes créatures les plus intelligentes au monde (derrière les souris,selon Douglas Adams), et il a été démontré qu’ils peuvent transmettre le savoir culturel entre les générations.

 

PASSERIN NONPAREIL

 

Ces oiseaux colorés migrent des États-Unis vers le sud au Mexique, à Cuba, et un certain nombre d’autres îles des Caraïbes pour l’hiver.

 

L’OCELOT

 

Ils se trouvent principalement en Amérique du Sud et au centre du Mexique, mais sont parfois repérésau Texas et en Arizona. Salvador Dali et Gram Parsons les ont gardés comme animaux de compagnie, mais je ne sais pas si c’est une référence.

 

LE LAMANTIN

 

Le lamantin est un autre mammifère marin particulièrement intelligent, qui se trouve en grande partie dans les Caraïbes, mais aussi en Amazonie et en Afrique de l’Ouest. Ils sont vulnérables à l’extinction,principalement grâce à l’homme. Ils sont lent, sont souvent heurtés par les bateaux, et sont égalementtouchés par la destruction de l’habitat. Bref, ils sont pas bien. (Ah oui, selon South Park, ce sont eux qui sont à l’origine des vannes des Griffins, pour les connaisseurs).

 

LE CARIBOU

 

 Ils sont un peu comme nos rennes à nous, en Europe et en Asie. Ils résident principalement au Canada et en Alaska.

 

LE RENARD ARCTIQUE

 

Le renard arctique se trouve dans pratiquement toutes les régions de la toundra. En Amérique du Nord, vous le trouverez au Canada et en Alaska. 

 

LA TORTUE ALLIGATOR

 

Elles se trouvent principalement dans le centre-sud des Etats-Unis, notamment au Texas.

 

LE COYOTE

 

Contrairement aux loups, les coyotes ont prospéré en même temps que nous, ils sont prêts à vivre dans les villes. Prêts à tout donc.

 

LE BISON

 

L’emblème américain !

 

LE CONDOR DE CALIFORNIE

 

Ils se sont éteints à l’état sauvage dans les années 80, mais ont depuis été réintroduit en utilisant la population vivant en captivité. Leur nombre est encore très petit (500 au total), mais c’est quand même un sacré come back.

 

LE RENARD GRIS

 

Le renard gris est présent dans tout le continent américain et en Amérique centrale, et se nourrit de petits mammifères et d’insectes. Le genre canin le plus primitif.

 

L’ALLIGATOR

 

Ils se trouvent surtout dans les États du Sud, en particulier dans les marécages. Leur nombre a étéconsidérablement réduit en raison de la chasse excessive, mais les efforts de conservation ont conduit à leur rétablissement et leur retrait de la liste des espèces en voie de disparition.

 

L’OTARIE DE CALIFORNIE

 

Ce sont des animaux intelligents et ont été formés pour certaines tâches par l’US Navy (probablement avec des faisceaux laser attachés à leurs têtes).

 

LE SERPENT À SONNETTE

 

Les serpents à sonnettes couvrent 32 espèces différentes de serpents, toutes avec le crotale distinctifsur leur queue. Le serpent à sonnettes de Mojave (photo) est particulièrement dangereux car son venin n’est pas uniquement un hemotoxin, mais contient également des neurotoxines, à éviter donc.

 

LE MACAREUX HUPPÉ

 

Ils ont élu domicile dans le Pacifique Nord et sont couramment observés près des côtes de l’Alaska et de la Colombie-Britannique. Ils errent à l’occasion plus au sud jusqu’en Californie, et se nourrissent de poissons et de calmars.

 

LE LYNX DU CANADA

 

Cette sous-espèce de lynx est environ deux fois plus grand votre chat à la maison. Il dispose d’une épaisse fourrure argentée et des oreilles touffues. Ils couvrent une grande partie du Canada et de l’Alaska, et ont notamment fait l’objet d’un programme de réintroduction dans le Colorado

 

CARETTA CARETTA

 

Elles sont une espèce menacée, lésée le plus souvent par des pratiques de pêche destructrices.

 

LA CHOUETTE EFFRAIE

 

Elles se nourrissent principalement de rongeurs et petits mammifères, et sont aussi connus pourtraîner dans les granges, mais là encore, je ne vous apprends rien.

 

ARMADILLO

 

Originaire d’Amérique du Sud, ils ont depuis migré jusqu’en Amérique du Nord et au sud des États-Unis.

 

L’OURS KODIAK

 

Initialement, c’est « juste » un grizzli typique, mais les forces de spéciation sur l’archipel de Kodiak en Alaska les ont fait grossir. Ils sont maintenant techniquement considérés comme une espèce distincte du grizzly, et sont les plus grands dans le monde derrière les ours polaires.

 

LE PUMA

 

Natif américain, le lion des montagnes se trouvent un peu partout sur le territoire. Vous le trouverez également au Canada et tout en bas de l’Amérique du Sud.

 

LE MONSTRE DE GILA

 

Ce sont pratiquement les seuls lézards venimeux en Amérique du Nord, et existent surtout dans le désert de Sonora. Ils sont lent et ont tendance à ne pas attaquer ou venir près de l’homme.

 

LE LYNX ROUX

 

Ils se trouvent un peu partout aux Etats-Unis. Ils s’adaptent et peuvent même vivre dans les zones suburbaines ou urbaines, même si bien sûr ils préfèrent les habitats les plus reculées.

 

 

 

Le carnet rose des zoos

Espèces en voie de disparition, faible fécondité : la plupart des naissances qui ont lieu dans les zoos sont du coup exceptionnelles. Voici les plus adorables et surprenants bébés animaux de l'année. 

Des bébés chez les chimpanzés

Le zoo de La Palmyre a eu l'heureuse surprise d'accueillir deux nouveau-nés au sein de son groupe de chimpanzés, à quelques jours d'intervalle, au mois d'avril.

Lili, l'une des deux mamans, a eu quelques difficultés à allaiter sa petite après la naissance. Mais tout est désormais rentré dans l'ordre, et les jeunes chimpanzés grandissent tranquillement auprès  de leurs congénères.

 

 

 

Un gros chat sauvage

Originaire d'Afrique, le serval est un félin qui ressemble à un très gros chat sauvage, ou à un petit guépard. Le zoo de Jurques a fêté la naissance de 4 servals en 2010. Les bébés ne peuvent sortir qu'au bout d'un mois.

Quelques temps plus tard, leur maman les initie à la chasse. Ils prendront bientôt un pelage tacheté comme celui des adultes.

 

De toutes petites loutres géantes

Début août 2010, le zoo de Doué-la-Fontaine, seul en France à héberger des loutres géantes, a accueilli trois nouveaux pensionnaires. La naissance de loutrons en parc zoologique est un événement très rare.

L'espèce, classée "en danger" dans son milieu naturel, est également peu fréquente en captivité. Ces naissances sont intervenues dans le cadre d'un projet de protection de la loutre géante.

 

Pintupi, le deuxième koala français

Difficile de dater avec exactitude la naissance d'un petit marsupial, puisque celui-ci finit sa gestation dans la poche ventrale de sa mère.  

Toutefois, ce bébé koala a fait son apparition au printemps 2010 au Zooparc de Beauval. La naissance d'un koala est très rare en Europe. Dans le cas de Pintupi, l'événement est encore plus exceptionnel, puisqu'il s'agit du deuxième en moins d'un an sur le territoire français.

 

 

 

 

 

Mini-crinières de lions

 

Cet été, les tamarins-lions à tête dorée du zoo de La Palmyre ont accueilli une portée de deux bébés. Leurs grands yeux vifs et leur moue adorable les rendent absolument craquants.

Comme tous les petits singes, ils restent accrochés au dos de leur mère, mais peuvent également être portés par leur père. Ils ne seront sevrés qu'après leurs 15 mois.

 

 

Mignonne famille suricate

Deux bébés suricates sont nés au Zoo de Champrépus en juillet 2010. S'ils ne sont pas en danger à l'état naturel, c'est parce que les animaux de cette espèce sont très coriaces ! Habitués au désert, ils sont même capables de survivre aux piqûres de scorpions.

Pourtant, à la naissance, ils sont encore fragiles : aveugles et sans poils, ils sont surveillés de près par les parents durant les trois premières semaines.

 

Kuimba le petit gorille

Le ZooParc de Beauval a vu sa famille gorille s'agrandir au mois d'août 2010 avec la naissance du cinquième nouveau-né dans le zoo.

Le petit, nommé Kuimba,  est le premier bébé de la femelle Tamarilla, qui a reçu l'aide d'une autre femelle pour l'accouchement... Celui-ci s'est donc déroulé sans encombre.

 

Nala, un bébé dauphin déjà célèbre

Malou et Eclair ont donné naissance à un bébé dauphin durant l'année 2010. Eclair étant lui-même l'enfant de Joséphine, le dauphin du film le Grand Bleu, le nouveau-né est  promis à une grande carrière !

Il s'agit d'une femelle du nom de Nala, un nom qui lui a été donné par les visiteurs du Marineland. Le delphineau se porte à merveille, se sociabilise et va commencer progressivement à prendre son autonomie.

 

 

 

Quatre petits nouveaux dans la famille

Nés en juin et juillet 2010, les 4 bébés saïmiris viennent grossir les rangs d'une espèce menacée. La Réserve Africaine de Sigean contribue à sa conservation puisqu'elle participe au programme d'élevage européen EEP.

Ce singe n'est pas bien gros et il atteindra à l'âge adulte une trentaine de centimètres tout au plus.

 

 

7 bouts de chou roses

7 bébés flamants de Cuba sont nés au sein du zoo de La Palmyre durant l'été 2010. Ils sont très petits à la naissance et leur bec n'a pas encore sa forme définitive.

En attendant qu'ils grandissent, les parents fabriquent une sorte de lait très protéiné avec lequel les petits sont nourris pendant près de 2 mois.

 

Des bébés aux grands yeux

Comme tous les lémuriens, les maki catta (ou lémur catta) sont originaires de Madagascar. 5 petits ont rejoint le groupe présent au sein du zoo de Jurques en 2010.

Très facétieux, ils pourront bientôt jouer avec les soigneurs.

 

Un girafon goulu

Cette petite girafe d'Afrique de l'Est est née dans le Bioparc Zoo de Doué en mai 2010. Pour téter, elle doit se contorsionner à cause de son très long cou.

Il s'agit d'une girafe d'Afrique centrale, descendante de celles qui ont été importées autrefois au zoo de Vincennes. On les différencie des girafes d'Afrique de l'Est et du Sud parce que les premières ont les pattes plus claires.

 

La tribu de bébés sousliks

Ces petits rongeurs de la famille des écureuils ne font pas les choses à moitié. Loin d'être en voie de disparition, ils sont plus de 40 à avoir repeuplé le parc Zoodyssée au mois de mai 2010 ! 

Ces ravissantes petites créatures grandissent vite,  et sont toutes déjà sevrées. Et les petits sousliks ont déjà beaucoup de compagnons avec lesquels jouer.

 

D'adorables petits fauves

On croirait presque un petit chat, mais il s'agit d'un bébé léopard tacheté né au sein de la ménagerie du Jardin des Plantes en mai 2010.    

Cette espèce, également nommée "panthère nébuleuse", est réputée pour sa difficulté à se reproduire en captivité. Les soigneurs peuvent donc être très fiers de l'arrivée de Parti et Jaya, deux femelles léopard aujourd'hui en bonne santé. 

 

 

Un bébé guenon pour le nouvel an

C'est le 1er janvier 2010 que cette petite femelle gorille est née au zoo de La Palmyre. Elle a rejoint une famille plutôt grande pour cette espèce, avec notamment son demi-frère, né en 2009.  

Elle grandit à toute vitesse, et pourra bientôt égaler en taille et en poids sa maman. En attendant, elle joue avec les autres grands singes du zoo dans leur espace réservé.  

 

Petits ours bruns

Buba et Boby sont deux adorables oursons nés au sein du Juraparc en janvier 2010. Très joueurs, ils sortent souvent s'amuser sous le regard des visiteurs, et bien entendu, celui de leur maman, Ursina.

Bien que l'espèce ne soit pas en danger, elle n'existe plus à l'état naturel dans le Jura. La semi-liberté offerte dans ce parc animalier leur permet de continuer à occuper les montagnes.

 

De malicieux ouistitis

Il n'est pas rare que les ouistitis à toupets blancs se reproduisent en captivité, mais cela nécessite de bonnes conditions. Au zoo de La Palmyre, des jumeaux sont nés en mars, tandis qu'un troisième camarade de jeu les a rejoint en mai.  

Une bonne nouvelle pour les soigneurs, qui démontrent ainsi leur remarquable travail auprès de ces petits singes.

 

Petit koudou deviendra grand, très grand

Biniam est un membre de l'espèce des grands koudous, des antilopes reconnaissables à leurs grandes oreilles et aux rayures uniques qui couvrent leurs dos.

Il est né au parc animalier de Branféré le 8 février 2010, et portera à taille adulte de hautes cornes torsadées.

 

 

Le petit du plus grand des zèbres

Le zèbre de Grévy est un équidé originaire d'Afrique en voie de disparition. La naissance de ce zébreau le 25 mai 2010 à la Réserve Africaine de Sigean contribue à la conservation de l'espèce.

Celle-ci est caractérisée par sa grande taille et ses rayures très fines. Le jeune zèbre a pris cette couleur quelques semaines après être venu au monde.

 

 

Airelle, baudette du Poitou

Un bébé baudet du Poitou est né le 6 juillet 2010 au parc animalier Zoodyssée, après une veille de 25 nuits pour l'animalier qui s'en occupait.

Cette petite ânesse vient donc fièrement grossir les rangs d'une race d'ânes qui avait presque disparu au XXème siècle. Elle grandira vite, puisqu'elle prend actuellement 800 g par jour.  Zoodyssée vous a proposé de le lui donner et grâce à vous, elle a été baptisée Airelle.

 

L'amour maternel

Cette scène attendrissante a été surprise entre une maman et son petit chien de prairie. Une portée de ces marmottes américaines est née le 11 mars 2010 au parc de Branféré.

Les chiens de prairie sont nommés ainsi à cause de leur manière de communiquer par jappement, comme des chiens. Les petits font leur première sortie au bout d'un mois, mais restent très longtemps auprès de leur mère.

 

Un petit déjà grand

En avril et mai 2010 sont arrivés à la Réserve Africaine de Sigean deux girafons peralta. Une femelle ne peut avoir qu'un petit après une gestation de plus d'un an, c'est donc une belle réussite pour la réserve.

Le bébé n'a pas encore un cou très long par rapport à sa taille, et il devra attendre 5 ans avant d'atteindre sa taille adulte, haute de plusieurs mètres. Il sera sevré tardivement également, au moins au bout de 12 mois.

 

 

Un premier bébé gibbon

Le couple de gibbons à favoris roux arrivé en 2006 au zoo de La Palmyre a mis au monde un petit en début d'année 2010. Cet heureux événement est d'autant plus une bonne nouvelle que l'espèce est en danger dans les forêts du Vietnam, du Cambodge et du Laos dans lesquelles elle évolue à l'état naturel.

Le petit nait avec des poils dorés, qui deviendront noirs durant son enfance. S'il s'agit d'un mâle, les poils resteront noirs, mais si le bébé est une femelle, ils redeviendront roux.

 

 

Mignons, mais pas si petits que ça

Ces deux cabiais sont nés le 18 février 2010 au sein du parc de Branféré, et semblent encore petits et fragiles. En réalité, ils font partie des rongeurs les plus gros, pouvant atteindre à l'âge adulte près de 70 kg.

Ils seront surveillés par les adultes d'un groupe social très soudé, et pourront profiter de la chaleur pour aller dans l'eau, un milieu dans lequel ils sont très à l'aise.

 

Des jumelles chez les nilgauts

Le ZooParc de Beauval a assisté à l'arrivée de deux femelles antilopes nilgaut en septembre 2010. Cette espèce originaire de l'Inde est de la famille des bovidés.  

Pour le moment, les petites femelles ressemblent à des faons, mais elles développeront bientôt les caractéristiques physiques de leur espèce : un pelage gris et une tête petite par rapport au corps.

 

Un bébé rhinocéros sans corne

En novembre 2010, ce petit rhinocéros indien a fait son apparition au Cerza, le parc zoologique de Lisieux. Ce petit mâle du nom de Manas n'a pas encore de corne, et une carapace encore très fine. Il s'agit de la première naissance de cette espèce en France.

Le rhinocéros est encore considéré aujourd'hui comme une espèce vulnérable, bien que les politiques de conservation de l'animal aient permis d'augmenter radicalement les effectifs mondiaux.

 

Un perroquet qui grandit vite

A la naissance, cet ara militaire était tout petit et n'avait pas de plume. En 3 mois, il s'est tout d'abord paré d'un duvet gris, puis a commencé à développer un plumage digne d'un adulte.

Né cette année au zoo de Jurques, il pourra bientôt rejoindre les rangs des adultes.

 

Sur le dos de sa mère

On le distingue difficilement tant il semble se fondre dans le pelage de sa mère, mais il s'agit d'un bébé ouistiti de Geoffroy, une espèce menacée.

La Réserve Africaine de Sigean a tout mis en œuvre pour la naissance de 4 petits ouistitis, dans le cadre du programme d'élevage européen EEP.

Celui-ci, né au mois de mars 2010, ne sera pas adulte avant l'année prochaine.

 

Des vautours très attentionnés

Aux antipodes du comportement habituellement prêté aux rapaces, ces deux vautours moines s'occupent tendrement de leur petit.

Né au sein du Bioparc de Doué en avril dernier, il fait partie d'une espèce quasi-menacée. Ce sont les deux parents qui se relaient pour le nourrir jusqu'à sa maturité.

 

Les grands yeux du petit douroucouli

Le 23 octobre 2010, un petit douroucouli est né au zoo de Monpellier. Il se promène sur le dos de ses parents, et possède le même attendrissant petit visage aux gros yeux.  

Les douroucoulis, originaires d'Amérique du Sud, sont une espèce de singe classée comme vulnérable.

 

Deux petits princes

Au mois d'août 2010, deux grues couronnées sont nées au zoo de La Palmyre. A l'état naturel, leur habitat est menacé de destruction, aussi profitent-elles ici des conditions qui leur permettent d'élever leurs petits.

Avant de devenir de magnifiques oiseaux comme leurs parents, les petites grues ressemblent à de nombreux oisillons. Elles nichent au bord de zones humides, leur nid circulaire se devine parfois dans la végétation.

 

 

Sortis de leur poche

Au printemps 2010 des bébés wallabies ont fait leur apparition au parc de Branféré.
Après avoir passé moins de 12 jours dans le ventre de leur mère, ce wallaby est né, mais pesait moins d'1 gramme. Il s'est donc rendu dans la poche ventrale pour y finir de grandir en s'accrochant à une mamelle.

Une fois sevré, ce petit continue encore à dormir ou se faire transporter par sa mère dans la poche.

 

Un joli petit magot

Cet adorable petit singe est né le 29 juin 2010 au parc Zoodyssée. Le magot est un macaque originaire du continent africain, où il est en voie de disparition.

Il en nait en moyenne un par an. Celui-ci mettra 6 mois à être sevré, et prendra dès lors un peu de liberté ; pas trop tout de même, car ces singes vivent généralement en groupe.

 

 

L'arrivée du petit tapir

Né en avril 2010, ce tapir est le dixième bébé à faire son apparition dans le zoo de La Palmyre depuis une vingtaine d'années.  

Surprotégé par sa maman, il est le premier bébé d'un jeune couple de tapirs terrestres. Cet animal, chassé pour sa viande dans son milieu naturel, est malheureusement en voie de disparition.

Le bébé tapir se différencie de l'adulte par sa couleur.  

 

 

Un événement rarissime

L'espèce d'équidé la plus proche de l'extinction a accueilli un nouveau membre le 30 juin 2010 au sein de la Réserve Africaine de Sigean.

On compte à peine quelques centaines d'ânes de Somalie dans le monde, cette naissance s'avère donc pour le moins exceptionnelle.

Considéré comme l'ancêtre de l'âne domestique, il rappelle le zèbre par les rayures qui couvrent ses pattes.

 

Mapenzi, le bébé gorille

Si la naissance d'un gorille n'est pas rare, elle reste toujours un grand moment pour l'espèce, en voie de disparition dans son milieu naturel.    

Mapenzi est né le 14 avril 2010 au Zooparc de Beauval. Pour le moment, il s'accroche encore à sa mère, mais ce bébé gorille des Plaines de l'Ouest prendra bientôt un peu d'indépendance.

 

Un petit chat sauvage

Le petit ocelot Soyaba est né en octobre 2010 au zoo de Montpellier. Ce chat sauvage originaire d'Amérique du Sud n'est actuellement plus considéré comme une espèce en danger, mais son habitat naturel est toujours menacé.

 

Apparition d'un bébé wallaby

Durant le printemps 2010, quatre wallabies de Bennett, originaires de Tasmanie, sont nés au zoo d'Amnéville.

 

En tant que marsupiaux, ils mettent au monde les bébés en deux temps : une fois que le fœtus est assez grand, il grimpe à l'intérieur de la poche ventrale de sa mère. Celui-ci est en train de finir sa croissance, le temps d'avoir des poils et d'être capable de marcher.

 

 

Maliwan, futur chanteur

Né le 11 janvier 2010 au parc animalier de Branféré, ce jeune siamang deviendra la voix de la forêt.  

Ces singes possèdent un "sac laryngien" qui leur permet de pousser plus qu'un cri, un véritable chant puissant qui s'entend à des kilomètres.

A le voir ainsi auprès de sa mère, on n'imagine pas que Maliwan deviendra un jour un grand ténor.

 

Destinés à devenir de magnifiques aras

4 perroquets ara Macau sont nés au sein du Zoo de Champrépus. Elevés à la main par un soigneur qui se substitue aux parents, ils sont veillés dès leur naissance 14h par jour, avant d'apprendre progressivement à être autonomes.

Le petit mâle et les 3 femelles ne pesaient que 10 g à la naissance. Aujourd'hui, ils commencent à ressembler à de véritables aras, avec leurs plumes multicolores.

 

Un bébé aux longues pattes

Cet adorable girafon est une petite femelle née en mai 2010 au zoo de Jurques. A la naissance, elle pesait déjà 60 kg et mesurait 1,65 m.

Elle va grandir auprès de ses parents, puis sera envoyée dans d'autres parcs animaliers européens dans le cadre d'un programme EEP de reproduction pour sauvegarder l'espèce.

 

Une demoiselle chez les tapirs terrestres

En octobre 2010, cette femelle tapir est née au sein du ZooParc de Beauval. Originaire d'Amérique du Sud, l'espèce est principalement nocturne et son principal prédateur est l'homme.  

Cette femelle gardera des tâches et des rayures sur son pelage durant 9 mois. 

 

  

 

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