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    Mme Lee

     

    151, rue Ontario Est

    Montréal, H2X 1H5 ‎

    438 383-7673

    Restaurants:  Mme Lee

     

    Par Marie-Andrée Guimont publié le 12 décembre 2013 du site divine.ca

     

     

    Le Quartier des spectacles, autrement

     

    Vous vous souvenez peut-être du Jello Bar, adresse à martinis. Il n’est plus. Il a laissé sa place à Mme Lee, un bar tout neuf. L’espace est beau et vaste, l’ambiance feutrée; on y est franchement confortables, quoi. Tout sur ce point de rencontre où se retrouver en bonne compagnie avant le cinéma, un concert, ou simplement en milieu de semaine pour bien boire.  

     

    Restaurants:  Mme Lee

     

    Situé au coin Rachel et De Bullion, on doit avouer que Mme Lee a bien choisi sa localisation: en plein cœur du Quartier des spectacles, à deux pas du centre-ville et du Plateau. L’espace complètement rénové est décoré d’industrielle façon, mais il est pourtant chaleureux. Merci aux accents de bois et aux chandelles déposées ici et là.

     

    La vedette de l’endroit? Le cocktail. De sérieux cocktails. Chaleureux, on vous avait avertie! Dans la version maison du Long Island Iced Tea, le Jack Daniel’s côtoie le rhum brun, la vodka, le gin et le Cointreau (avec une pointe de citron et de Coke – 15 $). Corsé, et délicieux. Dans Le Laloux (12 $), plus doux et sucré, c’est la framboise qui tient la vedette, elle aussi mêlée au Jack. À la carte, on retrouve aussi un drink nommé Rob Ford (13 $). Un amalgame composé entre autres de Calvados et de pamplemousse, intense comme le personnage.

     

    Afin de faire passer le tout, Mme Lee s’offre aussi à nous nourrir. Le menu est simple et sans friture, contrairement à la cuisine de bar à laquelle on est habitués. On partage une généreuse assiette de fromages (20 $), ou même des entrées façon hummus (7 $) et Guacamole (8 $). Et les carnivores ne sont pas en reste: roulé de figues et chorizo, voilà pour vous.

     

    Restaurants:  Mme Lee

     

    Notre coup de cœur point de vue bouffe, le tartare de bœuf. Parfaitement apprêté et assaisonné avec modération, il nous est servi avec Sriracha et fleur de sel en à-côté. Et l’assiette ne serait complète sans une touche de roquette et de généreux copeaux de parmesan. On a aussi eu un faible pour la guédille de homard (15 $): parce que, fruit de mer et verre de blanc, quelle joyeuse façon de terminer la journée. Oh oui, parce qu’on vous propose du vin aussi, à partir de 38 $ la bouteille, et de la bière, en fût et en bouteille.

     

    Tout ceci, on le déguste au son d’une musique bien présente, qui donne aussi le ton à l’ambiance. C’est par un mardi soir qu’on s’y était attablées, et le DJ y a joué de la house. Sympathique. Et plus la soirée avance, plus l’endroit devient festif.

     

    Une belle découverte!

     

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    Joverse

     

    52, rue Saint-Jacques

    Montreal, H2Y 1L5

    www.joverse.com

     

    Par Caroline Élie publié le 3 décembre 2013 du site divine.ca

     

    Restaurant:  Joverse

     

    Bar et bouffe de style

     

    Ouvert depuis l’été déjà, le Joverse s’est rapidement frayé un chemin dans la haute sphère des restos prisés du tout Montréal. L’établissement a accueilli des événements de toutes sortes – on pense au chic happening Rad Hourani ou à la soirée Hennessy Artistry –, et arrive à nous épater avec des plats goûteux et une ambiance animée. Pleins feux sur cet endroit qu’on aime dorénavant fréquenter.

     

    Restaurant:  Joverse

     

    D’abord, la déco de l’endroit charme par ses accents de bois et de brique et ses ampoules industrielles. La bâtisse, qui date de 1730, rien de moins, s’est vue abriter plusieurs commerces depuis sa création, dont La Presse qui a utilisé l’endroit temporairement suite à un méga incendie ravageur en 1908. Ce serait peu dire que de proclamer que ces murs ont vu passer beaucoup d’histoire, pas vrai?

     

    Restaurant:  Joverse

     

    Le Joverse d’aujourd’hui se veut complètement tendance avec sa clientèle qui mêle gens d’affaires au gratin mondain. Plusieurs DJ de renom défilent derrière les platines – Christian Pronovost, Marciano, Maus – et s’assurent de rendre l’ambiance assez branchée en soirée, puis plus festive alors que la nuit s’installe. C’est donc autant pour l’apéro, pour casser la croûte ou pour festoyer qu’on visite l’adresse du Vieux-Montréal.

     

    Restaurant:  Joverse

     

    Parlons bouffe! Le menu offre des plats rappelant la formule tapas, qui sait d’habitude faire notre bonheur. On craque pour le minitaco au canard effiloché, la salade fraîche de figues et fromage et les succulents gâteaux de crabe. On se permet aussi de terminer par une note sucrée avec une concoction signée Léché Desserts, et on se rassasie..

     

    Restaurant:  Joverse

     

    Les fanas de cocktails et de bons vins seront ravis. La carte est élaborée et présente surtout une super offre de mezcal, liqueur mexicaine qu’on trouve rarement à Montréal. On note à notre agenda les soirées tacos tous les mardis, les compétitions de mixologie les mercredis soirs et les vendredis Aperitivo. Mine de rien, le Joverse sait comment garder sa clientèle intéressée, la semaine durant.

     

    On relègue l’adresse parmi nos endroits coups de cœur de 2013, puis on pensera lors de notre prochain arrêt à profiter de la section club au sous-sol, le Red Room, qui promet de solides fins de soirées. En un mot: allez-y.

     

     

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    Restaurant Bota Bota

     

    Quais du Vieux-Port de Montréal

    358, rue de la Commune Ouest

    Montréal

    514 284-0333

    www.botabota.ca

     

    Restaurant:  Restaurant Bota Bota

     

    Par Marie-Andrée Guimont publié le 29 novembre 2013 du site divine.ca

     

    Ceci est une mise-à-jour

     

    Plus spacieux, plus accessible

     

    Le Bota Bota, lieu de détente avec vue (et toute une!), inaugurait cette semaine son nouveau restaurant. Mais attention, on vous rassure de ce pas: c’est toujours Éric Gozalez et sa troupe de l’Auberge Saint-Gabriel qui sont aux commandes en cuisine. Plus sur la délicieuse métamorphose de cette table, à laquelle on peut maintenant accéder sans avoir à faire trempette.

     

    Il aura fallu quelques mois de travaux pour «concocter» ce nouvel espace. Afin d’accueillir cette nouvelle salle à manger, le traversier-devenu-spa a été bonifié d’une nouvelle structure flottante vitrée. Maintenant, une quarantaine de personnes peuvent y prendre place pour profiter du panorama. Même que, avec l’arrivée de l’été, les panneaux s’ouvriront pour donner accès à une terrasse-sur-l’eau.

     

    Restaurant:  Restaurant Bota Bota

     

    Nouveau décor, même menu. Ce dernier changera au gré des saisons. Mais en tout temps, fraîcheur, originalité et réconfort en seront les mots d’ordre. Pas surprenant, venant de Gonzalez. On nous informe d’ailleurs que, grâce à ce petit coup de fraîcheur, le décor, l’ambiance et le service se rapprochent encore plus du Saint-Gabriel, véritable établissement gastronomique du Vieux-Montréal. Voilà qui nous prend par l’estomac.

     

    Le resto est ouvert sept jours semaine (au moins jusqu'à 20 h) et, grande nouveauté: est à la portée de tous, clients du Bota Bota ou non.

     

    Bon Appétit!!!

     

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    Restaurant Globe 

    3455, boulevard Saint-Laurent

    Montréal, H2X 2T6

    514 284-3823 

    www.restaurantglobe.com

     

    Restaurant:  Restaurant Globe

     

    Par Caroline Elie publié le 26 novembre 2013 du site divine.ca

     

    Restaurant:  Restaurant Globe

     

    Ça fait 20 ans 

     

    Le Restaurant Globe tourne une page importante de son histoire ce mois-ci. Une vingtaine d’années derrière la cravate, c’est qu’il en a vu défiler de toutes sortes, ce bien-aimé de la faune glam montréalaise. C’est le 13 novembre 1993 que la Main a vu apparaître cette institution gastronomique qui est aujourd’hui tout aussi réputée, autant à l’international que chez-nous. Fier partenaire du Grand Prix de Montréal et adulé des équipes de cinéma hollywoodiennes en tournage ici, le Globe s’est bâti une solide image au fil de ans. On a jasé avec le copropriétaire et fondateur dudit resto, Roberto Pezut. En bref, notre topo.

     

    Lors de notre dernier passage cet été, on a vu défiler sous nos yeux plateau de fruits de mer, huîtres fraiches, puis pièces de viandes divinement apprêtées. Cela dit, ce resto qui fait en partie la réputation de la rue Saint-Laurent ne nous a jamais déçues lors de nos escapades. Aujourd’hui, c’est le chef Jean-François Baril qui se retrouve derrière les fourneaux. Cela dit, on peut toujours s’attendre à des plats savoureux et simples souvent rehaussés d’épices diverses. On y va aussi pour l’ambiance, et la carte des vins…

     

    Nos questions, ses réponses.

     

    Au moment de l’ouverture il y a 20 ans, quel genre de restaurant aviez-vous en tête?

     

    «On voulait offrir à ce temps-là une cuisine variée issue de plusieurs cultures. Comme ce concept est exigeant cuisine parlant, on a vite dévié. C’est Martin Picard, notre premier chef de passage – aujourd’hui propriétaire du restaurant Au Pied de Cochon – qui a introduit sur la carte les grillades et les fruits de mer. Offrir des produits de qualité a toujours été au cœur de nos ambitions.»

     

    Pourquoi être toujours demeuré fidèle à la Main? 

     

    «D’abord, déménager un restaurant demande un effort monétaire non négligeable. Ensuite, la Main demeurera selon moi toujours la Main. Il y a 50 ans, mes parents y travaillaient, j’y travaille aujourd’hui, et qui sait peut-être que mes petits-enfants y travailleront aussi un jour…»

     

    Plusieurs chefs reconnus sont passés aux commandes de la cuisine (Chuck Hugues, David McMillan, etc.) Avez-vous l’impression qu’ils ont en quelque sorte laissé leur marque au sein de la culture du resto?

     

    «Chacun d’entre eux avait sa propre vision. Chaque fois qu’on accueillait un nouveau chef, c’était une nouvelle étampe qu’on s’apposait, comme une nouvelle marque gastronomique. Ce fût un défi à chaque fois.  Plusieurs de nos anciens chefs sont aujourd’hui propriétaires de restaurants réputés. Si on a été une sorte d’école pour eux, ils nous ont aussi beaucoup appris sur leur art en retour.»

     

    Des anecdotes qui ont marqué l’histoire du Globe?

     

    «Ben Affleck a demandé à être derrière le bar pour 20 minutes une fois. La folie s’est emparée des femmes dans le restaurant, ce fût épique! On a aussi dû éteindre un feu en pleine soirée de réveillon le 31 décembre 2002. On a transféré tous les clients de l’autre côté de la rue, au Buonanotte. Quelle soirée!»

     

    Restaurant:  Restaurant Globe

     

    Pour marquer son anniversaire de deux décennies, le Globe reçoit à nouveau deux anciens chefs, David McMillan et Frederic Morin, aujourd'hui propriétaires du restaurant Joe Beef, lors d’une soirée spéciale le lundi 25 novembre. Une partie des profits de cette soirée au menu 4 services – déjà complète ! – sera remis à Movember.  

     

    Bon Appétit!!! 

     

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    Maison publique

     

     

    4720, rue Marquette

    Montréal, H2J 3Y6

    514 507-0555

    www.maisonpublique.com

     

     

    Par Ariane Boisvert publié le 20 novembre 2013 du site divine.ca

     

    Restaurant:  Maison publique

     

    Brit bouffe!

     

    Oh qu’elle a du panache cette adresse qu’on vous présente aujourd’hui! Et on ne parle pas seulement de sa chaleureuse déco faite d’œuvres de taxidermie et autres babioles qui ont du vécu. Maison Publique, c’est un resto de quartier qui réinvente la cuisine des pubs anglais en lui donnant des saveurs locales, proposition qui aura su charmer votre envoyée spéciale. 

     

    Niché dans l’est du Plateau, le troquet sied sur le coin des rues Gilford et Marquette. En ce samedi soir, règne à l’intérieur un joyeux brouhaha qui nous fait regretter de ne pas avoir fait de réservation. Soulagement! Notre hôte barbu et tout sourire nous indique une longue table qu’on partagera avec un couple, arrivé lui-aussi sans prévenir. Qu’on se le tienne pour dit: l’endroit, récemment nommé parmi les 10 meilleurs nouveaux restos canadiens par le magazine enRoute, risque de gagner en popularité mais pas en superficie.

     

    À la soupe! Le concept ici est simple. On nous conseille de sélectionner des assiettes à partager, tout en buvant un cidre maison bien pétillant, une bière de brasserie locale, ou même, un verre de vin canadien. On choisit le cidre pour remplir notre verre, et on se lève pour zieuter l’ardoise qui annonce les plats du jour.   

     

    Elle ne donne pas dans la légèreté, la cuisine de cette public house. Il y a tout de même façon de se composer un repas nuancé, qu’on amorce avec le welsh rarebit, une nourrissante tartine de pain de levain tranché épais et recouvert de béchamel à la stout (locale, of course!) et de cheddar fondu. On chemine dans la convivialité en s’attaquant ensuite à une fraîche salade de carottes au fromage bleu, un carpaccio de cheval et quelques tranches d’esturgeon fumé. Les propositions sont costaudes et fines à la fois, faites d’ingrédients irréprochables. 

     

    Restaurant:  Maison publique

     

    Gourmandes assumées, on s’offre une grande finale: notre premier eton mess à vie. Mitonné dans les règles de l’art, il prend la forme d’une petite montagne de quartiers de pommes caramélisées, mélangés à de la crème fouettée et des morceaux de meringue citronnée, le tout recouvert de petits bonbons multicolores comme on en retrouve parfois sur la crème glacée. Oui, la gastronomie anglaise a de ces trésors que le chef de Maison Publique, Derek Dammann, interprète de main de maître. 

     

    Bon Appétit!!!

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