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    Des grands félins en Angleterre

     

     

    L’Ecosse est un pays parcouru de montagnes, de forêts et de landes, peuplées uniquement de cerfs et de moutons. Ce pays semble donc un endroit idéal pour abriter de grands félins. Les premiers rapports officiels faisant état « d’animaux de grande taille inconnus » remontent au début du 20e siècle.

     

    Depuis les années 20, de mystérieux « félins » ont été signalés un peu partout en Ecosse mais également dans l’ensemble de l’Angleterre. Il semble que des rencontres avec des « pumas » ont été nombreuses depuis.

     

    D’où viennent ces félins et comment se fait-il, avec les moyens actuels, qu’ils soient aussi insaisissables ?

     

    Des félins bien réels

     

    Entre 1920 et 1927, des fermiers de l’Inverness-shire ont eu à déplorer de nombreuses pertes dans leurs troupeaux. L’un des fermiers tua « un grand animal sauvage jaune d’espèce inconnue ».

     

    La dépouille n’a pas pu être étudiée.

     

    Par contre, un autre animal fut pris au piège et le zoo de Londres l’identifia comme étant un lynx.

     

    On pensait l’espèce absente de ce pays. Il s’agissait probablement d’un animal relâché dans la nature par un particulier.

     

    Cryptozoologie:  Des grands félins en Angleterre

    Jeune Lynx du Canada. © dinosoria.com

     

    Depuis, les témoignages se sont succédé. En 1979, un camionneur vit un grand félin sur la route aux environs de Glasgow : »L’animal était grisâtre, avec des touffes blanches sur les côtés ».

     

    En 1980, un fermier décida de tendre un piège à l’animal qui décimait ses troupeaux. Il se servit d’une tête de mouton comme appât.

     

    Le 29 octobre 1980, il revint relever le piège et entendit des grognements. L’animal pris au piège n’était autre qu’un vrai puma bien vivant.

     

    Cryptozoologie:  Des grands félins en Angleterre

    Puma . © dinosoria.com

     

    L’animal fut transféré dans un parc naturel. Il s’avéra que ce puma était apprivoisé mais avait vécu quelque temps en liberté, selon les analyses de ses excréments.

     

    Après enquête, on trouva le coupable. Il s’agissait d’un homme qui, devant aller en prison, avait libéré ses deux pumas dans la nature.

     

    Les rencontres avec des pumas dans la région ne s’arrêtèrent pas là. En fait, elles furent de plus en plus fréquentes.

     

    Chasse au lion en Grande-Bretagne

     

    Un lion supporte très difficilement le climat pluvieux anglais. De plus, cet animal n’aimant pas le thé, il n’a aucune raison de quitter sa réserve pour faire peur aux vieilles lady.

     

    Pourtant, de nombreux témoignages font état de rugissements résonnant dans la paisible campagne anglaise.

     

    C’est ainsi qu’un « gros lion » défraya la chronique en juillet et août 1976.

     

    Cryptozoologie:  Des grands félins en Angleterre

    Lion. © dinosoria.com

     

    Le félin faillit faire mourir de peur deux laitiers qui tombèrent nez à nez avec le roi de la savane alors qu’ils faisaient leur tournée matinale, près de Nottingham.

     

    Une battue avec hélicoptères et chiens fut organisée mais le lion resta introuvable. Aucun zoo ne signala la disparition d’un félin.

     

    Après quatre jours de vaines recherches, le lion refit son apparition dans le jardin d’un médecin.

     

    Là encore, le lion prit la fuite à l’arrivée des policiers.

     

    Au bout d’une semaine de battues et près de 100 témoignages, le lion sembla disparaître dans la nature.

     

    Ce qui est étrange c’est qu’il n’y eut dans le même temps aucun mouton ou chèvre tué par un prédateur inconnu.

     

    En 1981, un lion fut observé par plusieurs personnes dans le Belfordshire. S’agissait-il du même animal ?

     

    Aucun lion ne manquait dans les zoos voisins et la police ne retrouva pas le fauve qui, une fois de plus, s’évanouit.

     

    Une panthère noire dans le Warwickshire

     

    En 1981 et 1982, des rapports affluèrent faisant état de la présence d’une « créature plus grosse qu’un berger allemand, noire et hirsute ».

     

    Des fermiers trouvèrent des agneaux égorgés et un daim.

     

    Cryptozoologie:  Des grands félins en Angleterre

    Panthère noire. Licence

     

    Une panthère noire fut aperçue sur un terrain de sport de Wellington Collège. En Galles du Sud, c’est un félin de 1,80 m de long qui troubla des promeneurs.

     

    La naturaliste Di Francis, qui a recherché activement les animaux observés, a noté 370 témoignages en douze mois.

     

    Des félins insaisissables

     

    Bien que les autorités rechignent à l’admettre, il semble bien que des félins de toutes espèces parviennent à survivre en Angleterre.

     

    Il est certain que la plupart de ces félins sont des animaux qui se sont évadés de zoos ou de cirques ou qui ont été abandonnés par leurs propriétaires.

     

    Cryptozoologie:  Des grands félins en Angleterre

    Puma.. © dinosoria.com

     

    Il ne s’agit nullement d’animaux mystérieux ou d’espèces disparues comme j’ai pu le lire. Par contre, le mystère réside plutôt dans leur faculté à disparaître sans laisser de traces.

     

    Lors des battues intensives, on n’a pas relevé d’empreintes, ni d’excréments. A croire que ces félins sont d’origine surnaturelle.

     

    Ce qui n’étonnera d’ailleurs personne car, après tout, l’Angleterre, est le pays par excellence des mythes et des fantômes.

     

    La tradition britannique est ainsi respectée.

     

    V.Battaglia (04.07.2006)

     

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    La bête du Devonshire

     

     

    L'hiver 1855 est rude en Angleterre, au point que la neige couvre même le comté de Cornouailles, dans l'ouest du pays. Le matin du 8 février, les habitants de la région du Devonshire bordant l'estuaire de l'Exe découvrent, avec stupéfaction et inquiétude, de longues lignes d'empreintes en forme de petit sabot de cheval.

     

    Très rapidement, ces mystérieuses empreintes d’une bête inconnue sont surnommées « les marques de sabot du diable ».

     

    Les mystérieuses empreintes

     

    Ces empreintes, qui mesurent dix centimètres de long sur sept de large, sont étranges à bien des égards. 

     

    Ce qui frappe les innombrables témoins et éveille l'attention du public, c'est leur régularité, leur netteté et, surtout, le fait qu'elles soient toutes exactement alignées, comme si elles avaient été la conséquence d'un sautillement sur une seule patte.

     

    Plus troublant encore, la neige n'est pas écrasée au fond des empreintes, mais elle a purement et simplement disparu, comme enlevée au fer rouge.

     

    Les traces couvrent plus de 150 kilomètres et ne semblent pas détournées par les obstacles. Ainsi, si elles s'arrêtent au pied d'un mur de cinq mètres de haut, c'est pour reprendre immédiatement derrière, sans laisser la moindre marque au sommet de celui-ci.

     

    Cryptozoologie:  La bête du Devonshire

    Empreintes publiées dans les journaux en 1855 (© Fortean Picture Library)

     

    Même chose ailleurs avec une meule de foin. Au contraire, dans une maison, elles passent par une conduite de drainage, de seulement 15 centimètres de diamètre. A un autre endroit, elles franchissent les trois kilomètres et demi de l'estuaire de la rivière Exe. Les villageois ne tardent pas à se dire que ces traces ne correspondent à celles d'aucun animal connu. La rumeur commence à évoquer le diable.

     

    Un témoin raconte :

     

    «... Dans toutes les paroisses, les empreintes étaient exactement de la même taille et les pas de la même longueur. Ce visiteur mystérieux n'est généralement passé qu'une fois dans chaque jardin ou chaque cour, de même que dans presque toutes les maisons des quartiers urbains et dans les fermes avoisinantes. (..)

     

    Elles franchissaient les murs comme s'ils ne constituaient pas le moindre obstacle. Les jardins entourés de hautes palissades ou de murs et dont les portes étaient fermées ont été autant visités que ceux qui étaient sans protection. (..)

     

    Deux autres habitants de la même commune suivirent une ligne d'empreintes pendant trois heures et demie, en passant sous des rangées de groseilliers et d'arbres fruitiers en espalier, perdant ensuite les empreintes et les retrouvant sur le toit des maisons auxquelles leurs recherches les avaient menés.

     

    Illustrated London News, 24 février 1855

     

    Des hypothèses peu satisfaisantes

     

    Au milieu du XIXe siècle, les nouvelles voyagent encore lentement et il faut attendre la sortie du London Times du 16 février 1855 pour que cette nouvelle soit connue à Londres. Mais ce sont les témoignages publiés peu après dans l'Illustrated London News qui déchaînent les passions. 

     

    D'abord, les Londoniens se moquent de ces histoires de prétendue créature inconnue et de la véritable psychose qui s'est installée dans le Devonshire. L'affaire leur semble la preuve que les provinciaux sont toujours sous l'emprise de superstitions médiévales.

     

    Mais, alors que les informations se précisent, le caractère étrange du cas apparaît de façon évidente. Le relevé minutieux d'un naturaliste du Devon suggère que des traces si régulières ne peuvent provenir que d'une créature unique. Reste à découvrir quel animal, visiblement de taille modeste, est capable de couvrir 150 kilomètres entre le crépuscule et l'aube dans les conditions décrites.

     

    Sir Richard Owen, célèbre paléontologue et créateur du mot «dinosaure», examine alors les dessins des empreintes et déclare, réponse surprenante pour un savant de son envergure, qu'elles sont le fait d'un groupe de blaireaux.

     

    D'autres suppositions tout aussi farfelues sont avancées : on parle de l'œuvre d'un plaisantin, d'un âne, d'un kangourou échappé d'un zoo, d'une grande outarde, de crapauds, d'un rat, de loutres et même... d'un lièvre boiteux.

     

    En dehors de l'hypothèse diabolique; les habitants de la région penchent plutôt, eux, pour celle de l'âne, surtout à cause de la forme des empreintes. Mais personne ne parvient à expliquer comment l'âne en question a pu monter sur le toit de plusieurs maisons ou passer sur le rebord d'une fenêtre au deuxième étage sans se faire remarquer...

     

    Les mois s'écoulant et la «bête» ne se manifestant plus, l'affaire cesse de faire la une de la presse.

     

    Seuls les spécialistes et amateurs de curiosités demeurent intrigués, aujourd'hui encore, par ce surprenant mystère. Ils ne croient pas, en effet, à la thèse le plus souvent retenue, d'une supercherie.

     

    Aucune tentative d'explication faisant intervenir un seul phénomène physique ou météorologique n'est acceptable, dans la mesure où les traces présentent toutes les caractéristiques de la piste habituelle d'un animal doté de sabots. A ceci près, toutefois, qu'il aurait été unijambiste et doué d'étonnants talents d'acrobate ! Comment s'étonner, alors que, presque un siècle et demi plus tard, certains y voient toujours l'oeuvre du diable en personne ?

     

    V.Battaglia (02.10.2006)

     

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    Tatzelwurm ou « ver à patte »

     

     

    Des bêtes ignorées vivent encore dans les régions les mieux connues. Un bon exemple est le Tatzelwurm.

     

    Ce reptile, que l'on appelle le Tatzelwurm ou « ver à pattes », est un lézard de 60 à 90 centimètres, de forme cylindrique et sans queue, aux pattes minuscules. Il siffle comme un serpent et se montre très agressif. On le dit même venimeux.

     

    Le Tatzelwurm a été aperçu par de nombreux promeneurs, en Suisse et en Autriche, qui n'ont pu le capturer. On n'a même jamais pu découvrir sa dépouille, qui confirmerait son existence. Mais sa réalité ne fait aucun doute. Dans les années 1930, une soixantaine de témoins se manifestèrent lors d'une enquête de la presse à son sujet.

     

    Un instituteur autrichien, qui le rencontra en avril 1929 dans une grotte du Tempelmauer, raconta :

     

    « Soudain je vis un animal serpentiforme étendu sur l'humus pourrissant qui couvrait le sol. Sa peau était presque blanche, non couverte d'écailles, mais lisse. Sa tête était aplatie et l'on voyait deux pattes très courtes à la partie antérieure du corps. Il ne faisait pas un mouvement mais ne cessait de me fixer de ses yeux remarquablement grands. [...] J'étais capable de reconnaître au premier coup d'oeil chacun de nos animaux (entendez par-là ceux de la faune locale), et je savais que j'avais sous les yeux celui qui est inconnu de la science, le Tatzelwurm. Excité et joyeux, mais en même temps quelque peu craintif, j'essayai de le saisir, mais... trop tard... »

     

    Il fallut attendre 1934 pour qu'un photographe suisse nommé Balkin rencontre de nouveau un « ver ». Se promenant dans les environs de Meringen, il aperçut soudain ce qu'il crut être un « pittoresque tronc d'arbre pourrissant » et voulut prendre un cliché. Mais le « tronc d'arbre » se précipita sur le photographe, qui eut juste le temps de prendre une photo. Celle-ci montra avec netteté la tête d'une sorte de « poisson » rébarbatif.

     

    Cryptozoologie:  Tatzelwurm ou « ver à patte »

    © Balkin

     

    Le Berliner Illustrieten Zeitung publia le document et organisa des battues dans les montagnes pour capturer l'animal. La mauvaise saison mit fin aux recherches. Le mystère ne fut donc pas élucidé.

     

    Depuis, on a émis de gros doutes quant à l’authenticité de cette fameuse photo. Certains y voient plutôt un trucage mettant en scène un poisson en céramique.

     

    Cependant, on ne peut mettre en doute les centaines de témoignages qui ont permis de dresser un portrait-robot de cet animal :

     

    50 à 80 cm environ

    Un corps massif à l’allure reptilienne

    Une peau couverte de fines écailles

    Une tête arrondie avec une absence de cou

    Une langue bifide comme celle des serpents (fendue longitudinalement)

    Une queue épaisse et courte

    Des moignons de pattes antérieures (le nombre de pattes de l’animal est incertain)

     

    Personnellement, cette description me fait penser à celui que l’on a surnommé « le monstre de Gila », un héloderme présent dans le sud-ouest des Etats-Unis.

     

    Heloderma suspectum est un lézard venimeux au corps massif et trapu. Ses membres sont courts et sa tête ronde.

     

    Il chasse essentiellement la nuit.

     

    Cryptozoologie:  Tatzelwurm ou « ver à patte »

    Heloderma suspectum. Monstre de Gila. © dinosoria (Zoo de San Diego)

     

    Nous ne connaissons actuellement que deux espèces d’hélodermes : le monstre de Gila et l’héloderme granuleux, un cousin de la côte ouest du Mexique (Heloderma horridum).

     

    Ce sont les seuls lézards venimeux qui inoculent leur venin par l’intermédiaire d’une série de fins canaux situés à la base des dents.

     

    Peut-être que le Tatzelwurm est un héloderme non répertorié. Ceci n’est bien sûr qu’une supposition de ma part.

     

    Si vous êtes intéressé par cette énigme cryptozoologique, je vous conseille de lire « Sur la piste des bêles ignorées » de B. Heuvelmans qui en fait une description mais sans donner la solution.

     

    V.Battaglia (21.10.2006)

     

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    Des varans géants en Australie ?

     

     

    L’Australie est un pays très riche en reptiles de toutes sortes. Il existe 26 espèces de varans australiens dont 15 espèces endémiques à l’Australie.

     

    Le varan commun est le plus répandu (Varanus varius) avec le varan de Gould également appelé varan des sables (Varanus gouldii).

     

    Mais ces varans ne dépassent pas les 2 m de long pour les plus grands spécimens.

     

    Le plus grand varan d'Australie est le varan Perenti (Varanus giganteus) qui peut atteindre 2,50 m pour les plus grands spécimens.

     

    Il semblerait que des varans géants aient été observés ces dernières années. Pourtant, les derniers varans géants ont officiellement disparu il y a environ 2 millions d’années.

     

    Au Pléistocène, Megalonia prisca chassait dans les plaines australiennes. Mesurant environ 8 m de long, il a côtoyé les premiers colonisateurs du continent australien.

     

    On sait qu’il chassait à l’affût les grands marsupiaux de l’époque. C’était un cousin du varan de komodo toujours en vie.

     

    La venue de l’homme a mis fin au règne du varan géant. Du moins, c’est ce que l’on pense car certains témoignages pourrait démontrer que ce varan existe toujours.

     

    Cryptozoologie:  Des varans géants en Australie ?

    Varan de Gould . © dinosoria.com

     

    Le cryptozoologue australien Rex Gilroy a recueilli des témoignages sur l’existence de ce varan en Australie du nord et de l’est.

     

    En 1975, un fermier de Cessnock, en Nouvelle-Galles du Sud, gardait ses vaches lorsqu’il aperçut un varan géant.

     

    Il évalua sa taille à environ 9 m.

     

    La même année, dans la même localité, Mike Blake était assis dans sa véranda quand il vit arriver un énorme varan devant chez lui.

     

    L’animal mesurait environ 7 m. Il se promena un peu devant l’habitation, regarda l’homme puis s’en alla tranquillement.

     

    Cryptozoologie:  Des varans géants en Australie ?

    Le varan Perenti est le plus grand varan australien. © dinosoria.com

     

    Toujours en 1975, deux fermiers de la région de Wattagans, roulaient en voiture à travers la forêt.

     

    Le conducteur freina brutalement lorsqu’il aperçut un tronc d’arbre en travers du chemin.

     

    Les deux hommes descendirent pour déplacer l’obstacle lorsque le « tronc » se mit à bouger, à relever la tête et à s’éloigner dans la forêt.

     

    Ce tronc était bien un varan. La largeur de la route faisait 7 m de long et le varan dépassait de chaque côté.

     

    De nombreux autres témoignages viennent à l’appui de la thèse de l’existence d’un varan géant.

     

    Certains ont été observés alors qu’ils dévoraient des vaches.

     

    L’Australie est un immense continent dont certaines parties sont à peine explorées. Forêts, déserts et régions inhospitalières pour l’homme sont autant de refuges pour des espèces inconnues ou officiellement disparues.

     

    Des petites populations disséminées sur l’immense territoire pourraient facilement passer inaperçues ou presque.

     

    V.Battaglia (24.06.2007)

     

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    Le mille-pattes de la baie d’Along

     

     

    La baie d’Along, sur la côte du Tonkin, est connue pour sa beauté mais également pour ses créatures étranges.

     

    Plusieurs créatures marines inconnues ont été observées dans cette baie au cours des 100 dernières années.

     

    Apparemment, certains monstres marins des environs sont très différents de ceux que l’on a déjà observé un peu partout dans le monde.

     

    En 1883, un Annamite, Tran Van Con rapporta une étrange histoire. Il affirma avoir découvert sur la rive de la baie d’Along la dépouille d’un animal inconnu.

     

    Cette dépouille mesurait 19 m de long mais sans la tête qui avait disparu.

     

    Cryptozoologie:  Le mille-pattes de la baie d’Along

    Baie d'Along . By Preetamrai

     

    Son corps était formé de segments identiques et chacun d’eux portait une paire d’appendices longs de 80 cm.

     

    L’animal était recouvert de téguments brun foncé sur le dos et jaune clair sur le ventre. Cette enveloppe protectrice était très dure et particulièrement résistante.

     

    Apparemment, cette observation n’était pas la première. En effet, cet animal non répertorié était appelé dans la région le « mille-pattes ».

     

    V.Battaglia (20.06.2007)

     

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