•  

    Expression du Jour 2:

    Expression du Jour 2:  Rouler des yeux de merlan frit (3 pages)

    Expression du Jour 2:  Rouler des yeux de merlan frit (3 pages)

     

    Expression du Jour 2:

    Pin It

  •  

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

     

    Les Habitants de l'Océan: 10 images

     

    Pin It

  •  

    Mince, et alors?

     


    Les rondes ne sont pas les seules à essuyer des critiques parfois très dures (et très personnelles!) sur les médias sociaux; les minces aussi y goûtent. Notre chroniqueuse Joanie Pietracupa explique pourquoi le mouvement pour la diversité corporelle, ben… ce n’est pas ça.

     

    Par Joanie Pietracupa du magazine Chatelaine

     

    Société:  Mince, et alors?


    Plus j’écris, plus je grandis. À chaque semaine, je fais travailler mes méninges et aller mes doigts sur mon clavier pour partager avec vous une idée, une expérience, une histoire, une vérité, un conseil ou une émotion. Quelque chose qui m’est cher et précieux. Quelque chose qui me rend sensible et vulnérable. Souvent, je dois m’encourager à voix haute: «Go, go, go, t’es capable!», «Allez, ça va te faire du bien de revivre ce moment-là!» ou encore «Hop, tu vas être heureuse de passer par-dessus ça!». Me parler, me convaincre et me pousser, je vis désormais ça au quotidien. Mais le plus ardu, ce n’est pas de m’écrire. C’est de vous lire. «On fait comment pour ne pas voir ton blogue, sur Facebook?», «Moi, j’aime mieux être mince et méchante que grosse et gentille!», «Je suis tellement tannée d’entendre parler des ronds!»… J’avais (presque) tout vu et tout entendu; maintenant, on peut dire que j’ai aussi tout lu

     

    Je ne suis pas surprise ni – croyez-le ou non – choquée. Pas blessée, pas heurtée, pas déprimée. Même qu’au contraire, les commentaires les plus négatifs me font parfois sourire. Ils me rendent plus forte, plus confiante et plus ouverte, des qualités que j’ai toujours rêvé de développer. Tout ça parce que je sais que le monde est composé de milliards d’êtres humains, tous différents les uns des autres. Qu’on naît avec nos personnalités, qu’on grandit avec nos opinions et qu’on meurt avec nos valeurs. Et c’est très bien comme ça. Je respecte les gens et leurs pensées, que je sois d’accord avec les propos ou pas. À chacun sa façon de voir le monde, de l’habiter et d’y laisser sa marque.

     

    Ce que je trouve difficile, c’est de réaliser un peu plus à chaque jour à quel point je suis chanceuse d’être protégée par ma cape d’acceptation et mon armure d’amour universel. Parce qu’avec le mouvement d’ouverture à la diversité corporelle vient apparemment en bonus le droit à chacun de tout critiquer, surtout son prochain. De passer des commentaires désobligeants sur l’apparence physique d’inconnus, de rire d’eux au parc, au gym, à l’école, dans la rue, au bureau. Moi, ça va. Je le comprends et je l’accepte. Enfin, je crois. Ça dépend des jours. Mais les jeunes ados mal dans leur peau? Les hommes et les femmes ébranlés par un divorce/une opération/un accident/alouette? Les handicapés, physiques ou mentaux? Qu’en est-il d’eux?

     

     

    Société:  Mince, et alors?

    Mariepier Morin photographiée pour Loulou.

     

    Et ça ne touche pas que les gros; oh, non, ça serait trop facile. Ça rejoint tout un chacun pourvu qu’il soit flanqué d’un corps humain. Pas vrai, dites-vous? Promis, la preuve s’en vient. Je suis une fidèle lectrice du magazine LOULOU – j’y ai d’ailleurs travaillé pendant plusieurs années. L’équipe de rédaction est à l’image de la marque: belle, fun et vibrante. Je n’ai donc pas été étonnée de voir que l’animatrice Maripier Morin, véritable It girl de chez nous, avait décidé de s’y associer pour présenter 365 looks mode en 2015 . À chaque jour, une photo la mettant en vedette, vêtue d’une nouvelle tenue archi fashion, est publiée sur le site et les réseaux sociaux de LOULOU. C’est fait avec sobriété, bon goût et grande classe.

     

    Bien vite, le projet a connu un succès fou. Facile de comprendre pourquoi: Maripier est une femme magnifique, son styliste est talentueux et le photographe a l’œil. Tout aussi vite sont apparus les commentaires négatifs: «Elle est beaucoup trop maigre!», «Donnez-lui un hamburger, quelqu’un!», «Elle était beaucoup plus belle il y a quelques années quand elle était plus ronde!». Là aussi, j’ai tout lu. Et – allez chercher pourquoi – ça m’a blessée. Profondément. Plus que les commentaires s’adressant à moi, sur le site de Châtelaine. J’ai grincé les dents, j’ai serré les poings. Je pense qu’enfin, je venais de réaliser qu’il n’y a plus de limite aux critiques. Que tout le monde a son mot à dire, sur tout le monde, sans filtre ni bon sens. Que certaines personnes aiment détruire les autres, peut-être pour pouvoir mieux s’élever au-dessus d’elles, peut-être parce qu’elles carburent à la jalousie, peut-être, peut-être, peut-être…

     

    Ce que je sais, c’est qu’on a certainement le droit à notre opinion (et de la faire connaître à qui bon nous semble), mais qu’il faut se rappeler que les critiques blessantes et gratuites sont l’arme de destruction massive #1 de notre époque. Qu’on ne devrait jamais dire ce qui nous briserait si on l’entendait à notre sujet. Qu’on a tous nos imperfections même si l’on est parfaits à notre façon et que de vivre avec ça au quotidien est assez dur en soi sans qu’on doive se le faire cracher en pleine face par des étrangers. Qu’on gagnerait beaucoup (en santé, en intelligence, en humeur) à être plus positifs, joyeux et lumineux, surtout.

     

    Le plus drôle, c’est que dans nos deux cas, à Maripier et à moi, les fans finis sont bien plus nombreux que les trolls aigris. Pour chaque critique négative, on compte environ 10 commentaires positifs. Une armée de tenants contre un seul petit soldat attaquant. «Si tu n’existais pas, il faudrait t’inventer!», «Merci pour vos textes, vous me faites un bien fou!», «Vous êtes très inspirante et lumineuse!»: voilà quelques-uns des bons mots que j’ai reçu dans les derniers mois. Mais le cerveau étant ce qu’il est, on a tendance à oublier le meilleur et à se remémorer le pire. Et si on essayait, ensemble, de faire tourner la roue? De s’encourager et de s’aimer au lieu de s’entretuer à coup de 140 caractères ou moins? Qu’est-ce qu’on aurait à y perdre sauf le goût amer du dénigrement qui coule dans nos veines? Allez, en avant, toutes!

     

     

    Société:  Mince, et alors?

     

    Pin It

  •  

    Cholestérol : mangez des oeufs ! 

     

    Santé 2:  Cholestérol : mangez des oeufs !

     

    Vous avez du cholestérol ? Contrairement aux idées reçues, vous avez droit aux oeufs ! Voici pourquoi il faut en manger, combien de fois par semaine et comment les choisir pour qu’ils soient vraiment bénéfiques à vos artères !


    Pourquoi vous avez droit aux oeufs

    Vous avez droit aux oeufs... Un, parce que "le cholestérol alimentaire influe peu sur le cholestérol du sang… qui est majoritairement fabriqué par le foie", explique Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS.

    Et deux parce que l’œuf "s’il est produit de faon adéquate, est un véritable aliment miracle", poursuit le spécialiste. "Il apporte de très bonnes protéines animales car, il contient, dans la meilleure proportion, tous lesacides aminés que notre organisme ne sait pas fabriquer et qui sont indispensables notamment au bon fonctionnement de notre système immunitaire.

    Par ailleurs, c’est est une bonne source de phosphore et de lutéine dont on pense qu’elle pourrait aider à prévenir la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge). 

     

    Combien peut-on manger d’œufs par semaine ?

    Qu’on ait du cholestérol ou non, "on n’est pas obligé d’en manger tous les jours… Mais il n’y a pas non plus de raison médicale de se restreindre. Trois, quatre par semaine est raisonnable", estime Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS. "On peut choisir, comme les Anglo-saxons, de consommer l’œuf au petit-déjeuner.

    Les protéines rassasient et permettent de tenir jusqu’au déjeuner sans grignotage." A noter : pour éviter tout impact sur le cœur,  mieux vaut consommer, bien sûr, l’œuf dans sa coquille (dur, poché ou à la coque) plutôt que frit dans une poêle…

     

    Quel est le taux de cholestérol des œufs ?

    Un œuf contient 200 à 300 mg de cholestérol, c’est vrai… mais ce n’est pas le plus important. Ce qu’il faut savoir c’est que le cholestérol, ce lipide (graisse) un peu particulier, est indispensable à notre organisme.

    "C’est un composant essentiel de nos membranes cellulaires, c’est un précurseur des sels biliaires sans lesquels la digestion des graisses ne peut pas se faire, et des hormones qui interviennent dans toutes les fonctions corporelles", souligne Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS.

     

    Pas d’augmentation des risques cardio-vasculaires

    Depuis 1999 et l’analyse de deux études menées sur des professionnels de santé (51 519 médecins hommes et 121 700 infirmières) pendant 18 ans pour l’une et 8 ans pour l’autre, on sait que manger des œufs n’augmente pas le risque cardio-vasculaire, sauf si l’on est diabétique  (le doute persiste sans qu’on est d’explication plausible).

    Une autre étude récente parue en 2008 menée sur 21 237 participants suivis pendant 20 ans a montré que, dans l’ensemble de la population la mortalité par maladie cardio-vasculaire s’élève légèrement à partir de 7 œufs par semaine. "Mais ce n’est pas une raison pour accuser les œufs. D’autres éléments du régime alimentaire de ces personnes peuvent aussi être en cause ", précise le Dr Lorgeril.

     

    Les œufs contiennent des acides gras bénéfiques

    Un œuf contient environ 7 g de lipides, c’est plus que 100 g de steak grillé (4 g), mais beaucoup moins qu’une entrecôte (12 g) ou qu’une côtelette d’agneau (16 g). Et puis surtout, la composition de ses lipides est bien plus intéressante.

    En effet, confirme le Dr Michel de Lorgeril, "l’œuf ne contient pas d’acides gras trans, et présente un bon rapport omega 3 sur omega 6, lorsque la poule a été nourrie avec une alimentation naturelle, ou lorsque sa ration alimentaire a été enrichie en graines de lin qui apportent des omega 3."

    Or on connaît désormais tous les bienfaits de ces graisses en matière de protection cardio-vasculaire notamment….

    Les œufs font-ils peur aux labos pharmaceutiques ?

    Pour le Dr Michel de Lorgeril, cardiologue, le cholestérol n’est pas cet ennemi du cœur et des artères que l’industrie pharmaceutique a voulu nous présenter.

    Dans l’athérosclérose, maladie provoquant l’obstruction des artères par caillots et donc l’asphyxie du cœur, "le cholestérol joue un rôle tout a fait marginal", affirme-t-il. "Il ne joue un rôle ni dans la formation des caillots, ni dans l’inflammation des parois des artères qui sont les deux mécanismes majeurs du risque d’infarctus. Tout au plus peut-il en effet s’agglutiner à l’intérieur de ces parois malades. Mais il n’entre que pour 1/3 dans la composition des plaques d’athérome."

     

    Quels sont les vrais dangers des œufs ?

    Le blanc d’œuf contient des protéines dont certaines ont un fort pouvoir allergisant. D’ailleurs l’allergie à l’œuf représente 30 % des allergies alimentaires. D’autre part, la consommation excessive d’œufs aurait une incidence sur la santé des os.

    "L’acide attaque l’os, explique Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS. Un excès d’œufs, riches en acides gras, peut donc jouer sur le PH sanguin et fragiliser l’os."

     

    Quels oeufs choisir ?

    "Le plus important, explique Michel de Lorgeril, cardiologue, c’est l’alimentation de la poule. Si elle a été laissée libre de se nourrir elle-même de végétaux, de petits insectes ou si sa ration a comporté des graines de lin riches en omega 3, les œufs seront parfaitement équilibrés en protéines et en acides gras .

    Si elle a été nourrie exclusivement de farine de maïs, même bio, la qualité nutritionnelle ne sera pas du tout la même. On aura trop d’oméga 6 et pas assez d’omega 3. Ce qui est mauvais pour la santé."

    Ainsi les œufs portant le logo Bleu Blanc Cœur en France (ou les œufs Colombus en Belgique) sont-ils recommandés. Les termes "élevés en plein air" ou bio, garantissent le respect de l’animal mais pas la composition de leurs œufs.

     

    Comment bien conserver les œufs ?

    "L’œuf pose un problème de septicité, c’est un milieu de culture. Il est donc important de bien le conserver", souligne Michel de Lorgeril, cardiologue, nutritionniste et chercheur au CNRS. Le premier point sur lequel il convient d’être vigilant, c’est l’intégrité de la coquille. "Tant qu’elle est intacte, l’œuf se conserve bien. Si elle est endommagée, les germes peuvent pénétrer l’œuf et proliférer."

    Second point important : la date de ponte. Non pas parce que l’œuf se conserve mal en soi, mais parce que "plus il est vieux, plus la coquille risque d’être abîmée. Il faudra donc le cuire longtemps c’est-à-dire le consommer dur ou l’utiliser pour la confection de gâteaux cuits à four chaud."

    Sources

    - Etude prospective sur la consommation d’œufs et le risque de maladie cardio-vasculaire chez les hommes et les femmes (A prospective study of egg consumption and risk of cardiovascular disease in men and women). JAMA 1999 ; 281(15) : 1387-94
    - La consommation d’œufs et les maladies cardio-vasculaires, la mortalité (Egg consumption in relation to cardiovascular disease and mortality : the Physicians’ Health Study1,2,3); Luc Djoussé and J Michael GazianoAmerican Journal of Clinical Nutrition 2008, volume 87, n°4, p. 964-969.

     

    Pour en savoir plus

    - Cholestérol, mensonges et propagande de Michel de Lorgeril, Thierry Souccar éditions, 20,90 €.
    - Cholestérol : que peut-on vraiment manger ? [14]
    - 10 recettes express anti cholestérol [15]

     

    Pin It

  •  

    Great Ocean Road: surf, koalas et

    apôtres australiens

     

    Voyager en Images-2:  Great Ocean Road: surf, koalas et apôtres australiens

     

    À Apollo Bay, il est possible de surfer, louer un kayak, se promener à cheval ou partir en mer avec des pêcheurs locaux.

     

    PHOTO AUDREY BOURGET, COLLABORATION SPÉCIALE

    AUDREY BOURGET

     

    La Presse
     

    (Melbourne) Serpentant le long de la côte Sud-Est de l'Australie, la Great Ocean Road est l'une des routes les plus connues du monde. Les touristes s'y rendent d'abord pour voir les 12 Apôtres, étonnantes tours de calcaire, mais en reviennent charmés par le voyage.

     

    Voyager en Images-2:  Great Ocean Road: surf, koalas et apôtres australiens

    Des signaux routiers rappellent aux nombreux touristes étrangers qu'il faut conduire à gauche en Australie.

     

    Voyager en Images-2:  Great Ocean Road: surf, koalas et apôtres australiens

    Les 12 Apôtres, ou «Twelve Apostles», sont des formations de calcaire qui se distinguent par leur proximité. Un des apôtres s'est effondré en 2005; ils sont maintenant huit.

     

     

    Le départ se fait généralement de Melbourne, bien que la route de 250 km commence officiellement une heure plus tard, près de Torquay. Les plages de cette petite ville sont idéales pour y prendre une leçon de surf. Les moins hardis préféreront observer les surfeurs plus loin à Bell's Beach. C'est là qu'a lieu chaque année la plus ancienne compétition de surf du monde.

     

    Deuxième arrêt: Lorne. Profitez-en pour sauter dans l'eau limpide, puis marchez en forêt jusqu'aux chutes Erskine. Avant de partir, rendez-vous au belvédère Teddy pour admirer la côte en hauteur.

     

    Soyez à l'affût en conduisant, il n'est pas rare d'apercevoir des koalas dans les arbres et des échidnés sur le bord de la route.

     

    Le trajet entre Lorne et Apollo Bay est spectaculaire, mais très sinueux. Des signaux routiers rappellent aux touristes qu'« en Australie, on conduit à gauche ». Tenez-vous-le pour dit! Une fois cette étape franchie, les fameuses tourtes aux pétoncles d'Apollo Bay Bakery sont un incontournable.

     

    La route quitte ensuite la côte pour s'enfoncer à l'intérieur de terres vallonnées, puis dans la forêt tropicale. Pour vous dégourdir les jambes, le sentier aménagé de Maits Rest vous permet de marcher entre de gigantesques fougères et d'observer des oiseaux qu'on ne retrouve nulle part ailleurs dans le monde.

     

    De retour sur la côte, les 12 Apôtres vous attendent. Ces formations de roche calcaire, qui ne sont en fait que huit, attirent chaque année des millions de visiteurs de partout dans le monde. Admirez-les du belvédère ou du ciel, en hélicoptère.

     

    Avant de retourner sur vos pas ou de continuer sur la route jusqu'en Australie-Méridionale, faites le plein de produits locaux à la distillerie Timboon Railway Shed.

     

    Il est possible de faire le trajet aller-retour de Melbourne aux 12 Apôtres en une journée, mais il vous en faudra deux pour ne pas être pressé. Comme la route est très populaire, mieux vaut visiter en semaine, au printemps ou à l'automne, pour ainsi profiter du beau temps tout en évitant les foules.

     

    Informations pratiques

     

    > Pour louer une voiture en Australie, il faut un permis de conduire en anglais. Vous pouvez obtenir un permis de conduire international traduit chez CAA-Québec.

    > La Great Ocean Road est une route étroite et sinueuse qui n'est pas recommandée aux conducteurs débutants.

    > Si vous n'avez pas de voiture, plusieurs entreprises offrent des excursions guidées en autocar d'une ou deux journées.

    > Pour ceux qui préfèrent marcher, The Great Ocean Walk comprend 104 kilomètres de sentiers entre Apollo Bay et les 12 Apôtres.

    Voyager en Images-2:  Great Ocean Road: surf, koalas et apôtres australiens

    Pin It