• Divertissement...Paris caché, chut c'est un secret !

       

    Paris caché, chut c'est un secret !

    Un amour de place
    "Je suis le dauphin d'la place Dauphine Et la place Blanche a mauvaise mine" chantait Jacques Dutronc en 1967, à propos de ce petit amour de place coincé sur l'Ile de la Cité. Place royale au XVIIe siècle, habitée par Yves Montand et Simone Signoret puis immortalisée en chanson ou au cinéma, l'inaltérable Place Dauphine bordée de galeries d'art et de cafés est restée aussi paisible que confidentielle.
    ©  Jennifer Durand

    Un village d'artistes

    Un village d'artistes
    Boulevard Arago dans le XIIIe arrondissement, peu de privilégiés auront la possibilité de franchir les grilles de la Cité fleurie. Dans un jardin luxuriant se cachent une trentaine d'ateliers d'artistes où vécurent, notamment, Paul Gauguin, Amedeo Modigliani ou Henri Cadiou.
    ©  Jennifer Durand

    Un amphithéâtre gallo-romain pour terrain de jeu

    Un amphithéâtre gallo-romain pour terrain de jeu
    Insoupçonnables depuis la rue, il faudra se faufiler à travers les immeubles de la rue Monge et de la rue des Arènes, dans le Ve arrondissement pour accéder au plus ancien monument de la capitale. Construites au Ier siècle, les arènes de Lutece, initialement amphithéâtre gallo-romain, sont devenues le terrain de jeu favoris des gamins du quartier.
    ©  Jennifer Durand

    Un musée lapidaire caché

    Ecole natioalane supérieure des Beaux-Arts
    Vous n'aviez jamais osé franchir les grilles de L?École Nationale supérieure des Beaux-Arts rue Bonaparte ? Réparez cette erreur ! Caché dans une cour, son musée lapidaire est un petit bijou. Ouverte au public, cette cour paisible abrite statues et éléments d'architecture rassemblés ici pour échapper à la vindicte révolutionnaire.
    ©  Jennifer Durand

    Un jardin zen venu tout droit du Japon

    Musée Guimet
    Avec le Panthéon bouddhique, le jardin japonais constitue l'annexe du musée Guimet avenue d'Iéna. En accès libre hors des périodes d'exposition, ce jardin de zenitude niché dans une bambouseraie est le refuge idéal loin le l'agitation parisienne.
    ©  Musée Guimet

    Le vaisseau spacial parisien de Niemeyer

    Siège du Parti Communiste Français
    Dans le XIXe arrondissement, la place du Colonel-Fabien est l'emblématique adresse du Siège du Parti Communiste Français depuis 1971. Dessiné par l'architecte visionnaire Oscar Niemeyer, l'édifice est à lui tout seul est un manifeste de l'architecture des années 1970. Sous le dôme de l'auditorium on se laisse émerveiller par cette coupole entièrement composée de lamelles d'aluminium. Bienvenue à bord de l'Enterprise.
    ©  Jennifer Durand

    Bienvenue dans la Petite Alsace

    Petite Alsace
    Nichée sur le flan occidental de la Butte-aux-Cailles, la Petite Alsace, ou cité Daviel, constitue un pittoresque petit village de maisons ouvrières construites en 1912 par l'architecte Jean Walte. Un minuscule quartier de 40 pavillons en briques et à colombages qui doit son nom à son architecture d'inspiration alsacienne.
    ©  Jennifer Durand

    Chevaux à vendre !

    Ancien marché aux chevaux
    Plus de chevaux à vendre rue Geoffroy-Saint-Hilaire dans le Ve arrondissement depuis 1908. Mais avant cette date, l'édifice accueillait alors le plus grand marché aux chevaux de la capitale, dont la façade reste l'ultime vestige.
    ©  Jennifer Durand

    Le thé au jardin

    Musée de la vie romantique
    Dans le IXe arrondissement, au coeur d ela Nouvelle Athènes, le Musée de la Vie Romantique cache un jardin secret qui se transforme dès les beaux jours en salon de thé. A l'ombre des arbres centenaires, il flotte comme un petit air de campagne qui nous fait vite oublier Paris.
    ©  Jennifer Durand

    Une pagode chinoise en plein Paris haussmannien

    La Maison Loo
    A quelques pas du Parc Monceau, la Maison Loo détonne dans ce quartier haussmannien du VIIIe arrondissement. Une folie que l'on doit à monsieur Loo, marchand et collectionneur d?art asiatique qui décide de transformer son hôtel particulier en pagode chinoise rouge vif. En 1926, l'édifice devient l'écrin de la collection d?art asiatique présentée par la galerie C.T LOO et Cie. L'édifice a aujourd'hui gardé sa vocation première et accueille ... Lire la suite   
    ©  Jennifer Durand

    L'icône du romantisme parisien

    La place de Furstenberg
    Il faut se perdre dans les ruelles de Saint-Germain-des-Près pour tomber nez à nez avec cette placette au charme intemporel. La place Furstenberg, avant de devenir l?icône du romantisme parisien pour de nombreux cinéastes, était surtout le lieu où le peintre Eugène Delacroix choisit de s?installer. Un maison-atelier que l'on peut aujourd'hui visiter.
    ©  Jennifer Durand

    Un village à Paris

    Poterne des Peupliers
    A l'extrême sud du XIIIe arrondissement, dans le quartier de la Poterne de peupliers, il est un village où les immeubles ont laissé place à des ruelles pavées bordées de pimpantes maisons colorées. Dès le printemps, la glycine fleurit les grilles des maisons et il n'y a que le chant pour troubler la quiétude de ce petit village parisien.
    ©  Jennifer Durand

    L'entrepôt à ciel ouvert du Musée Carnavalet

    Square Georges-Cain
    Dans ce square paisible du Marais, les promeneurs pourront s'étonner de la présence de fragments d'architecture et autres sculptures murales. En fait, vous êtes tout simplement en présence des fragments de l?ancien Hôtel de Ville, du fronton du Palais des Tuileries encore noirci par l'incendie qui l'a détruit ou face à un sarcophage mérovingien, puisque le Square Georges-Cain n'est autre que l'entrepôt à ciel ouvert du Musée Carnavalet voisin.
    ©  Jennifer Durand

    Le premier gratte-ciel de Paris

    La Tour Albert
    Dominant le quartier Croulebarbe das le XIIIe arrondissement, la Tour Albert est célèbre pour avoir été le tout premier gratte-ciel d'habitation de Paris. Édifiée de 1958 à 1960, l'édifice bat alors des records avec ses 67 mètres de haut et ses 23 étages. Depuis 1994, la Tour Albert, qui porte le nom de son architecte, est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.
    ©  Jennifer Durand

    Un trésor dans le Marais

    La rue du Trésor
    Connue pour ses cafés branchés, la rue du Trésor voit chaque jour toute une foule de Parisiens venir siroter un cocktail en terrasse. Parmi eux, combien savent que c'est exactement là, sous leurs pieds, qu'un véritable trésor de pièces d'or fut découvert en 1882. A cette époque, la rue n'existait pas et le magot provenait des décombres de l'hôtel Eiffat.
    ©  Jennifer Durand

    Le jardin secret de la rue d'Ulm

    Le jardin de l'École normale supérieure
    Rue d'Ulm, ce sont des générations de normaliens qui ont foulé le sol de la Cour aux "Ernests", comprendre poissons rouges vivant dans le bassin central, pour ceux qui ne comprendraient pas le jargon ulmite. En revanche peu de Parisiens connaissent la quiétude de ce lieu sur lequel veillent les bustes de quarante grands hommes français.
    ©  Jennifer Durand

    Une ruelle haute en couleur

    La rue Crémieux
    A quelques pas de la gare de Lyon, la rue Crémieux est une ruelle pavée imaginée sur le modèle des cités ouvrières. Avec ses 35 pavillons de deux étages aux façades toutes plus colorées les unes que les autres, la ruelle diffuse du peps et de la bonne humeur dans tout le quartier !
    ©  Mathilde Regnault

     

     

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