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    Serpent

     

    Le serpent est un long et mince reptile du sous-ordre des Serpents et de l'ordre des Squamates (qui inclut aussi les lézards). Au Canada, on compte 26 espèces indigènes et une espèce apparemment hybride. La majorité des serpents vivent dans le sud du Canada.

     

    du site:  http://www.encyclopediecanadienne.ca/fr

     

     

    Serpent taureau

     

    Avec ses 180 cm, le serpent taureau ou serpent taupe est l'un des plus grands serpents du Canada (Corel Professional Photos).

     

     

     

    Couleuvre rayée des Maritimes

     

    La couleuvre rayée des Maritimes est l'une des 5 sous-espèces de couleuvre rayée que l'on retrouve au Canada (oeuvre de Charles Douglas).

     

    Serpents du Canada

     

    Serpent ratier gris (en haut), Couleuvre à ventre rouge (à droite), Crotale de l'Ouest (au centre, à gauche), Couleuvre rayée à ventre rouge (au centre, à droite) et Couleuvre d'eau (oeuvre de Jan Sovak, 1989).

     

    Description

    Les serpents n'ont pas de pattes, mais les formes primitives ont une ceinture pelvienne et des saillies osseuses qui sont des vestiges des pattes postérieures (par exemple le Boa caoutchouc que l'on trouve au Canada). Comme chez les autres Reptiles, le corps des serpents est couvert d'écailles qui leur permettent de réduire les pertes d'eau dans les milieux secs et constituent un mécanisme de protection. Cet épiderme mue quelques fois par année, habituellement en un seul morceau.

     

    Bien que certaines espèces tropicales atteignent une grande taille (tels le Python réticulé et l'Anaconda, les plus grands serpents connus, qui peuvent mesurer de 8 à 10 m de longueur), les espèces canadiennes varient de 40 cm (Couleuvre à ventre rouge que l'on trouve dans le nord) à 180 cm (Couleuvre obscure de l'Est, de couleur noire et Couleuvre à nez mince).

     
    Répartition et habitat
     

    Il y a plus de 3000 espèces de serpents dans le monde, et la plupart vivent dans les régions tropicales. Une espèce vit au nord du cercle polaire arctique (au 68e parallèle Nord), en Scandinavie, et une autre atteint le 48e parallèle Sud, en Amérique du Sud.

     

    Au Canada, on compte 26 espèces indigènes et une espèce apparemment hybride (Couleuvre obscure de l'Est) appartenant à trois familles : les Boïdés (un), les Vipéridés (quatre quatre dont l’une a disparu du pays) et les Colubridés (22). Seuls les Vipéridés sont venimeux, mais certains des grands Colubridés peuvent infliger des blessures douloureuses. La majorité des serpents vivent dans le sud du Canada, mais la couleuvre rayée atteint presque le 60e parallèle Nord près de Fort Smith, dans les Territoires du Nord-Ouest.

     

    Les serpents ont des modes de vie variés : on trouve des espèces fouisseuses, arboricoles, dulçaquicoles ou marines. La plupart des espèces canadiennes sont terrestres, mais certaines sont semi-aquatiques ou aquatiques et vivent principalement en eau douce.

     
    Locomotion

     

    Bien qu'ils n'aient pas de pattes, les serpents peuvent se déplacer de façons variées. La méthode la plus communément utilisée est l'ondulation latérale, où le corps fait une série de courbes horizontales, l'arrière de chaque courbe s'appuyant contre les irrégularités du sol. Une technique similaire est aussi utilisée pendant la nage. Les serpents à corps massif (par exemple, les serpent à sonnette) peuvent également effectuer des déplacements rectilignes (en ligne droite) en alternant un mouvement avant de la peau et un ancrage des écailles du ventre qui sont orientées vers l'extrémité postérieure, suivi d'un mouvement vers l'avant de la partie interne du corps.

     

    Dans des endroits confinés, certaines espèces utilisent des mouvements d'accordéon ou télescopiques : le serpent ancre son extrémité postérieure par quelques courbes horizontales, étend et ancre à nouveau son extrémité antérieure et tire la partie arrière vers l'avant. La forme la plus spécialisée de locomotion, le roulement ou zigzag latéral, n'est utilisée que sur des substrats mous et chauds tel que le sable dans le désert, ainsi aucune espèce canadienne ne la pratique de façon régulière.

     
    Régime alimentaire

     

    Toutes les espèces de serpents sont carnivores et la plupart sont adaptées pour pouvoir avaler entièrement de grosses proies. Les Boïdés, les Vipéridés et les plus grands Colubridés se nourrissent principalement d'animaux à sang chaud (par exemple, de petits mammifères). D'autres espèces de Colubridés se nourrissent d'une grande variété de proies comme de petits Mammifères, desAmphibiens et des Poissons. Les plus petites espèces mangent des Invertébrés (vers de terre, limaces et insectes).

     

    Les ligaments élastiques reliant les deux os des mâchoires inférieures et les nombreuses articulations entre les os du crâne permettent le mouvement indépendant des différentes parties du crâne et de la mâchoire inférieure. Les dents recourbées vers l'arrière retiennent la proie tandis que le serpent avance les quatre demi-cercles de ses mâchoires sur la proie en l'avalant. La peau élastique et une ouverture trachéale dans la bouche sont également des adaptations qui facilitent l'ingestion souvent assez lente de grosses proies entières.

     
    Prédation
     

    La plupart des espèces détectent leurs proies visuellement et chimiquement. Le principal organe chimiosensible des serpents est l'organe voméro-nasal situé dans la voûte du palais. Des molécules lui sont envoyées par la langue fourchue que l'animal darde continuellement lorsqu'il étudie une proie potentielle.

     

    Les Crotalidés (par exemple, les serpents à sonnette) se nourrissent principalement d'animaux à sang chaud et peuvent localiser une proie avec précision, même dans le noir, grâce à des fossettes thermosensorielles situées sous les yeux. Plusieurs espèces de boas et de pythons possèdent des organes thermosensoriels dans les mâchoires supérieures et inférieures. Bien que les serpents puissent détecter les vibrations provenant du sol ainsi que les sons de basse fréquence, leur acuité auditive est faible et ne joue probablement pas un rôle important dans la prédation.

     

    Plusieurs espèces attrapent simplement leur proie et l'avalent entière et encore vivante, généralement tête première, mais certaines proies représentent un risque élevé de blessure. Une méthode plus élaborée consiste à tuer la proie avant de l'avaler. Les constricteurs s'enroulent autour de la proie, ce qui empêche cette dernière de respirer ou encore provoque une insuffisance cardiaque. Quoique les boas et les pythons soient les constricteurs les plus connus, plusieurs autres espèces de serpents pratiquent cette technique (la Couleuvre à nez mince et la Couleuvre obscure au Canada). La technique la plus efficace et la moins risquée consiste en l'envenimation.

     

    Les serpents venimeux possèdent une glande à venin au-dessus de la mâchoire supérieure qui est reliée par un conduit à un crochet tubulaire situé à l'avant de la bouche. L'injection du venin tue la proie, et la digestion commence pendant que le serpent attend la mort de sa victime. Chez les Vipéridés et les Crotalidés, les crochets sont si longs qu'ils sont repliés le long de la voûte du palais lorsqu'ils ne servent pas. Les quatre espèces de serpents à sonnette indigènes du Canada sont des Crotalidés (dont l’une, la crotale des bois, a disparu du pays).

     

    D'autres espèces de serpents très venimeux (les cobras d'Afrique et d'Asie) possèdent des crochets plus courts et fixes. Certains Colubridés sont venimeux, mais habituellement faiblement. Ils ont, à l'arrière des mâchoires, des dents rainurées et injectent le venin dans la proie en mastiquant. La seule espèce canadienne à crochets postérieurs est la Couleuvre nocturne, un animal discret et inoffensif dont la limite nord est en Colombie-Britannique.

    Température corporelle

     

    Comme les autres reptiles, les serpents sont poïkilothermes (leur température dépend principalement des conditions extérieures) et peuvent, jusqu'à un certain point, régler leur température corporelle en se déplaçant alternativement du soleil à l'ombre. Les serpents nordiques sont généralement plus tolérants au froid que les espèces tropicales, mais les conditions extrêmes des régions tempérées nordiques font que les serpents doivent régulièrement affronter des conditions climatiques trop froides pour pouvoir survivre ou être actifs toute l'année. Les serpents du Canada doivent donc hiberner sous la limite de profondeur de pénétration du gel.

     

    Dans les régions où les hivers sont très froids, les endroits où les serpents peuvent s'enfouir assez profondément pour éviter la congélation peuvent être rares, et les sites adéquats sont utilisés par plusieurs serpents. Dans l'Ouest canadien, le Crotale de l'Ouest et la Couleuvre rayée démontrent assez bien le phénomène d'hibernation collective : les couleuvres rayées forment parfois des groupes de milliers d'individus. Parce que les sites d'hivernage sont parfois concentrés dans certains endroits, l'hibernation collective est parfois accompagnée de migrations sur plusieurs kilomètres entre les sites d'hivernage et l'habitat d'été.

     
    Reproduction
     

    Au Canada, la majorité des espèces de serpents s'accouplent au printemps peu après la fin de l'hibernation. Les crotales de l'Ouest, les crotales des prairies ainsi que les crotales des bois se reproduisent cependant à la fin de l'été ou à l'automne. La femelle conserve le sperme pendant l'hiver, et la fertilisation a lieu au printemps suivant. Chez les serpents, la fertilisation est interne, et le mâle utilise un organe copulateur pour transférer le sperme dans la femelle. Chaque mâle possède deux de ces organes (hémipénis) à la base de la queue. Parmi les serpents, on compte des espèces ovipares et ovovivipares. Les premières sont plus nombreuses dans le monde, mais la proportion d'ovovivipares est plus grande dans les milieux froids (par exemple 15 des 26 espèces au Canada sont ovovivipares).

     

    L'ovoviviparité est probablement une adaptation utile dans les régions où les étés sont courts, parce que la femelle peut mieux régler la température de développement des petits que si elle pondait simplement ses oeufs dans le sol. Les femelles mettent parfois bas à la fin de l'été et peuvent être incapables de se nourrir suffisamment avant l'hibernation pour pouvoir se reproduire à nouveau l'été suivant. Conséquemment, les femelles des hautes latitudes peuvent ne produire qu'une couvée à un intervalle de deux années ou plus (par exemple, le Crotale de l'Ouest).

     

    Avec les espèces canadiennes, les portées ou couvées comptent généralement de un à 25 petits, bien que certaines espèces puissent produire des couvées plus importantes.

     

     

     

    Reptiles:  Serpents au Canada

     

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    Le secret du boa : non, il ne tue pas ses

    proies en les étouffant

     

    Reptiles:  Le secret du boa : non, il ne tue pas ses proies en les étouffant + vidéo

     

    de planet.fr

     

     

    Des chercheurs ont récemment découvert la vérité sur le boa: contrairement aux idées reçues, le serpent ne tue pas ses victimes en les étouffant mais en leur coupant la circulation sanguine.

     

    L'idée que le boa constrictor étouffe ses victimes avant de les manger a été récemment corrigée. Selon des chercheurs américains, le reptile prépare son repas d'une autre manière: plutôt que de couper la respiration, il bloque la circulation sanguine de ses proies.

     

    Pour mener à bien leur étude, parue dans le "Journal de la Biologie expérimentale", les scientifiques ont utilisé des rats comme cobayes. Après les avoir anesthésiés et donnés en pâture à un boa, les chercheurs ont mesuré l'activité cardiaque des rongeurs ainsi que leur pression sanguine grâce à plusieurs capteurs. Ils ont alors découvert que les rats ne mourraient pas à cause de la pression exercée sur leur poumons.

     

    "À la fin de la constriction, 91 % des rats présentaient des signes de dysfonctionnement cardiaque", a affirmé l'équipe de scientifiques. 

     

    "Le repas est servi"

    Les chercheurs ont également constaté que les proies du boa ne meurent qu'après avoir été avalées par le serpent. Pourtant, la cause de leur mort n'est pas due à un manque d'oxygène à l'intérieur du reptile. Comme l'a souligné le National Géographique, "une fois que le flux sanguin cesse, les organes (...)- tels que le cerveau, le foie et le coeur lui-même - commencent à s'éteindre".  Les docteurs appellent ce phénomène "l'ischémie".

     

    "Les serpents appellent ça le déjeuner", a de son coté fait remarqué le magazine avec humour.

     
     
     
    Par ailleurs, les scientifiques ont également découvert que cette technique, consistant à arrêter le flux sanguin, constituait un système d'attaque et d'auto-défense des plus efficaces pour le boa, ainsi que pour l'anaconda et le python. "Plus vite le serpent met sa proie hors d'état, moins il a de chance d'être blessé pendant l'opération", a rapporté le National Géographique.

     

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    Trois petits dragons découverts dans les Andes

     

    Pourvues de couleurs et de motifs variés, parfois recouvertes de longues écailles en pointe, trois nouvelles espèces de lézards ont été découvertes dans les forêts brumeuses du Pérou et de l’Équateur. Elles appartiennent au genre Enyalioides. La diversité de ces « petits dragons » serait bien plus riche que supposé.

     

     
     

    Le nom de l'espèce Enyalioides altotambo fait référence à la ville où elle a été trouvée, à Alto Tambo, en Équateur. © Omar Torres-Carvajal et al., ZooKeys

    Le nom de l'espèce Enyalioides altotambo fait référence à la ville où elle a été trouvée, à Alto Tambo, en Équateur. © Omar Torres-Carvajal et al., ZooKeys

     
     

    Même au XXIe siècle, il reste bien des espèces animales à découvrir et en particulier de lézards, comme le démontre une étude publiée dans la revue ZooKeys. L'article décrit trois nouvelles espèces du genre Enyalioides vivant dans les forêts humides du Pérou et de l’Équateur, entre 800 et 1.800 mètres d'altitude.

     

    Mesurant une quinzaine de centimètres et capables de se fondre dans leur décor naturel, ces nouvelles espèces se distinguent par leur morphologie. E. sophiarothschildae présente ainsi un dos noir verdâtre avec des taches de couleur olive et une gorge blanchâtre. Sur sa colonne vertébrale courent de longues écailles vertes.

     

    Enyalioides anisolepis tire son nom d'un mot grec qui signifie « écailles inégales ». L'espèce vit à la fois dans le nord du Pérou et au sud de l’Équateur, entre 724 et 1.742 mètres d'altitude. © Omar Torres-Carvajal et al., ZooKeys
    Enyalioides anisolepis tire son nom d'un mot grec qui signifie « écailles inégales ». L'espèce vit à la fois dans le nord du Pérou et au sud de l’Équateur, entre 724 et 1.742 mètres d'altitude. © Omar Torres-Carvajal et al., ZooKeys

     

    Trois espèces distinctes sur le plan génétique

     

    Plus uniforme dans ses tons marron, verts et jaunes, E. anisolepis porte des écailles de longueurs différentes sur le dos, les flancs, les membres et d'autres de forme conique derrière la tête.

     

    Quant à E. altotambo, à dominante vert vif, elle arbore un cou épais et des écailles de même taille sur tout le corps. La couleur brune de ses yeux la distingue d'une espèce déjà connue, Enyalioides oshaughnessyi, aux yeux rouges, tout comme la taille invariable de ses écailles qui, chez E. oshaughnessyi, diminue en direction de la queue.

     

    Les chercheurs ont aussi étudié l'ADN mitochondrial des spécimens collectés sur le terrain et les résultats confirment la distinction des trois espèces. Une arbre phylogénétique les place parmi les espèces déjà déterminées.

     

    Enyalioides sophiarothschildae a été localisée dans le bassin supérieur de la rivière Huallaga, à 1.500 mètres d'altitude, dans le nord du Pérou. © Omar Torres-Carvajal et al., ZooKeys
    Enyalioides sophiarothschildae a été localisée dans le bassin supérieur de la rivière Huallaga, à 1.500 mètres d'altitude, dans le nord du Pérou. © Omar Torres-Carvajal et al., ZooKeys

     

     

    Les Hoplocercidae, les plus gros lézards de la forêt amazonienne ?

     

    « La diversité de ces reptiles visibles a été sous-estimée », note Omar Torres-Carvajal, chercheur à l'université pontificale catholique d'Équateur et auteur principal de l'article scientifique. C'est lors d'une expédition dans les montagnes humides des Andes que ces nouveaux sauriens, souvent décrits comme des dragons miniatures, ont été découverts. Appartenant à la famille desHoplocercidae, ces lézards terrestres sont généralement fouisseurs, diurnes et insectivores.

    Dans cette région du monde, les forêts tropicales de haute altitude, enveloppées de brumepermanente, sont propices à une diversité biologique encore méconnue. Cinq des douze espèces jusqu'à présent connues des scientifiques ont été répertoriées au cours de la dernière décennie. Les trois espèces nouvellement décrites viennent donc enrichir la liste de ces reptiles considérés comme les plus gros lézards de la forêt amazonienne.

     

    Reptiles:  Trois petits dragons découverts dans les Andes

     

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    La preuve que même les reptiles peuvent

    être mignons en 20 images

     

     

    Brice 
     

    Lorsque l'on parle d'animaux mignons, on a tendance à se pencher vers les petits lapins à fourrure, les chatons espiègles, ou autres lionceaux qui s'essayent au rugissement. Mais la gentillesse est un concept universel, et qu'ils soient reptiles ou amphibiens, ils ont eux aussi leur mot à dire!

     

    Oui ce ne sont pas des mammifères, ils ont des écailles et pas de fourrure, certains sont même toxiques, d'accord. Mais ils peuvent aussi nous faire pencher la tête. De plus, is sont là depuis bien longtemps que nous et quelque part, nous sommes aussi liés à eux, ça mérite un peu plus d'intérêt. Et puis franchement, il ont au moins le mérite d'être souriant. Bref, ils sont irresistibles : 

    Ce dragon barbu

    Ce caméléon heureux

    Ce petit alligator

    Qui aime les scrounch scrounch

    Ce serpent minuscule

    Mais féroce

    "Donne moi ta patte!"

    Cet adorable sourire

    Ce joli Gecko, grand comme un doigt

    Et que dire de celui-ci

    Toujours en train de se marrer

    Ce tout petit serpent aveugle originaire de l'Ouest américain

    Cette jolie tortue souriante

    Qui devrait en inspirer plus d'un(e)

    Ce petit croco surfant sur la tête à maman

    Cette amatrice de fruits rouges

    Cette aventurière, qui s'embarque pour un long voyage

    Ce bébé caméléon

    Ces deux lézards amoureux

    Cette tortue en train de bailler

    Cet amateur de sauce BBQ

    Ou celui-ci, en pleine exploration

    Ce serpent qui vous souhaite un joyeux Noël

    Ils sont tous magnifiques

    Expressifs

    Ils ont un coeur gros comme ça

    Et des rêves plein la tête

    Et c'est pas lui qui vous dira le contraire!

    Ni ce chat d'ailleurs ...

     
     

    Reptiles:  La preuve que même les reptiles peuvent être mignons en 20 images

     

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    de la revue La Semaine

     

    Reptiles:  Les serpents

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