• Les plus beaux villages des Alpes

    En Haute-Savoie, le village de Mont-Saxonnex, situé à 1 000 mètres d'altitude, est doté d'une petite église sur un promontoire rocheux. Celle-ci offre un point de vue exceptionnel sur la vallée de l'Arve.
    ©  Serge Laurent
     

    Sisteron, la citadelle

    Sisteron s'étend le long de la cluse de la Durance et marque le passage entre les Alpes et le Dauphiné. Perchée sur un éperon rocheux à 485 mètres d'altitude, la puissante citadelle attire les regards. Avec ses 300 jours de soleil par an et son ciel bleu, Sisteron est une agréable halte aux portes de la Provence.
    ©  Claudio Colombo - Fotolia.com
     

    Cordon, balcon du Mont-Blanc

    Le très beau village de Cordon, en Haute-Savoie, est surnommé "le balcon du Mont-Blanc" en raison de la vue panoramique qu'il offre. Son église, édifiée au XVIIIe siècle et témoin de l'art baroque savoyard, est caractérisée par un clocher à bulbe.
    ©  marité74 - Fotolia.com
     

    Ilonse dans les nuages

    Changement de saison et de décor à Ilonse, dans le département des Alpes-Maritimes. Village médiéval remarquablement conservé, rallié à la vallée depuis seulement 1948, il est caractérisé par des maisons édifiées en escaliers.
    ©  Annie-France Perez
     

    Argentière dans la brume

    En Haute-Savoie, à environ 1 200 mètres d'altitude, Argentière fait partie de la commune de Chamonix-Mont-Blanc. Dominé par le glacier éponyme, le village est également surplombé par le sommet du Peclerey.
    ©  Christian Lauranson
     

    Saorge à flanc de montagne

    A 500 mètres d'altitude, Saorge est la première étape de la "route des villages perchés". Ses ruelles bordées de façades aux couleurs vives, ainsi que ses églises romanes et baroques font tout le charme de ce village médiéval à flanc de montagne. Saorge en images
    ©  Bertrand Kulik
     

    Valmeinier 1 800

    Au sud du département de la Savoie, la commune de Valmeinier est composée de nombreux hameaux qui ont conservé un certain cachet. La station de ski, à 1 800 mètres d'altitude environ, bénéficie d'une situation exceptionnelle.
    ©  Claude GARNIER
     

    Barcelonnette, naturelle

    Située à 1 135 mètres d'altitude, au nord des Alpes-de-Haute-Provence, Barcelonnette se distingue par ses allures à la fois montagnardes et mexicaines. Au coeur de la vallée de l'Ubaye, cette petite ville offre, été comme hiver, un environnement naturel très bien préservé.
    ©  Franck Bermon
     

    Saint-Véran, village à étages

    Plus haute commune d'Europe, nichée à 2 040 mètres d'altitude, Saint-Véran est aussi l'une des plus anciennes stations de ski en France : le premier hôtel (Beauregard) date de 1934 ; le premier téléski, de 1936. Aujourd'hui, le village peut accueillir, en hôtels et gîtes, 1400 personnes...
    ©  Françoise Grandjean
     

    Pralognan-la-Vanoise, familial

    Village familial au cœur du massif de la Vanoise, Pralognan vous propose de goûter aux joies de la nature dans une ambiance chaleureuse. L'un des plus anciens villages de montagne accueille depuis plus de 100 ans alpinistes et grimpeurs, skieurs et randonneurs. Pralognan-la-Vanoise en images
    ©  OT Pralognan
     

    Hauteluce et ses merveilles

    Au cœur du massif du Beaufortain, le village de Hauteluce est rattaché au chaleureux domaine des Saisies. Avec le mont Blanc en toile de fond, la station s'épanouit dans une vallée aux mille et une merveilles. Hauteluce en images
    ©  Marie-Luce Delamarre
     

    Moulinet, près de Menton

    Dans les Alpes-Maritimes, à une trentaine de kilomètres de Menton, Moulinet est située dans le parc du Mercantour. Etape du rallye de Monte-Carlo, la commune est traversée par la rivière Bévéra.
    ©  Jean-Pierre Marro
     

    Peillon

    Peillon est un minuscule village médiéval, à quelques kilomètres de Nice. Ne manquez pas sa visite lors de votre passage sur la Côte d'Azur : architecture étonnante, village accroché à la montagne... Les murs des hautes maisons, collées les unes aux autres, semblent former une véritable forteresse. Le guide complet de Peillon
    ©  Corinne Verdan
     

    Valloire et la Vallée d'or

    Sur la route des Grandes Alpes, Valloire est nichée entre les cols du Télégraphe et du Galibier, trait d'union entre les Alpes du Nord et les Alpes du Sud. Les dix-sept hameaux de la commune de Valloire s'étendent tout au long de la "Vallée d'Or".
    ©  Gérald KONEY
     

    Sainte-Agnès sur son éperon

    Dans les Alpes-Maritimes, Sainte-Agnès est un village accroché au flanc d'un éperon rocheux qui culmine à près de 800 mètres d'altitude. La vue qu'on peut y admirer sur la Méditerranée est exceptionnelle. Saint-Agnès fait partie des Plus Beaux Villages de France.
    ©  Jacqueline Joly
     

    Névache et ses hameaux

    Plus haute commune de la vallée de la Clarée, dans le département des Hautes-Alpes, Névache est composée de nombreux hameaux aux maisons traditionnelles dotées de cadrans solaires.
    ©  Chrystelle Buttigieg
     

    Le village d'Embrun

    Dans les Hautes-Alpes, entre Gap et Briançon, Embrun domine la Durance à 870 mètres d'altitude.
    ©  Jean-Jacques Boyer
     

    La Giettaz sous la neige

    La Giettaz, dans le département de la Savoie, est une petite commune comptant environ 500 habitants. Un festival de rock s'y tient chaque année.
    ©  Manuel Thuault
     

    Bonneval-sur-Arc, la petite merveille

    Bonneval-sur-Arc est plongée au cœur d'un décor de verdure où s'entremêlent un cirque de glacier et divers torrents et cascades. Sous ses airs de bout du monde, ce village savoyard marque les esprits par l'harmonie des belles pierres rousses et grises de ses chalets.
    ©  Philippe Darras
     

    Peisey-Nancroix et ses pistes

    En Savoie, Peisey-Nancroix regroupe différents hameaux. Sa station offre un accès direct aux 420 kilomètres de pistes.
    ©  Claudine Lefebvre
     

    Le Monal, perspective

    En Tarentaise (Savoie), face aux glaciers du Mont Pourri, le village du Monal compte probablement parmi les plus beaux panoramas de France.
    ©  André Oustric
     

    Pont-en-Royans dans le Vercors

    Niché au c?ur du Vercors, ce village fait figure de capitale touristique aux portes du parc naturel situé à cheval entre l'Isère et la Drôme. Il faut dire que ses maisons colorées, suspendues au-dessus de la Bourne, ont de quoi charmer tous ceux qui visitent cette bourgade. Pont-en-Royans en images
    ©  Stéphane Rial
     

    Vachères sous la neige

    Dans les Alpes-de-Haute-Provence, Vachères est un village perché à 830 mètres d'altitude, dans le Parc naturel régional du Luberon.
    ©  Ernest Amprimo
     

    Château-Queyras, voyage dans le temps

    Dans les Hautes-Alpes, renforçant le rempart naturel d'un glacier, Château-Queyras constitue le verrou militaire de la vallée du Queyras. 
    ©  laurentchrista - Fotolia.com
     

    Prapic

    Au fond de la vallée d'Orcières, dans le massif du Champsaur, à la limite du parc des Ecrins, voici Prapic, commune interdite aux voitures de passage.
    ©  Michel Germain
     

    Dormillouse et ses ânes

    Dormillouse est un hameau de la commune de Freissinières, dans le département des Hautes-Alpes. C'est le seul lieu habité de façon permanente dans le parc des Ecrins.
    ©  Gérard Vieville
     

    Châtel et son lac

    Non loin d'Avoriaz, à 1 200 mètres d'altitude, Châtel est une petite station familiale. Située dans le Chablais français, à la frontière de la Suisse, c'est une station de moyenne montagne.
    ©  Chantal Thevenet
     

    Colmars-les-Alpes

    Colmars-les-Alpes, dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, est notamment connu pour ses fortifications héritées de Vauban.
    ©  Adelin Jullian
     

    Entrevaux

    Entrevaux, village également fortifié par Vauban, est situé dans le département des Alpes-de-Haute-Provence. La cité médiévale est construite sur un éperon rocheux, avec à ses pieds la rivière du Var.
    ©  Isabelle Schuller
     

    Gourdon

    Le village de Gourdon, situé dans un cadre magnifique, surplombe le Loup de plusieurs centaines de mètres. Se promener dans ses ruelles, visiter son château, profiter de son panorama exceptionnel... Ne manquez pas Gourdon, classé parmi les Plus Beaux Villages de France.
    ©  Ascension Garcia
     

    Annot

    Classé "Village et cité de caractère", Annot est situé au milieu de montagnes calcaires, à 680 mètres d'altitude.
    ©  Annie-France Perez
     

    Lantosque

    Lantosque, dans les Alpes-Maritimes, a été édifié au bord de la rivière. La commune compte une dizaine de chapelles et une très belle église, construite en 1668.
    ©  Jacqueline Joly
     

    Moustiers-Sainte-Marie

    A 634 mètres d'altitude, construit en amphithéâtre au creux des collines provençales, Moustiers-Sainte-Marie est un petit village situé sur un site remarquable où se côtoient lac, montagnes et champs de lavande.
    ©  Claude Garnier
     

    Seyne-les-Alpes

    Seyne-les-Alpes, classé "Village et cité de caractère", est situé à 1 200 mètres d'altitude. On peut y admirer des fortifications du Moyen-âge et des maisons datant du XIIe siècle.
    ©  Bernard Sales
     

    Vallouise

    Aux portes du Parc national des Ecrins, au pied du Mont Pelvoux et de la barre des Ecrins, Vallouise est un village typique qui a su préserver l'authenticité de son architecture traditionnelle, mêlant le bois et la pierre.
    ©  Louis Rouet
     

    Chinaillon

    Avec ses chalets en bois centenaires, sa chapelle et ses toits de tavaillons, le vieux village de Chinaillon séduit celles et ceux qui viennent s'y promener.
    ©  Christian Pourre
     

    Aussois

    En Savoie, Aussois est un village traditionnel de montagne, situé aux portes du Parc national de la Vanoise.
    ©  Claude Garnier
     

    Boudin

    Lors de votre visite à Boudin, en Savoie, ne manquez pas la visite de la chapelle Saint-Jacques, dotée d'un clocher à deux bulbes et d'une flèche aiguë.
    ©  Fanny Ingold
     

    Sixt-Fer-à-Cheval

    Situé au cœur du Grand Massif, non loin de la frontière suisse, Sixt-Fer-à-Cheval est un village typiquement savoyard. Lacs, glaciers, cascades et forêts sont nombreux aux alentours. Sixt-Fer-à-Cheval en images
    ©  Philippe Vidon
     

    Champagny-en-Vanoise

    <:FIGURE style="WIDTH: 630px" class=ccmcss_cms_figure>

    <:FIGCAPTION>Champagny-en-Vanoise, qui se situe à quelques kilomètres de Courchevel, est constitué de deux petits villages : Champagny-le-Bas et Champagny-le-Haut. De nombreux autres sentiers de randonnée sont balisés dans la région. Le guide complet de Champagny-en-Vanoise
    ©  Catherine Pierson

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  • Visite de l'île d'Hashima, la ville fantôme

    Un photographe français fasciné par les lieux abandonnés a réalisé plusieurs reportages sur l'île d'Hashima, au Japon. Lieu le plus densément peuplé au monde dans les années 1970, cette cité industrielle est devenue du jour au lendemain une ville fantôme et un lieu mythique pour les "chasseurs d'Haikyo", ces ruines que l'homme a laissées derrière lui à travers le monde. Epoustouflant.
    ©  Jordy Meow

    Baptisée Gunkanjima

    L'île d'Hashima est située au sud de l'archipel japonais, à quelques kilomètres de Nagasaki. De par sa forme proche d'un porte-avions, elle a été rebaptisée "Gunkanjima", ou "île navire de guerre". Depuis 2010, Jordy Meow, un Français vivant au Japon, y a effectué plusieurs voyages, toujours plus saisissants.
    ©  Jordy Meow

    Des milliers d'habitants entassés

    L'île d'Hashima commence à être urbanisée au XIXe siècle, quand Mitsubishi y installe sa première usine, mais elle devient une véritable ville à la fin des années 1950, quand l'exploitation du charbon bat son plein au Japon. En 1959, elle compte 5 300 habitants entassés sur 63 hectares. C'est le lieu où la densité de population est la plus importante au monde : 84 100 habitants au km² !
    ©  Jordy Meow

    L'âge d'or du charbon

    L'île d'Hashima a été totalement désertée dans un laps de temps très court, quand, dans les années 1970, le pétrole vient à remplacer le charbon. Le dernier habitant quittera l'île le 20 avril 1974 la laissant à l'abandon. Ici, auront été érigés "des habitations, deux écoles, un hôpital, un gymnase, un cinéma, 25 magasins, un temple, des bars, et même... un bordel", nous apprend Jordy Meow.
    ©  Jordy Meow

    Une chapelle de ciment

    Les preuves de la vie sur l'île sont aujourd'hui nombreuses, à commencer par la petite chapelle de ciment que les rares visiteurs peuvent apercevoir à leur arrivée. Dans les premières années, la vie sur Hashima était difficile et les ouvriers vivaient dans des conditions terribles poussant certains à se jeter dans le vide ou dans le Pacifique. "Une forteresse de l'enfer" écrit Jordy Meow.
    ©  Jordy Meow

    Un Tori

    Le Tori de Gunkanjima trône toujours fièrement sur l'île aujourd'hui. Ces portiques traditionnels ont un rôle particulier dans la vie spirituelle japonaise. C'est en effet l'entrée du sanctuaire, une séparation métaphysique entre le sacré et le profane.
    ©  Jordy Meow

    Les restes de la mine

    Selon le photographe, il ne reste pas grand chose de la mine qui a attiré des milliers d'habitants sur l'île. Celle-ci pourrait avoir été détruite par Mitsubishi quand son exploitation a été abandonnée, faisant fuir subitement tous ses occupants.
    ©  Jordy Meow

    Vue aérienne

    Une vue aérienne d'une partie de l'île d'Hashima. La grande passerelle blanche conforte l'impression de se trouver sur un grand navire, perdu au milieu du Pacifique. En dehors de ce couloir, la circulation sur l'île est devenue difficile tant les débris jonchent le sol à tout endroit.
    ©  Jordy Meow

    Les bains publics

    Dans la zone d'habitation, à quelques encablures de la mine, on trouve les restes des bains publics. "Le lieu est incroyable, on se croirait plongé dans le film Metropolis", décrit Jordy Meow. Il va bientôt se lancer dans ce labyrinthe à l'ambiance sépulcrale.
    ©  Jordy Meow

    Une ville en hauteur

    Les habitations les plus anciennes encore debout datent de 1918 et donnent une idée de la promiscuité qui devait règner sur l'île. Déjà naturellement escarpée, la ville n'a cessé de monter pour pouvoir accueillir le plus d'habitants possible dans la première moitié du XXe siècle.
    ©  Jordy Meow

    Tours et barres avant l'heure

    Les habitations de l'île d'Hashima sont un avant goût des grands ensembles construits dans les grandes mégalopoles queques années plus tard. Des appartements uniformisés, collés les uns aux autres et les uns au dessus des autres.
    ©  Jordy Meow

    A l'intérieur

    A l'intérieur d'un appartement déserté, Jordy Meow a fait la découverte de ce drôle d'écran. Télévision, radio améliorée, jeu... L'appareil, au milieu des gravats et des détritus, a gardé jusqu'à présent tous ses secrets.
    ©  Jordy Meow

    Des balcons

    Tous les appartements d'Hashima ou presque étaient dotés de balcons se faisant face. "Un paradis pour les voyeurs, un cauchemar pour les autres", rappelle malicieusement Jordy Meow.
    ©  Jordy Meow

    Vidée dans la précipitation

    Les habitants d'Hashima n'ont eu que quelques mois pour quitter l'île, après que Mitsubishi a décidé de vider les lieux en 1974. Cette précipitation semble presque palpable, près de quarante ans plus tard, au vu des débris et des souvenirs oubliés dans la ville.
    ©  Jordy Meow

    Les marches de l'enfer

    Au milieu des habitations, un escalier semble mener tout droit vers l'enfer. Baptisé "stairway to hell", il mène pourtant à la petite chapelle, photographiée au début du reportage.
    ©  Jordy Meow

    Des passerelles géantes

    Avant la création de blocs encore plus massifs, les premières habitations, datant de l'entre-deux guerres, communiquaient par de larges passerelles. "Une vision futuriste mais néanmoins maussade", selon Jordy Meow.
    ©  Jordy Meow

    L'effrayant Block 65

    Le Block 65 est l'une des constructions "modernes" de l'île d'Hashima. "De loin l'immeuble le plus impressionnant de Gunkanjima", écrit Jordy Meow. Construit en 1945, il fait 9 étages et contient 317 appartements. La végétation y reprend progressivement ses droits.
    ©  Jordy Meow

    Jamais plus ne reviendra à la vie

    En s'approchant du Block 65, l'auteur des photographies pense à un "cimetière de maisons hantées encastrées les unes dans les autres." Le lieu semble de loin le plus obscur de l'île. Sur l'un des murs décrépits, ce poême relevé par Jordy Meow : "Des décades se sont écoulées, Le temps l'a rouillée, gangrenée. Cette île est dorénavant pourrie, Jamais plus ne reviendra à la vie." 
    ©  Jordy Meow

    A l'intérieur de l'hôpital

    De l'intérieur de hôpital, on aperçoit l'un des deux établissements scolaires de l'île (en blanc à droite). Peu d'éléments permettent de deviner qu'on se trouve ici dans un lieu de médecine, tant la rouille et le temps ont fait leur oeuvre.
    ©  Jordy Meow

    Le bloc opératoire

    Le bloc opératoire de l'hôpital d'Hashima. Jordy Meow a mis en scène et retravaillé sa photographie pour en faire une véritable oeuvre d'art.
    ©  Jordy Meow

    Dortoir des infirmières

    De retour à l'extérieur de l'hôpital, Jordy Meow croit reconnaitre le dortoir des infirmières. Celui-ci semble avoir souffert d'un incendie.
    ©  Jordy Meow

    Un lieu sans végétation

    L'île d'Hashima a longtemps été un lieu totalement dépourvu de végétation. Un temps, elle fût même appelée "l'île sans verdure" par les Japonais. Aujourd'hui, celle-ci apparaît çà et là sur l'île, comme si l'homme lui avait enfin laissé une place.
    ©  Jordy Meow

    Le lycée de Gunkanjima

    Le lycée de Gunkanjima est un immeuble relativement récent. Il date de 1958, selon Jordy Meow et serait ainsi le dernier à avoir été construit sur l'île. Ce jour là, le photographe ne pourra visiter que les deux premiers étages, faute de temps. Les passages sur l'île sont en effet très courts et dépendent des navettes qui s'y rendent.
    ©  Jordy Meow

    Le gymnase

    L'auditorium ou le gymnase du lycée. Lors de ses visites successives, Jordy Meow a pu aller plus loin dans son exploration et découvrir plus en détail l'intérieur de ces bâtiments autrefois pleins de vie.
    ©  Jordy Meow

    Une calculatrice abandonnée

    Une vieille calculatrice retrouvée lors d'une des explorations de l'école de Gunkanjima. Si l'île, située à une quinzaine de kilomètres de Nagasaki, a énormément souffert du bombardement de 1945, rappelons que ces images ne sont pas celles d'une catastrophe nucléaire, mais bien d'une ville abandonnée dans les années 1970.
    ©  Jordy Meow

    Une salle de classe

    L'une des salles de classe de l'école de l'île d'Hashima. Jordy Meow a consacré un reportage entier à l'établissement scolaire de 7 étages. L'école primaire se situait du rez de chaussée au 4e étage, le collège du 5e au 6e, et l'auditorium et le gymnase du 7e.
    ©  Jordy Meow

    La salle de chimie

    La salle de chimie, reconnaissable aux flacons qui jonchent le sol. En moins de 40 ans, tous les bâtiments de l'île se sont dégradés à une vitesse étonnante quand on sait que certains imeubles du début du siècle sont toujours habités à travers le monde.
    ©  Jordy Meow

    Un piano démembré

    Parmi les photographies les plus touchantes, celle de ce piano démembré dans une des salles de classe de l'école d'Hashima. "Derrière le piano, le vieux professeur de musique tente de retenir les dernières touches qui tentent de s'en décrocher."
    ©  Jordy Meow

    Une platine muette

    Dans l'école abandonnée, Jordy Meow a aussi retrouvé cette platine muette. "L'île a vu certains de ses étudiants y retourner par curiosité. Des adultes à présent. Ils n'osent pas pénétrer dans leur bonne vieille école et préfèrent se remémorer leur vie de l'époque depuis l'ancienne cours de récréation", explique-t-il.
    ©  Jordy Meow

    Des cours de couture ?

    Une machine à coudre à pédale, dans laquelle Jordy Meow croit voir une Singer. Au Japon, toutes les écoles ont encore des cours de couture, et de plus en plus de Japonais "s'intéressent aux anciennes machines comme celle-ci. Il existe même des cafés spécialisés à Tokyo avec des ateliers coutures", précise celui qui vit au Japon depuis plusieurs années.
    ©  Jordy Meow

    Un tigre toujours vif

    Un clown qui devient tigre en traversant le mur de l'école semble encore éclatant. "Il semblerait que chaque salle contienne un objet : son objet. Peut-être pour garder son âme ?", interroge l'auteur du reportage.
    ©  Jordy Meow

    Urinoirs

    Des urinoirs à différents stades de déchéance. Cela peut faire sourire, mais ces lieux sont aussi des plus emblématiques de l'école d'Hashima. Des lieux où se sont probablement nouées de nombreuses intrigues enfantines.
    ©  Jordy Meow

    Le block 67

    Le block 67, photographié à la tombée de la nuit, donne des frissons. Ce bâtiment était, avec le block 65, l'un des lieux d'habitation les plus denses de l'île.
    ©  Jordy Meow

    Des images de nuit

    Jordy Meow a réalisé de nombreuses images de nuit sur l'île d'Hashima. Un moment qui donne aux escaliers et autres passerelles désertes des airs encore plus fantômatiques.
    ©  Jordy Meow

    Une fresque

    Une fresque colorée semble s'aggriper à l'un des murs d'enceinte de l'île. A moins qu'elle ne soit là pour saluer une dernière fois les visiteurs, comme le suggère Jordy Meow à la fin d'un de ses reportages sur l'île.
    ©  Jordy Meow

    Quelques pêcheurs

    L'île d'Hashima est aujourd'hui totalement déserte et est un site d'exploration inédit pour les passionnés de lieux abandonnés. Seuls quelques pêcheurs viennent y chercher le poisson de temps à autre selon Jordy Meow, mais ils ne s'attardent jamais sur l'île.
    ©  Jordy Meow

    Une île-musée

    Interdite pendant de nombreuses années pour des raisons de sécurité, la visite de l'île d'Hashima est désormais possible grâce à une navette. Plusieurs de ses anciens habitants ont pu y retourner, mais ont constaté à chaque fois son délabrement. Gunkanjima est désormais une île-musée au patrimoine laissé à l'abandon.
    ©  Jordy Meow
      

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    Que visiter à Manille ?

    De nombreux voyageurs n’y restent que pour passer une nuit avant de partir vers le nord de l’île de Luçon ou pour attendre leur vol pour rentrer chez eux après avoir voyagé aux Philippines, mais Manille, la capitale du pays, possède tout de même quelques sites intéressants à voir. Alors si vous avez prévu de séjourner à Manille un peu plus que les autres, voici quelques idées de visites :

    1. Le Vieux Manille – Intramuros

    Intramuros Manille

    Flickr – Dom Tuvera

    Cette ville historique fortifiée fut autrefois le cœur des gouvernements espagnols et américains durant leur règne colonial aux Philippines. Après avoir été réduite en ruines pendant la Seconde Guerre mondiale, des reconstructions ont débuté dans les années 1950. Vous pouvez tout simplement marcher dans le quartier d’Intramuros ou monter dans une kalesa (calèche) pour découvrir le plus vieux quartier de Manille. Peut-être que vous apprécierez de visiter les lieux avec un guide, ce qui vous ferait gagner du temps et vous donnerait une meilleure perspective de l’histoire et de la culture de la ville. Deux guides locaux sortent du lot (en anglais) : Carlos Celdran et Ivan Mandy.

    2. Rizal Park et le monument au héros national

    Monument Rizal Manille

    Flickr – Benson Kua

    Ce parc emblématique, également connu sous le nom de Luneta, a été le site de nombreuses exécutions publiques au cours de l’ère espagnole, y compris ceux des trois prêtres philippins Gomburza-Mariano Gomez, José Burgos, et Jacinto Zamora mais surtout du héros national, José Rizal. C’est pourquoi c’est ici qu’un monument a été érigé en l’honneur de Rizal. Ce sanctuaire historique en marbre marque le kilomètre zéro des Philippines.

    3. Le coucher du soleil sur une croisière sur la baie de Manille

    Baie de Manille croisière

    Deviantart – fritzykarl

    Le coucher de soleil sur la baie de Manille est l’une des attractions touristiques les plus fréquentes de la ville depuis des années. Que vous soyez ou non un romantique, l’expérience est encore plus mémorable lorsque vous prévoyez de dîner sur un bateau lors d’une croisière ou en louant votre propre yacht.

    4. Visitez les vieilles églises catholiques

     Cathédrale de Manille

    Cathédrale de Manille – Flickr – Frisno Boström

    Les Philippines sont le cinquième plus grand pays catholique du monde et il existe un certain nombre de vieilles églises à Manille. Leur architecture, fresques et différents ornements sont d’excellents exemples des différents styles artistiques. Les édifices les plus populaires sont l’Église de Quiapo, l’Église de Baclaran, l’Église Saint-Sébastien, l’Église San Agustin, et la cathédrale de Manille.

    5. Les spécialités locales dans le quartier de Binondo

    Balut Manille

    Flickr – tadolo

    Manille a attiré de nombreux commerçants étrangers avant même que les conquistadors espagnols prennent la ville et accordent plus tard une zone, appelée Binondo, aux commerçants chinois. Vous y trouverez le plus ancien Chinatown du monde et un éventail de restaurants qui servent des plats appétissants et abordables. Lors de votre séjour à Manille, testez également le balut, un œuf cuit à la vapeur dans lequel le fœtus est déjà formé, c’est une spécialité du pays (un amuse-gueule). Essayez aussi la street-food comme le Isaw (brochette d’intestins de porc ou de poulet). Vous trouverez sur les marchés de quoi vous donner l’appétit… ou pas.

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  • Escale de charme sur l'Ile de Ré

    Venelles bordées de roses trémières, pistes cyclables à travers les marais, longues plages à l'abri des dunes et villages blancs aux volets bleu ou vert... l'Ile de Ré est un petit bijou de la côte Atlantique à découvrir à bicyclette.
    ©  Gilles Boisset

    Le port de Saint-Martin-de-Ré

    A l'abri de la citadelle et les remparts, le port de Saint-Martin-de-Ré se compose de deux bassins séparés par un îlot. Autrefois très actif pour son commerce de vins ou de sel, le port de Saint-Martin séduit aujourd'hui par ses maisons de pêcheurs, ses restaurants et ses ruelles animées.
    ©  Jennifer Durand

    Le Phare des Baleines

    Dominant la pointe ouest de l'île, le Phare des Baleines doit son nom au nombre relativement élevé de baleines venues s'échouer à cet endroit par le passé. Construit au XIXe siècle pour succéder au vieux phare construit par Vauban, le grand phare, toujours en activité, éclaire avec une portée de feu d'environ 50 kilomètres.
    ©  Jennifer Durand

    L'emblématique âne du Poitou

    A l'entrée de Saint-Martin-de-Ré les ânes en culotte sont les véritables mascottes de l'Île de Ré. Si aujourd'hui ils ne portent que rarement l'habit, on les revêtait autrefois d'une tenue leur recouvrant les jambes afin qu'ils ne soient pas piqués par les moustiques dans les marais.
    ©  Jennifer Durand

    Ré, côté plage

    Réputée pour ses longues plages de sable, l'Ile de Ré abrite, entre le Bois-Plage et La Couarde et à partir du phare des Baleines jusqu'aux Portes, de magnifiques plages bordées de dunes ou de forêts.
    ©  Jennifer Durand

    Le clocher d'Ars

    Avec ce dernier clocher de l'île peint de noir et de blanc, l'église Saint-Etienne d'Ars-en-Ré est l'un des monuments les plus emblématiques de Ré. Si autrefois il servait d'amer aux marins, le fameux clocher se distingue de très loin au cœur des vignes et des marais, guidant les promeneurs.
    ©  Jennifer Durand

    La réserve naturelle nationale de Lilleau des Niges

    Au nord de l'île de Ré, à l'intérieur d'une grande baie presque fermée par le Fier d'Ars, la Réserve naturelle nationale de Lilleau des Niges accueille chaque année des milliers d'oiseaux migrateurs ou sédentaires. Une faune qu'il est facile d'observer en empruntant la piste cyclable qui parcourt ce territoire composé de marais salants et de vasières.
    ©  Jennifer Durand

    Le port d'Ars-en-Ré

    Situé au fond du fier d'Ars, cette étendue d'eau pénétrant les terres et bordée de marais, le village d'Ars-en-Ré figure parmi les plus beaux de France. Au port, à la terrasse du Café du Commerce, une institution arsaise, on contemple la jonque chinoise qui fait non seulement partie de décor mais propose également d'exotiques sorties en mer.
    ©  Jennifer Durand

    Le sel de l'Ile de Ré

    Richesse naturelle de l'Ile de Ré, l'or blanc se récolte encore par les sauniers rétais de manière traditionnelle, perpétuant une tradition vieille de plusieurs siècles. De La Couarde jusqu'aux Portes et à Loix, en passant par Ars et Saint-Clément-des-Baleines, les paysages de Ré la Blanche se composent de marais salants s'étendant à perte de vue.
    ©  Jennifer Durand

    Loix

    Posé sur une presqu'ile bordée par le Fier d'Ars et la fosse de Loix, Loix est un village un peu en retrait au cœur des marais salants. Un village typique de l'Ile de Ré qui coule des jours paisibles, comme son dernier moulin à marée qui servait autrefois à nettoyer le sel avant de le moudre.
    ©  Gilles Boisset

    La citadelle de Saint-Martin

    A la fin du XVIIe siècle, pour contrer les menaces des puissances maritimes anglaises et hollandaises, Vauban transforme Saint-Martin-de-Ré en place forte. Au XIXe siècle, la citadelle sert d'étape avant d'envoyer les bagnards vers la Nouvelle-Calédonie ou la Guyane. Aujourd'hui, les remparts de Saint-Martin-de-Ré... Lire la suite   
    ©  Patrice Plantureux

    L'écluse de La Moufette

    Visible à marée basse entre la côte et le Phare des Baleineaux, l'écluse à poissons de la Moufette témoigne du patrimoine ancestral de l'Ile-de-Ré. Véritables "prairies de la mer" ceinturées d'un muret en fer-à-cheval de pierres sèches, les écluses charentaises étaient destinées à piéger le poisson à marée montante avant de le pêcher quand elle redescend.
    ©  Jennifer Durand

    L'abbaye Notre-Dame-de-Ré

    Sur la partie orientale de l'Ile de Ré, marquant l'entrée du village de La Flotte-en-Ré, s'élèvent les ruines de l'Abbaye Notre-Dame-de-Ré, dite des Châteliers, une ancienne abbaye cistercienne fondée au XIIe siècle, alors considérée comme l'une des plus grandes abbayes du centre-ouest de la France. Elle ne résista cependant ni aux assauts des Anglais, ni aux ravages des guerres de religion.
    ©  Gilles Boisset

    Le pont de l'île de Ré

    Depuis 1988, l'île de Ré est reliée à La Rochelle par un pont culminant à 42 mètres au-dessus de la mer. Avec ses 2 926,5 mètres de longueur, il détient le record du deuxième plus long pont de France derrière le pont de Saint-Nazaire.
    ©  Gilles Boisset

    A bicyclette...

    Nul besoin d'être un cycliste chevronné pour sillonner Ré la blanche, une île plate où le vélo est roi pour être au plus près de la nature. Avec plus de 100 kilomètres de pistes cyclables aménagées et des loueurs de vélo dans chaque village, pédaler est ici un art vivre !
    ©  Philippe Manael

    Ré, terre de vignes

    Les premiers moines installés sur l'Île ne s'étaient pas trompés : Ré dotée d'un terroir favorable et d'un climat ensoleillé était propice au développement de la vigne. Terre de cognac et de pineau, on trouve également parmi les produits phares des vignerons rétais, le Rosé des Dunes de la gamme Voile et le pineau Ilrhéa.
    ©  Jennifer Durand

    La Flotte-en-Ré

    Niché derrière la pointe des Barres, La Flotte figure parmi les plus anciens villages de l'île et parmi les plus beaux de France. C'est en flânant du petit port bordé de terrasses d'où l'on observe le va et vient des vieux gréements, en passant par les venelles du marché d?architecture médiévale avant de remonter jusqu'à l'église que l'on savoure l'atmosphère typiquement rétaise de la Flotte.
    ©  Gilles Boisset

    Le bois de Trousse Chemise

    Aux Portes, le joli bois de Trousse Chemise devrait son nom aux chemises que l'on retroussait autrefois pour traverser le gué de Loix à marée basse pour ne pas se mouiller, à moins que ce ne soit un hommage rendu aux Rétais qui avaient montré leurs fesses aux Anglais chassés de l'île. Quoiqu'il en soit, les charmes de Trousse Chemise, immortalisés par Aznavour, exhalent un parfum de pinède et d'air iodé. 
    ©  Marie-Christine JACQUES

    Balade arsaise

    Loin de l'agitation du port, perdez-vous dans les ruelles paisibles d'Ars bordées de maisons de village cossues aux jardins fleuris, souvenirs du prestigieux passé de l'un des plus importants ports de sel, jusqu'au début du XXe siècle. Un charme intemporel qui séduit réalisateurs, écrivains, stars de cinéma et même hommes politique.
    ©  Jennifer Durand

    Vertigineux escalier

    Ce sont plus de 257 marches qui attendent les plus courageux pour cette vertigineuse montée de l'escalier hélicoïdal du phare des Baleines. Si l'exercice s'avère éprouvant, la vue panoramique sur l'île et la plage de la Conche des Baleines qu'offre le sommet du phare mérite l'ascension.
    ©  Jennifer Durand
     

     
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  • 30 idées pour passer le week-end sur une île

    Façonnée par les airs, la mer et les hommes, l'île de Noirmoutier étend ses rivages sablonneux au sud de l'embouchure de la Loire, en Vendée, dans la baie de Bourgneuf. Balayée par les vents, elle dévoile, à l'abri de la chaleur de ses dunes, un caractère farouchement naturel.
    ©  Chantal Rollier
     

    Les Glénan

    L'archipel des Glénan se trouve à 10 miles marins de Fouesnant dans le Finistère Sud. Il se compose de neuf îles et de nombreux îlots dont la plupart sont inhabités. Il est également célèbre pour l'école de voile du même nom, qui s'y est implantée en 1947.
    ©  Erwan Boisecq
     

    Porquerolles

    Sur la côte méditerranéenne, face au port d'Hyères, Porquerolles est la plus grande des trois îles d'Or. Avec ses 7 kilomètres de long et ses 2,5 kilomètres de large, elle complète la triade formée avec les îles de Port-Cros et du Levant.
    ©  Donnerbold - Fotolia.com
     

    L'Ile de Ré

    L'Ile de Ré, dite "l''île blanche", se visite en voiture, à vélo, à pied, à cheval. Elle fourmille de lieux où se baigner, bronzer, flâner, pêcher et observer les oiseaux tout en respectant la nature, et ses petits villages assurent des escales de charme.
    ©  Patrice Plantureux
     

    L'Ile aux Oiseaux

    Dans le bassin d'Arcachon, l'Ile aux Oiseaux séduit par son aspect sauvage. Seuls des bateaux et quelques cabanes sur pilotis témoignent du passage de l'homme sur cette île dont la superficie varie en fonction des marées.
    ©  pqpak - Fotolia.com
     

    Belle-Ile-en-Mer

    Son nom est un défi que l'île remporte aisément. D'est en ouest, de vallons en falaises, des plages de sable fin aux rochers tourmentés de la côte sauvage, Belle-Ile-en-Mer est la plus grande et la plus plébiscitée des îles du Ponant.
    ©  petunyia - Fotolia.com
     

    Ouessant

    Sauvage et mystérieuse, Ouessant est l'île la plus occidentale de la France métropolitaine. Septième île française en termes de taille, elle est composée d'un plateau rocheux qui s'élève jusqu'à 65 mètres. Ce territoire un peu hors du temps offre des paysages extraordinaires, sculptés par le vent, le sel et les embruns.
    ©  aterrom - Fotolia.com
     

    L'Ile d'Yeu

    Petite île située au large des côtes vendéennes, l'île d'Yeu est un vrai petit coin de paradis où le climat, la nature et des balades à vélo garantissent dépaysement et détente le temps d'un week-end. C'est l'île de l'Atlantique la plus éloignée du continent.
    ©  Magali TRAINEAU
     

    Les Iles Lavezzi

    Constituées d'une centaine d'îlots, les îles Lavezzi sont situées à 10 kilomètres au sud de  Bonifacio. Pour s'y rendre, il faut soit prendre une navette maritime depuis les ports de Bonifacio ou de Porto-Vecchio, soit louer un bateau. Si vous partez de Bonifacio, la navette vous fera également visit... Lire la suite   
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    L'Ile Tudy

    Presqu'île du Pays Bigouden, située à une vingtaine de kilomètres de Quimper, l'Ile Tudy est aujourd'hui une charmante station balnéaire.
    ©  Dominique Beaucé
     

    L'Ile de Batz

    Au large de Roscoff, sur la côte nord du Finistère, l'île de Batz bénéficie d'un climat doux grâce au Gulf Stream, qui lui offre une végétation luxuriante composée d'agaves, de palmiers et d'agapanthes.
    ©  Philippe Devanne - Fotolia.com
     

    L'Ile d'Houat

    Houat est une petite île de Bretagne qu'il faut absolument découvrir. A seulement quelques heures de Paris en TGV, et après 30 minutes de bateau au départ de Quiberon, les courageux explorateurs du week-end se retrouvent ici tout simplement au bout du monde.
    ©  galam - Fotolia.com
     

    Oléron

    L'Ile d'Oléron peut s'enorgueillir d'être la plus grande île métropolitaine de France après la Corse. Avec ses 35 kilomètres de long, ses 12 kilomètres dans sa plus grande largeur et ses 90 kilomètres de côtes, elle reçoit autant d'ensoleillement que la Côte d'Azur.
    ©  Jean-Claude Tribout
     

    Bréhat

    Située à quelques kilomètres du littoral costarmoricain, l'île de Bréhat constitue la plus grande île de l'archipel éponyme. Fleurie au Sud, Bréhat se veut davantage sauvage au Nord. L'île a toujours été adulée par ses visiteurs. Ses rochers roses, sa végétation luxuriante et son microclimat y sont sans doute pour beaucoup.
    ©  Galam - Fotolia.com
     

    Les Iles de Lérins

    Havre de paix situé à seulement quelques dizaines de minutes de Cannes, les îles de Lérins séduisent le promeneur par le calme qui y règne et par les mystères historiques qu'elles renferment. Cet archipel sépare le golfe de Napoule à l'ouest du golfe Juan à l'est et est composé de deux îles principales : Sainte... Lire la suite   
    ©  arch.miola - Fotolia.com
     

    L'Ile Renote

    Au large de Trégastel, sur la côte de granit rose, l'île Renote expose ses rochers aux formes étranges aux embruns marins. Un banc de sable permet de la rejoindre à pied. Balade dans cet enchevêtrement de gros rochers roses ou sieste au bord de l'eau turquoise, vous aurez l'embarras du choix.
    ©  Laurent Besson
     

    L'Ile Tatihou

    Près de St-Vaast-la-Hougue, un bateau permet de se rendre à l'Ile Tatihou. A marée basse, l'accès peut se faire à pied, en traversant les parcs à huîtres. Sur l'île, vous pourrez voir un musée maritime, un centre de découverte de l'environnement marin, une réserve ornithologique et des jardins maritimes. Il est également possible de visiter la tour Vauban, haute de 18 mètres, ainsi que d'autres parties du fort militaire.
    ©  Patrice Favre
     

    L'Ile Louët

    Dans la baie de Morlaix, au large de Carantec, l'Ile Louët est connue pour son phare à la silhouette blanche que l'on retrouve dans de nombreux ouvrages sur la région. Les visiteurs peuvent, sur réservation, passer quelques nuits dans la maison du gardien.
    ©  Serge Agombart
     

    L'Ile d'Arz

    L'île d'Arz est la seconde plus grande île du golfe du Morbihan, après l'île aux Moines. Moins peuplée que cette dernière, sa côte est très découpée. A savoir : un superbe sentier côtier permet d'effectuer le tour de l'île à pied.
    ©  Marthe Lepretre
     

    Saint-Cado

    La petite île de Saint-Cado se trouve dans la ria d'Etel, dans le département du Morbihan. Reliée à la terre par un petit pont de pierre, elle vaut le détour pour sa chapelle romane et son calvaire.
    ©  olivd - Fotolia.com
     

    Jersey

    Jersey se situe à une vingtaine de kilomètres des côtes françaises. Avec une superficie de 116 km², elle représente la plus grande île de l'archipel anglo-normand. Elle est dominée par le majestueux château Mont-Orgueil, une construction médiévale surplombant le port de Gorey du haut de son rocher.
    ©  Philippe Bosseboeuf - Fotolia.com
     

    L'Ile aux Moines

    Isolée au cœur du golfe du Morbihan, l'île aux Moines fera le plaisir des amateurs de balades pédestres ou à bicyclette. Une journée suffit pour découvrir l'île. Sa variété de paysages et sa quiétude en font un endroit particulièrement plaisant.
    ©  DjiggiBodgi.com - Fotolia.com
     

    La Corse

    La Corse s'étend sur 183 km de long, 80 km de large, ce qui représente plus de 1 000 km de côtes. Elle n'a pas volé son surnom d'Ile de Beauté. Du Nord au Sud, d'Ouest en Est, les merveilles qu'elle offre à ses visiteurs sont innombrables. Ici, les falaises de Bonifacio.
    ©  coco - Fotolia.com
     

    Les Iles du Frioul

    L'archipel du Frioul se situe à quelques kilomètres au large de Marseille. Ce site naturel protégé est constitué de quatre îles dont l'île Ratonneau et le célèbre château d'If. Lieu de randonnées très apprécié, cet archipel offre aussi de très beaux sites de plongée.
    ©  Pat on stock - Fotolia.com
     

    Port-Cros

    C'est lors des randonnées en mer organisées à partir de l'île de Port-Cros que le patrimoine du parc révèle toute sa richesse : une randonnée palmée permet d'observer dans leur milieu naturel les 70 espèces de poissons qui peuplent les fonds sous-marins.
    ©  Jean-Pierre Beuret
     

    L'Ile des Ebihens

    L'île des Ebihens fait partie des îles de la Manche, sur la côte d?Émeraude. Cette île privée de vingt hectares en forme de croissant est accessible à marée basse par la presqu'île de Saint-Jacut-de-la-Mer.
    ©  Alain Biard
     

    Groix

    Au large de Lorient, la petite île de Groix dévoile ses côtes rocheuses, ses criques aux eaux turquoise et ses plages de sable aux reflets changeants.
    ©  Genevieve Bouffaud
     

    L'Ile de Sein

    Face à la pointe du Raz, l'île de Sein est très appréciée des visiteurs pour son authenticité.
    ©  Thierry Poncet
     

    L'Ile de Milliau

    Au large de Trébeurden, l'île de Milliau est avec ses 23 hectares la plus grande des îles du Trégor. Vous pourrez vous y rendre en bateau ou en suivant le gois.
    ©  Serge AGOMBART
     

    L'archipel de Chausey

    <:FIGURE style="WIDTH: 630px" class=ccmcss_cms_figure>

    <:FIGCAPTION>La Grande Ile de Chausey mérite le détour. Malgré sa petite taille, elle offre une diversité de paysages déroutante, entre criques ensablées et gros rochers noircis par les marées.
    ©  Brigitte ROLLAND-BOUCHAUD

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