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    Des objets étranges venus de l’espace

     

    Les pluies d'Animaux

     

    Nous connaissons bien le phénomène des pluies de météorites. Mais, bien d’autres objets étranges venant de l’espace, tombent sur la Terre et notamment des pluies d'animaux qui continuent toujours actuellement.

    Les témoignages sur ces phénomènes surprenants s’accumulent. Le ciel et l’espace recèlent de nombreux mystères et anomalies que nous ne sommes pas toujours en mesure d’expliquer.

     

    De la grêle sucrée

    En 1893, des averses s’abattirent sur la ville de Peshawar (Pakistan actuel). Ces précipitations étaient courantes pendant la période de la mousson. Cependant, cette pluie était dans ce cas accompagnée d’étranges chutes de grêle.

    La coutume dans les pays chauds veut que l’on ramasse les grêlons pour les sucer. C’est ce que firent les habitants. Ils eurent alors la surprise de constater qu’ils étaient sucrés.

    On ignore toujours ce qui a provoqué cette saveur particulière.

     

    Ufologie:  Les pluies d'Animaux

    Photographie prise avec des filtres polarisants qui montre, vue en coupe, la structure du plus gros grêlon américain connu. Un morceau de glace de 761 grammes qui tomba en 1970

     

    De la neige verte

     

    En 1953, une neige verte phosphorescente tomba près de Dana, en Californie. Certains habitants, curieux, la goûtèrent et lui trouvèrent un goût de kaki pas mûr. Parmi ceux qui la touchèrent, beaucoup eurent des éruptions cutanées et de fortes démangeaisons.

     

    On supposa que peut-être des essais nucléaires dans le Nevada en étaient responsables. Seulement, le vent ce jour-là ne soufflait pas dans le bon sens. L’origine de cette neige verte est donc restée une énigme.

     

    Les fils de la Vierge

     

    Le 8 octobre 1969, de longs filaments qui ressemblaient à des fils de la Vierge s’abattirent sur Saint Louis (États-Unis). La population paniqua, pensant qu’un OVNI se trouvait dans les parages.

     

    Plus de deux siècles auparavant, en 1741, les habitants de la région de Selborne, en Angleterre, avaient trouvé à leur réveil, les champs décorés de ce qui ressemblait à des toiles d’araignées.

    En 1892, à Gainesville (Floride), de grandes nappes blanches qui ressemblaient à d’immenses toiles d’araignées dont certaines mesuraient plus de 50 mètres descendirent doucement du ciel.

     

    On pense que les araignées sont effectivement à l’origine du phénomène. En effet, certaines espèces utilisent les courants ascendants pour se déplacer.

    Elles émettent une goutte de soie liquide qui peut s’étirer sur plusieurs mètres. Quand la brise emporte le fils, l’araignée qui est au bout décolle et peut être transportée sur plusieurs kilomètres. 

    Lorsqu’elle revient au sol, elle lâche le fil. Ce dernier est à nouveau emporté par le vent et l’air en est parfois saturé lors des grandes migrations.

     

    Une pluie de viande

    En 1876, des morceaux de viande rouge, fraîche, tombèrent du ciel au Kentucky sur une surface d’un demi-hectare.

    Des hommes en goûtèrent et dirent que c’était du mouton ou du gibier.

    Un examen approfondi révéla qu’il s’agissait de muscles, de poumons et de tissus conjonctifs.

    Les habitants en conclurent que des buses gavées avaient, selon leur habitude, régurgité leur nourriture.

     

    Une pluie de grenouilles

    Un peu partout dans le monde, on signale des pluies de crapauds, têtards et grenouilles. Il y est d’ailleurs fait allusion dans la Bible à propos d’une des plaies d’Égypte.

    La Grèce connaît régulièrement ce phénomène, une pluie importante de crapauds est tombée en 1979. La couche de batraciens était si épaisse sur les routes qu’il a fallu arrêter la circulation.

     

    Ufologie:  Les pluies d'Animaux

    Spécimen d'une pluie de poissons recueilli à Londres en 1984

     

    Bien que cela n’ait pas encore été prouvé, ces pluies de batraciens comme celles de poissons pourraient être attribuées à des trombes d’air et d’eau qui arrachent les animaux et les transportent ailleurs.

     

    Des bêtes de cauchemar

    Une pluie de crapauds surprend, mais ne fait pas peur. Par contre, quand il s’agit de serpents ou de fourmis, le phénomène devient beaucoup moins agréable.

    En 1872, à Bucarest, les Roumains virent avec dégoût une pluie de vers noirs de la taille d’une mouche leur tomber dessus.

    En Angleterre, les rues furent recouvertes d’un épais tapis de méduses au 19e siècle.

     

    En 1989, au Texas, c’est une pluie de chauves-souris malades et agonisantes qui s’abattit sur la ville de Fort Worth.

     

    On peut également citer des souris à Bergen (Norvège) en 1578, des milliers de serpents à Memphis (États-Unis) en 1877, des varans dans l'Utah en 1870 ou des pluies d'oiseaux morts dans différentes parties du monde.

     

    Ufologie:  Les pluies d'Animaux

    Ce puffin fuligineux mort est l'un de ceux qui jonchèrent les rues de Capitola (Californie) en 1961

     

    Concernant les oiseaux, le fait le plus marquant s'est déroulé en 1969 dans le Maryland. Un grand vol de canards a été frappé de mort subite au-dessus de St-Mary's City. Ils donnaient l'impression d'avoir été touchés par une explosion invisible et silencieuse. D'après le journal local qui a relaté les faits, les oiseaux souffraient tous de fractures et d'hémorragies avant de toucher le sol.

     

    Des maladies venues de l’espace ?

     

    Une petite minorité des scientifiques croient que certaines de nos maladies peuvent venir de l’espace.

    Ils ont avancé l’hypothèse que des organismes vecteurs de maladies sont régulièrement lâchés dans l’atmosphère par des comètes et qu’une forme de vie rudimentaire a pu ainsi arriver sur Terre.

    Par exemple, certains pensent que le rhume et la grippe sont des maladies de l’espace. Ils attribuent les épidémies de grippe de 1957 et 1968 aux débris flottant dans le sillage de la comète de Halley, dont la période de révolution est de 76 ans.

     

    Cette théorie n’a pour l’instant pas été prouvée.

     

    Théories pour expliquer ces phénomènes

    La première explication est que ces pluies d'animaux résulteraient de phénomènes météorologiques. En effet, un orage ou une tempête précèdent souvent le phénomène.

     

    Cependant, cette explication reste un peu simpliste et ne peut s'appliquer à tous les cas. Une tornade ou des trombes sont incapables de trier les espèces et de déposer à un même endroit très délimité des milliers d'animaux dont certaines espèces vivent en solitaire ou en eau profonde.

     

    L'état des animaux pose également problème. Ils sont souvent vivants et très frais ce qui signifie dans le cas de poissons que le transfert a été très rapide.

     

    Encore plus difficile d'expliquer les cas de poissons séchés, parfois décapités ou comment ces phénomènes surviennent alors que le ciel est calme.

     

    Notre seule certitude est que ce phénomène est bien réel.

     

    V.Battaglia (10.2005)

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    Une pluie de sang

     

    Le 22 juillet 1955 à 5 h 30 du matin alors que Ed Mootz travaillait dans son jardin, quelques gouttes d’un liquide rouge et chaud tombèrent sur ses bras et ses mains.

    En quelques instants, il se trouva au milieu d’une pluie rouge.

     

    Une pluie de sang

     

    Une protubérance sombre dépassait des nuages au-dessus de lui. C’est de là que tombait cette « pluie » de sang, notamment sur un pêcher de son jardin.

     

    Il observa quelques minutes cet étrange nuage aux couleurs vert foncé, rouge et rose. Puis, il sentit ses mains et ses bras nus le brûler aux endroits où les gouttes étaient tombées. Ça lui faisait aussi mal que si on avait mis de la térébenthine sur une plaie.

    Il courut chez lui se rincer.

     

    Cette pluie ressemblait à du sang, huileuse et collante au toucher.

     

    Le matin suivant, Ed Mootz s’aperçut que son pêcher était mort, ainsi que l’herbe autour. Tous les jeunes fruits s’étaient desséchés sur tige.

     

    Il n’y avait aucun avion au moment de la pluie. L’hypothèse du nuage toxique est plausible. Cependant, il est étrange que ce nuage soit resté immobile au-dessus d’un point précis.

     

    Des représentants de l’armée de l’Air américaine sont venus interroger MrMootz et ont emporté des échantillons d’herbe, de fruits et de feuilles.

    S’ils ont trouvé quelque chose, ils l’ont gardé secret, et cette pluie de « sang » est restée un mystère.

     

    V.Battaglia (01.2006)

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    Toungouska

     

    Qu’est-ce qui a frappé la Sibérie en 1908 ?

     

    La plus puissante explosion répertoriée ébranle toute la région de la Toungouska (ou Tunguska), au cœur de la Sibérie, dans la matinée du 30 juin 1908.

    Elle arrache tous les arbres et brûle les animaux. Heureusement, cette région est peu peuplée et seulement deux victimes sont à déplorer.

    Depuis 1927, les scientifiques cherchent à identifier la cause de la catastrophe de Toungouska.

     

    Une explosion au cœur de la Sibérie

    L'objet de la Toungouska est tombé le 30 juin 1908, à 7 h 17 min 11 s heure locale à 60 km de la petite ville de Vanavara. Le cataclysme est survenu précisément dans la région de la Toungouska Pierreuse, en Sibérie centrale, à 800 km au nord-ouest du lac Baïkal.

     

    Les habitants de la région ont raconté que, juste avant l’explosion, ils ont vu une boule de feu fendre l’air, et, à Kirensk, à environ 400 km de là, des témoins ont parlé d’une « colonne de feu ».

     

    Les ondes de choc sont si violentes qu’un cheminot du Transsibérien crut que sa locomotive avait explosé. Il se trouvait pourtant à 560 km du point d’impact.

     

    60 millions d'arbres sont brutalement couchés sur le sol et brûlés. A moins de 20 km de l’épicentre de Toungouska, environ 700 rennes et tous les chiens sont brûlés vifs. Tentes, nourriture et stock de bois des nomades partent également en fumée.

     

    Ufologie:  Toungouska

    Toungouska . Photo de 1927 (Sélection du Rider's Digest)

     

    Les incendies brûlent pendant deux semaines et l’on peut voir une énorme colonne de flammes à plusieurs centaines de kilomètres de distance.

    Poussières et débris sont projetés dans l'atmosphère.

     

    Les témoins rapportent également que juste après l'effroyable bruit qui suivit l'explosion, le sol se crevassa. Au même moment, le séismographe de l'Observatoire d'Irkoutsk enregistre un séisme de magnitude 5 qui durera 51 minutes.

     

    Ufologie:  Toungouska

    Toungouska . © N. A. Strukov, 1928

     

    Des perturbations magnétiques ont été enregistrées suite à l’explosion. La perturbation a duré plus de 6 heures. La tempête magnétique fut si intense que les boussoles de l'Observatoire d'Irkoutsk furent inutilisables à 977 Km de l'épicentre.

     

    Les autorités impériales russes passent l’évènement sous silence. Aucune allusion n’est donc faite dans la presse internationale.

     

    Ce n’est qu’après la révolution que le gouvernement soviétique charge un scientifique, Leonid Kulik, d’enquêter sur l’explosion.

     

    Des indices contradictoires

    Kulik conduit la première expédition au début de l’année 1927. Il part avec la certitude que l’explosion est due à une météorite entrée en collision avec la Terre.

    Arrivé sur le site, il remarque que les troncs des pins sont déracinés par milliers. En explorant le périmètre de l’aire dévastée, il constate que les cimes des arbres sont toutes tournées dans la direction opposée à celle d’un endroit qu’il pense être le foyer de l’explosion.

     

    Le scientifique découvre également des douzaines de trous très larges. Ce qu’il ignore à ce moment-là c’est que ces cavités sont très nombreuses dans toute la Sibérie. Elles sont dues aux fortes variations climatiques dans la région.

     

    Ufologie:  Toungouska

    Leonid Kulik

     

    Persuadé qu’une météorite est responsable de la catastrophe, Kulik rapporte de son expédition des indices confus et contradictoires.

    A aucun moment, il ne fait allusion à l’absence de cratère. Si une énorme météorite avait frappé la Terre, elle aurait laissé des traces de son impact, en l’occurrence un cratère.

     

    Les expéditions modernes n'ont à ce jour récolté aucun fragment de la météorite mis à part de petites sphérules de silicates et de métal, certaines renfermant des gaz.

    On sait que la formation de telles structures n'est possible qu'à de très hautes températures.

     

    Ufologie:  Toungouska

    Photo des microparticules (© Université de Bologne)

     

    Deux autres expéditions sur le site ont eu lieu en 1928 et en 1929-1930 qui n’apportèrent rien de nouveau.

     

    Les autorités russes ont accepté que des scientifiques étrangers viennent sur le site à partir de 1989. Il est bien sûr regrettable qu’un tel retard ait été pris car la nature a repris ses droits et a recouvert rapidement les traces de l’impact.

     

    Des effets semblables à la bombe d’Hiroshima

     

    Après le lancement de la bombe atomique sur Hiroshima, en août 1945, on a mis en évidence des analogies entre l’explosion sibérienne et une déflagration atomique.

    A Hiroshima, on a observé que peu de dommages autour du point d’impact. Plus curieux, les plantes et les arbres ont repoussé, sur les deux sites, à une vitesse extraordinaire.

    La croissance des végétaux serait de l'ordre de 5 à 10 fois plus rapide que la normale d’après les chercheurs soviétiques.

     

    Ufologie:  Toungouska

    Toungouska. Le site aujourd’hui (© Université de Bologne)

     

    Ils ont également notifié que des mutations seraient apparues sur certaines espèces d’insectes. Leurs propos sont cependant contestés par les chercheurs européens. Il y a donc un doute sur ces mutations qui ne pourraient être dues qu’à une augmentation de la radioactivité.

     

    Les témoins sibériens ont parlé d’un gigantesque nuage de fumée après l’explosion, ce qui évoque le champignon provoqué par les armes nucléaires.

     

    Ufologie:  Toungouska

    Bombe d'Hiroshima. © Library of Congress

     

    Si les traces laissées ressemblent à celles d’une bombe atomique, il est absurde de penser qu’une explosion nucléaire ait pu se produire 40 ans avant l’invention de l’arme atomique.

     

    Un objet venu de l’espace

     

    De minuscules morceaux de silicate et de magnétite ont été retrouvés dans les arbres proches du point d’impact.

    L’étude de ces matériaux a montré clairement qu’ils provenaient du cosmos. Ce qui s’est abattu en Sibérie en 1908 venait-il de l’espace ?

     

    Ufologie:  Toungouska

    Le site en 1991 (© Université de Bologne)

     

    Certains commentateurs ont bien sûr tout de suite évoqué un vaisseau spatial. Les matériaux retrouvés étaient, pour eux, les débris d’un engin extraterrestre qui se serait désintégré en pénétrant dans l’atmosphère.

     

    Leur hypothèse était étayée par des témoignages d’habitants disant avoir vu un objet cylindrique dans le ciel, descendant lentement vers la Terre, puis changeant subitement de direction.

     

    Les différentes théories

     

    Trois hypothèses principales s’affrontent actuellement sans qu’aucune d’ailleurs soit totalement satisfaisante :

     

    L'explosion d'une petite comète (théorie des astronomes F.Whipple en 1930 et L.Kresak en 1978)

    L’impact d’un astéroïde pierreux (théorie du géochimiste Yevgeniy Kolesnikov)

    L’impact d'une météorite mixte (théorie de S.N.Blazhko et Yu V.FilippovYu)

    Pendant longtemps, les experts ont affirmé que l’explosion avait été provoquée par un fragment de comète entré en collision avec l’atmosphère terrestre, donc à plusieurs kilomètres au-dessus du sol.

     

    Cela expliquait la nature des dégâts provoqués par l’onde de choc et l’absence de cratère.

     

    Ufologie:  Toungouska

    Le grand cratère de Barringer, en Arizona, est d'origine météorique. © Nasa

     

    Cependant, cette théorie est loin de tout expliquer et est aujourd’hui abandonnée.

     

    Il pourrait également s’agir d’un météoroïde dont la définition est : un objet interplanétaire dérivant des astéroïdes ou des comètes dont la masse se situe entre 10-9 et 108 kg, soit plus grand qu'une molécule et plus petit qu'un astéroïde (définition de L'Union Astronomique Internationale).

    C’est plutôt flou et cela ne nous donne pas la solution de l’énigme.

     

    Ufologie:  Toungouska

    Vue aérienne de la réserve naturelle de Toungouska (© Université de Bologne)

     

    Soyons clairs, actuellement, malgré les très nombreuses expéditions, les scientifiques ne savent pas avec certitude s'il s'agit d'une comète, d'un astéroïde ou d’un autre objet.

     

    La région de Toungouska est presque déserte. Si elle avait été plus peuplée, le bilan aurait été effroyable. Ce qui est plus inquiétant c’est que nul ne peut dire si ce phénomène encore non expliqué se reproduira et où.

     

    V.Battaglia (16.03.2006)

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    Les pluies d'animaux et pluies d'objets étranges

     

    Partout dans le monde, des animaux, ou des objets sont tombés du ciel. Ces pluies sont parfois explicables, mais certaines théories ne s’appliquent pas dans tous les cas de figure. On a déjà observé du sang dégouliner du ciel, des quantités phénoménales de crapauds, de vers ou de serpents, mais également de la graisse, des haricots ou de la viande.

    Ces pluies étranges sont si nombreuses et variées que l’on a créé un terme pour les désigner : les fafrotskies.

    Il est impossible de citer tous les phénomènes tant ils sont nombreux. J’ai donc sélectionné les témoignages authentifiés et qui ne peuvent être remis en cause.

     

    Les témoignages anciens

    Ces témoignages sont moins nombreux que ceux des temps modernes. L’historien grec Athénée signale une pluie de poissons qui a duré trois jours et un déluge de grenouilles dans son Banquet des sophistes, écrit vers le IIe siècle de notre ère.

     

    La plupart des chutes célestes des temps anciens sont très comparables à celles que nous observons aujourd'hui. Cependant, certaines sont uniques et ne se sont jamais reproduites.

    Par exemple, il y a eu une pluie de grosses souris jaunes à Bergen, en Norvège en 1578.

     

    Une substance fibreuse ressemblant à de la soie bleue tomba en grande quantité à Naumburg, en Allemagne, le 23 mars 1665.

     

    Une substance nauséabonde, de la consistance du beurre, tomba sur un vaste territoire dans le sud de l’Irlande en 1696.

     

    Un objet nauséabond, recouvert d’une sorte de toile, tomba à Amherst, dans le Massachusetts, le 13 août 1819.

    Il fut examiné par le professeur Rufus Graves.

    Sous la « toile », il découvrit une substance pulpeuse, couleur chamois. Exposée à l’air, cette substance prit une teinte livide, semblable à « du sang veineux ».

    L’objet serait tombé en émettant un éclat lumineux.

     

    Les cheveux d’ange

     

    Ufologie - Les pluies d'animaux et pluies d'objets étranges

     

    Les cheveux d’ange sont sans doute les objets les plus étranges tombant du ciel. Cette mystérieuse substance est déjà mentionnée dans The Natural History of Selborne par Gilbert White.

    Ce témoignage remonte à 1741. 

    On décrit habituellement les cheveux d’ange comme des fils légers d’une substance blanche, brillante et solide, comme de la soie.

    Tous les récits ont en commun un phénomène étrange :

     

    Si on essaye de rassembler cette substance pour l’analyser, elle fond et disparaît.

     

    La théorie la plus commune serait que les cheveux d’ange ne sont que des fils d’araignée. Cette théorie repose sur un phénomène connu, celui de l’aérostation ou plus simplement, la migration de certaines espèces d’araignées. Elles utilisent en quelque sorte leurs fils comme des parachutes pour se laisser emporter par les courants ascendants.

    Mais, malgré les nombreux témoignages, nulle araignée n’a jamais été retrouvée au bout de ces fils.

     

    D’après les analyses incomplètes, cette substance est très instable et se dégrade au contact de l’oxygène.

    Un scientifique a réussi à préserver quelques spécimens en les déposant dans des récipients scellés.

    Ces « fils » contiennent du silicone, du magnésium, du calcium et du bore. Cette composition ne nous est pas étrangère, mais ne correspond à rien de connu, y compris les fils tissés par les araignées.

     

    Des pluies d’animaux et d’objets étranges

     

    Les pluies d’animaux ont été observées par centaines. Par exemple, en 1877, des serpents vivants sont tombés du ciel sur le sud de Memphis. Ils mesuraient de 30 à 45 cm et sont tombés par milliers.

     

    Poissons, batraciens ou insectes tombent ainsi assez régulièrement sur des zones très précises.

     

    Concernant les pluies de grenouilles, l’hypothèse la plus rationnelle est la suivante : les grenouilles émergent de leur gîte durant les pluies torrentielles, et les témoins imagineraient seulement qu’elles tombent du ciel.

     

    Cette théorie est peut-être valable dans certains cas, mais est contredite par de nombreux témoignages. 

    Par exemple, pendant la Seconde Guerre mondiale, Joe Alpin rapporta les faits suivants :

     

    Il se trouvait en garnison à Halton Tower, en Angleterre, quand un soir il traversa en voiture un parc.

     

    « Le ciel s’obscurcit brusquement [….] puis les grenouilles arrivèrent, des millions d’entre elles se mirent à pleuvoir du ciel […]. Elles nous tombaient dessus. Il plut des grenouilles pendant au moins une heure et quart. »

     

    Rien qu’en Australasie, on a enregistré plus de 50 incidents identiques entre 1879 et 1971, soit plus d’un tous les deux ans.

     

    En principe, ce sont des animaux de petite taille. Un événement isolé s’est cependant produit avec la chute d’un taureau.

     

    Outre les animaux, toute sorte d’objets bizarres tombent du ciel.

     

    Dans la nuit du 26 septembre 1950, deux officiers de police patrouillaient dans Philadelphie. Leurs phares éclairèrent un objet scintillant qui se posait dans un terrain vague.

    Ils se rendirent sur place et virent à la lumière de leurs torches électriques un disque bombé de gelée pourpre, tremblotante, de 1,80 m de diamètre.

    Ils éteignirent leurs torches et virent que l’objet dégageait une faible lueur pourpre.

     

    Ils appelèrent des renforts et l’un des policiers essaya de ramasser la chose. Mais, elle se défit comme de la gélatine.

    La chose avait complètement disparu une heure après.

     

    La « gelée des étoiles » est l’un des noms donnés à la substance gélatineuse que l’on trouve à l’endroit où est tombée une étoile filante. Cette gelée stellaire s’évapore et il est donc impossible de l’analyser.

     

    Parmi les autres masses gélatineuses qui sont tombées du ciel, certaines ont pu être identifiées comme des amas d’œufs de batraciens ou d’insectes.

    Une autre hypothèse suggère que certains amas pourraient être des régurgitations à demi digérées d’oiseaux de mer.

     

    Le 22 août 1968, du sang et de la chair tombèrent sur une zone d’environ 2 hectares au Brésil.

     

    Une mystérieuse pluie de charbon et de briques s’est abattue dans les rues de Kilburn, en 1877.

     

    Le vendredi 3 mars 1876, ce sont des morceaux de viande qui tombèrent sur une zone de 100 mètres de long sur 50 de large dans le Kentucky.

    Ces morceaux furent analysés par plusieurs spécialistes. Il en ressortit qu’il s’agissait selon les morceaux : de cartilage, de tissu musculaire et de tissu pulmonaire, soit de cheval ou d’enfant (leur structure est très voisine).

     

    On a préféré retenir l’hypothèse de la viande animale et supposer que des buses avaient régurgité leur repas.

    Mais personne n’a pu dire combien de buses il aurait fallu pour recouvrir 5 000 m² et pourquoi personne n’a vu d’oiseaux.

     

    La théorie des tornades et cyclones

     

    La théorie la plus scientifique actuellement qui prévaut serait celle de tornades inhabituelles qui emporteraient dans les airs objets et animaux.

     

    Comme toujours, cette théorie est sûrement la bonne dans de nombreux cas. Cependant, on peut objecter qu’une tornade n’opère aucune sélection et éparpille de manière aléatoire ce qu’elle a emporté.

    Or, les pluies étranges contiennent toujours qu’un type d’objet ou qu’une espèce animale. Il n’y a jamais aucun mélange et tous sont déposés dans un périmètre bien précis. 

    Les rares fois où plusieurs espèces, d’oiseaux notamment, sont tombées du ciel, des explications météorologiques ont pu être fournies.

     

    De plus, la théorie de la tornade ou du cyclone ne peut s’appliquer quand le phénomène se produit par temps clair et sur une longue période.

     

    Comme expliquer par exemple qu’une pluie de tanches, des poissons d’eau douce d’Europe, se soit abattue sur l’île de Guam, dans le Pacifique ?

     

    L’hypothèse des cyclones et trombes marines implique également d’admettre que des animaux ont pu survivre sur de longues distances dans l’atmosphère en supportant les brusques changements de températures et de pression.

     

    Enfin, reste à expliquer comment un phénomène peut se reproduire à plusieurs reprises au même endroit comme si les objets ou animaux venaient d’un point fixe dans le ciel.

     

    V.Battaglia (25.01.2007)

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    Des objets fabriqués tombés du ciel

     

    Ufologie:  Des objets fabriqués tombés du ciel

     

    Il y a de nombreux objets qui tombent du ciel un peu partout dans le monde. En principe, il s’agit surtout de pluies d’animaux.

    Mais, à intervalle régulier, on a observé des chutes d’objets manufacturés. Aucune explication n’a été fournie, à ce jour, pour expliquer ces étranges « pluies ».

     

    Le 28 août 1962, Grady Honeycutt était en train de pêcher dans un lac près de Concord en Caroline du Nord quand il vit un globe scintillant tomber dans l’eau.

     

    Il s’approcha de l’endroit de la chute et vit l’objet posé au fond du lac. Les eaux étant très claires, il pouvait l’observer avec précision.

    L’objet brillait et était couvert de courts piquants. Il était aussi gros qu’une boule de bowling.

     

    Honeycutt repartit pour appeler le bureau du shérif. Le temps que ce dernier arrive, l’objet s’était désintégré et ressemblait à un enchevêtrement de fils.

     

    Le lendemain, trois plongeurs de l’armée fouillèrent cette partie du lac. Ils ne retrouvèrent que des morceaux d’aluminium.

    S’agissait-il d’un engin militaire utiliser pour repérer ou tromper les radars ?

     

    En septembre 1962, un objet en acier de 10 kg tomba dans une rue à Manitowock dans le Wisconsin.

    Cela ressemblait à un fragment de machine. En plusieurs points de la surface, l’acier avait fondu.

    L’objet fut transporté au Smithsonian Museum pour analyses. Les experts confirmèrent qu’il s’agissait bien d’un objet fabriqué mais sans autre commentaire.

     

    En 1963, un objet semblable à celui du lac près de Concord tomba dans un autre lac, mais cette fois en Irlande.

    D’après les témoins, il était sphérique et portait quatre tiges de métal. Il était, lui aussi, incandescent.

     

    L’armée irlandaise récupéra l’objet puis ce fut le silence. Aucun rapport ne fut jamais communiqué au public.

     

    V.Battaglia (20.06.2007)

     

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