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    Paris caché, chut c'est un secret !

    Un amour de place
    "Je suis le dauphin d'la place Dauphine Et la place Blanche a mauvaise mine" chantait Jacques Dutronc en 1967, à propos de ce petit amour de place coincé sur l'Ile de la Cité. Place royale au XVIIe siècle, habitée par Yves Montand et Simone Signoret puis immortalisée en chanson ou au cinéma, l'inaltérable Place Dauphine bordée de galeries d'art et de cafés est restée aussi paisible que confidentielle.
    ©  Jennifer Durand

    Un village d'artistes

    Un village d'artistes
    Boulevard Arago dans le XIIIe arrondissement, peu de privilégiés auront la possibilité de franchir les grilles de la Cité fleurie. Dans un jardin luxuriant se cachent une trentaine d'ateliers d'artistes où vécurent, notamment, Paul Gauguin, Amedeo Modigliani ou Henri Cadiou.
    ©  Jennifer Durand

    Un amphithéâtre gallo-romain pour terrain de jeu

    Un amphithéâtre gallo-romain pour terrain de jeu
    Insoupçonnables depuis la rue, il faudra se faufiler à travers les immeubles de la rue Monge et de la rue des Arènes, dans le Ve arrondissement pour accéder au plus ancien monument de la capitale. Construites au Ier siècle, les arènes de Lutece, initialement amphithéâtre gallo-romain, sont devenues le terrain de jeu favoris des gamins du quartier.
    ©  Jennifer Durand

    Un musée lapidaire caché

    Ecole natioalane supérieure des Beaux-Arts
    Vous n'aviez jamais osé franchir les grilles de L?École Nationale supérieure des Beaux-Arts rue Bonaparte ? Réparez cette erreur ! Caché dans une cour, son musée lapidaire est un petit bijou. Ouverte au public, cette cour paisible abrite statues et éléments d'architecture rassemblés ici pour échapper à la vindicte révolutionnaire.
    ©  Jennifer Durand

    Un jardin zen venu tout droit du Japon

    Musée Guimet
    Avec le Panthéon bouddhique, le jardin japonais constitue l'annexe du musée Guimet avenue d'Iéna. En accès libre hors des périodes d'exposition, ce jardin de zenitude niché dans une bambouseraie est le refuge idéal loin le l'agitation parisienne.
    ©  Musée Guimet

    Le vaisseau spacial parisien de Niemeyer

    Siège du Parti Communiste Français
    Dans le XIXe arrondissement, la place du Colonel-Fabien est l'emblématique adresse du Siège du Parti Communiste Français depuis 1971. Dessiné par l'architecte visionnaire Oscar Niemeyer, l'édifice est à lui tout seul est un manifeste de l'architecture des années 1970. Sous le dôme de l'auditorium on se laisse émerveiller par cette coupole entièrement composée de lamelles d'aluminium. Bienvenue à bord de l'Enterprise.
    ©  Jennifer Durand

    Bienvenue dans la Petite Alsace

    Petite Alsace
    Nichée sur le flan occidental de la Butte-aux-Cailles, la Petite Alsace, ou cité Daviel, constitue un pittoresque petit village de maisons ouvrières construites en 1912 par l'architecte Jean Walte. Un minuscule quartier de 40 pavillons en briques et à colombages qui doit son nom à son architecture d'inspiration alsacienne.
    ©  Jennifer Durand

    Chevaux à vendre !

    Ancien marché aux chevaux
    Plus de chevaux à vendre rue Geoffroy-Saint-Hilaire dans le Ve arrondissement depuis 1908. Mais avant cette date, l'édifice accueillait alors le plus grand marché aux chevaux de la capitale, dont la façade reste l'ultime vestige.
    ©  Jennifer Durand

    Le thé au jardin

    Musée de la vie romantique
    Dans le IXe arrondissement, au coeur d ela Nouvelle Athènes, le Musée de la Vie Romantique cache un jardin secret qui se transforme dès les beaux jours en salon de thé. A l'ombre des arbres centenaires, il flotte comme un petit air de campagne qui nous fait vite oublier Paris.
    ©  Jennifer Durand

    Une pagode chinoise en plein Paris haussmannien

    La Maison Loo
    A quelques pas du Parc Monceau, la Maison Loo détonne dans ce quartier haussmannien du VIIIe arrondissement. Une folie que l'on doit à monsieur Loo, marchand et collectionneur d?art asiatique qui décide de transformer son hôtel particulier en pagode chinoise rouge vif. En 1926, l'édifice devient l'écrin de la collection d?art asiatique présentée par la galerie C.T LOO et Cie. L'édifice a aujourd'hui gardé sa vocation première et accueille ... Lire la suite   
    ©  Jennifer Durand

    L'icône du romantisme parisien

    La place de Furstenberg
    Il faut se perdre dans les ruelles de Saint-Germain-des-Près pour tomber nez à nez avec cette placette au charme intemporel. La place Furstenberg, avant de devenir l?icône du romantisme parisien pour de nombreux cinéastes, était surtout le lieu où le peintre Eugène Delacroix choisit de s?installer. Un maison-atelier que l'on peut aujourd'hui visiter.
    ©  Jennifer Durand

    Un village à Paris

    Poterne des Peupliers
    A l'extrême sud du XIIIe arrondissement, dans le quartier de la Poterne de peupliers, il est un village où les immeubles ont laissé place à des ruelles pavées bordées de pimpantes maisons colorées. Dès le printemps, la glycine fleurit les grilles des maisons et il n'y a que le chant pour troubler la quiétude de ce petit village parisien.
    ©  Jennifer Durand

    L'entrepôt à ciel ouvert du Musée Carnavalet

    Square Georges-Cain
    Dans ce square paisible du Marais, les promeneurs pourront s'étonner de la présence de fragments d'architecture et autres sculptures murales. En fait, vous êtes tout simplement en présence des fragments de l?ancien Hôtel de Ville, du fronton du Palais des Tuileries encore noirci par l'incendie qui l'a détruit ou face à un sarcophage mérovingien, puisque le Square Georges-Cain n'est autre que l'entrepôt à ciel ouvert du Musée Carnavalet voisin.
    ©  Jennifer Durand

    Le premier gratte-ciel de Paris

    La Tour Albert
    Dominant le quartier Croulebarbe das le XIIIe arrondissement, la Tour Albert est célèbre pour avoir été le tout premier gratte-ciel d'habitation de Paris. Édifiée de 1958 à 1960, l'édifice bat alors des records avec ses 67 mètres de haut et ses 23 étages. Depuis 1994, la Tour Albert, qui porte le nom de son architecte, est inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques.
    ©  Jennifer Durand

    Un trésor dans le Marais

    La rue du Trésor
    Connue pour ses cafés branchés, la rue du Trésor voit chaque jour toute une foule de Parisiens venir siroter un cocktail en terrasse. Parmi eux, combien savent que c'est exactement là, sous leurs pieds, qu'un véritable trésor de pièces d'or fut découvert en 1882. A cette époque, la rue n'existait pas et le magot provenait des décombres de l'hôtel Eiffat.
    ©  Jennifer Durand

    Le jardin secret de la rue d'Ulm

    Le jardin de l'École normale supérieure
    Rue d'Ulm, ce sont des générations de normaliens qui ont foulé le sol de la Cour aux "Ernests", comprendre poissons rouges vivant dans le bassin central, pour ceux qui ne comprendraient pas le jargon ulmite. En revanche peu de Parisiens connaissent la quiétude de ce lieu sur lequel veillent les bustes de quarante grands hommes français.
    ©  Jennifer Durand

    Une ruelle haute en couleur

    La rue Crémieux
    A quelques pas de la gare de Lyon, la rue Crémieux est une ruelle pavée imaginée sur le modèle des cités ouvrières. Avec ses 35 pavillons de deux étages aux façades toutes plus colorées les unes que les autres, la ruelle diffuse du peps et de la bonne humeur dans tout le quartier !
    ©  Mathilde Regnault

     

     

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    Les hôtels particuliers de Paris

    A la découverte des hôtels particuliers de Paris

    Hôtel Emile Menier
    La capitale regorge d'hôtels particuliers. Devenus aujourd'hui musées, biens de l'état ou encore propriétés privées, ces demeures font partie intégrante du paysage urbain. Il s'agit ici de l'hôtel Emile Menier. Situé 5 avenue Van-Dyck dans le VIIIe arrondissement, il fut construit en 1869-1870 pour l'industriel Emile Menerier.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Montesquiou

    Hôtel de Montesquiou
    L'hôtel de Montesquiou fut bâti en 1781 pour Anne-Pierre de Montesquiou-Fezensac, premier écuyer de Monsieur. Pour admirer cette demeure, aujourd'hui propriété privée, il faut se rendre au numéro 20 de la rue Monsieur dans le VIIe arrondissement.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel Lambert

    Hôtel Lambert
    L'hôtel Lambert se situe à la pointe de l'Ile Saint-Louis dans le IVe arrondissement. Il est l'oeuvre de l'architecte Louis Le Vau. L'édifice se distingue entre autre par son aile terminée en abside sur le fleuve. Aujourd'hui, cet édifice est une propriété privée.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Béhague

    Hôtel de Béhague
    On doit l'hôtel de Béhague à l'architecte Hippolyte Destailleur. Ce dernier bâtit cette demeure en 1866-1867 pour le comte Octave de Béhague. Il abrite aujourd'hui l'ambassade de Roumanie.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Gournay

    Hôtel de Gournay
    L'hôtel de Gournay se situe 1 rue Saint-Dominique dans le VIIe arrondissement. Il fut construit en 1712 pour Michel Amelot, marquis de Gournay. Il fut acquis en 1928 par la Banque de France avant d'abriter l'ambassade du Paraguay.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de La Vrillière

    Hôtel de La Vrillière
    Dans le Ier arrondissement, l'hôtel de La Vrillière est aujourd'hui le siège de la Banque de France. Construit entre 1635 et 1650, il est l'oeuvre de l'architecte François Mansart. Au cours des siècles, il connut des modifications, des agrandissements et des altérations. A voir au premier étage, la Galerie Dorée avec ses splendides boiseries de François-Antoine Vassé et sa voûte peinte.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel Jacquemart-André

    Hôtel Jacquemart-André
    L'hôtel Jacquemart-André est installé à quelques pas des Champs-Elysées, et plus précisement au 158 boulevard Haussmann dans le VIIIe arrondissement. Il fut construit en 1864-1868 pour le banquier Edouard André. Aujourd'hui, cette demeure de collectionneur est  devenue un musée. On peut y voir de multiples chefs-d'oeuvre de Nattier, Vigée-Lebrun, Fragonard, David...
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel Saint-Florentin

    Hôtel Saint-Florentin
    L'hôtel Saint-Florentin est installé dans le Ier arrondissement. Il fut érigé en 1766-1769 pour le ministre de la Maison du roi, le comte Saint-Florentin. En 1950, il est acquis par les Etats-Unis. C'est notamment dans ce lieu que le plan Marshall pour l'Europe vit le jour. Aujourd'hui, il est le siège du Consulat général des Etats-Unis.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Cluny

    Hôtel de Cluny
    L'hôtel de Cluny se situe place Paul-Painlevé dans le Ve arrondissement. Construit entre 1471 et 1500, il abrite aujourd'hui le Musée national du Moyen Age et Thermes de Cluny. Cette façade est celle qui donne sur la cour. La porte de la grande vis constitue l'accès principal de cette demeure. A voir également à l'intérieur, la chapelle des abbés de Cluny, chef-d'oeuvre de l'art flamboyant.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel Gaillard

    Hôtel Gaillard
    Construit au XIXe siècle, l'hôtel Gaillard accueillit bon nombre de fêtes somptueuses et de bals spectaculaires au temps où le baron et financier, Emile Gaillard en fut le propriétaire. Le château de Blois et de Gien inspirèrent l'architecture de cette demeure. Cette dernière est un des plus beaux édifices néo-Renaissance française de Paris. A voir place du Général-Catroux dans le XVIIe arrondissement.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel Carnavalet

    Hôtel Carnavalet
    L'hôtel Carnavalet est installé au numéro 23 de la rue de Sévigné dans le IIIe arrondissement. Sa construction remonte au XVIe siècle. Aujourd'hui, cet hôtel particulier a été transformé en musée. On peut y voir les collections historiques et archéologiques de la Ville de Paris. En photo, l'aile droite donnant sur la cour fut élevée en 1660-1661 par l'architecte François Mansart. Elle est dans un pur style Renaissance, pour être en harmoni... Lire la suite   
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Lauzun

    Hôtel de Lauzun
    L'hôtel de Lauzun (1657-1658), installé 17 quai d'Anjou dans le IVe arrondissement, compta parmi ses locataires les plus prestigieux, le poète Charles Baudelaire. Ce dernier occupa pendant deux ans, trois des pièces du 2ème étage. Le Club des haschischins fondé par Théophile Gautier se réunissait dans cet hôtel.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Sully

    Hôtel de Sully
    Installé au 62 rue Saint-Antoine dans le IVe arrondissement, l'hôtel de Sully porte le nom du duc de Sully, grand ministre d'Henri IV qui acheta l'hôtel achevé et meublé en 1634. Ce dernier n'y vécut presque pas mais son nom est resté à jamais lié à cette demeure aux façades de pierre blonde richement animée de bossages, frontons, sculptures décoratives et bas-reliefs.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Seignelay

    Hôtel de Seignelay
    L'hôtel de Seignelay fut construit en 1714-1715 par l'architecte Germain Boffrand. Ce dernier le vendit en 1718 à Colbert de Seignelay. Entre 1841 et 1938, il changea de nom pour devenir l'hôtel de Nicolay. Il fut également un temps la propriété de l'état allemand avant d'être confisqué en 1945. Aujourd'hui, il est la propriété de l'Etat. Et si vous voulez l'acquérir, c'est le moment !  L'Etat cherche à le vendre.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Soubise

    Hôtel de Soubise
    L'hôtel de Soubise est installé rue des Francs-Bourgeois dans le IIIe arrondissement. Construit en 1705-1708 par l'architecte Pierre-Alexis Delamair, il accueille aujourd'hui les Archives nationales ainsi que le musée de l'Histoire de France.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Matignon

    Hôtel de Matignon
    L'hôtel de Matignon est connu pour être à la fois la résidence du Premier ministre et aussi son lieu de travail. Situé rue de Varenne dans le VIIe arrondissement, cette demeure du XVIIIe siècle abrite au premier étage un salon central où l'on peut voir les plus belles boiseries Régence de la maison.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel d'Augny

    Hôtel d'Augny
    Dire qu'il y a des fonctionnaires qui ont la chance de travailler dans le cadre majestueux de cet hôtel particulier du XVIIIe siècle situé rue Drouot. En effet, l'hôtel d'Augny est devenu la mairie du IXe arrondissement de Paris.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel du Châtelet

    Hôtel du Châtelet
    L'hôtel du Châtelet (1770-1776) est connu pour avoir été la demeure de l'archevêché de Paris sous l'épiscopat de Marie-Dominique-Auguste-Sibour au XIXe siècle. Son éloignement de Notre-Dame lui valut le surnom de " exil ". Aujourd'hui, c'est la propriété du Ministère du Travail.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Bourienne

    Hôtel de Bourienne
    Pour admirer cette propriété privée, il faut se rendre au 58 rue d'Hauteville dans le Xe arrondissement. L'hôtel de Bourienne est une demeure néo-classique. Il fut notamment habité par Fortunée Hamelin, célèbre femme d'esprit sous le Directoire avant d'être cédé à Louis-Antoine Fauvelet de Bourrienne, secrétaire de Napoléon qui lui a laissé son nom et y tint un salon très prisé à l'époque.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

    L'hôtel de Berlize

    Hôtel de Berlize
    L'hôtel de Berlize est installé 41 rue du Temple dans le IVe arrondissement.  Il fut construit en 1768-1770 pour Nicolas Faure, sieur de Berlize. A l'époque l'entrée se faisait rue Pierre-au-Lard. C'est sous Louis XIII que l'entrée est alors installée côté rue du Temple. Aujourd'hui, cette propriété privée abrite un café-théâtre et des salles de danse.
    ©  Les hôtels particuliers de Paris / photo : Gilles Targat

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    Dix conseils pour fêter la Saint-Patrick à

    l'irlandaise, le 17 mars prochain

     
     
    Brice
     

    La Saint-Patrick est une fête culturelle et religieuse célébrée le 17 mars, qui rend hommage au saint patron de l'Irlande.

     

    Désormais célébrée par beaucoup de gens à travers le monde, Irlandais ou non. Au programme : de la nourriture, des boissons et autres trucs de couleur verte. La Saint-Patrick est devenue (presque) incontournable, où que vous soyez, l'occasion pour vous de vous peindre en vert, de boire de la bière, beaucoup de bière, et de danser en plein milieu des pubs.

     

    Le 17 mars, ça approche, donc voici quelques conseils pour célébrer la St Patrick à l’irlandaise. Plus d'excuse !

     

    Savoir deux/trois trucs sur l’histoire de la Saint-Patrick

     

    Quand même

    Wiki
     

    Comme son nom l'indique, la fête célèbre Saint Patrick, le saint patron de l'Irlande, à qui l’on prête la christianisation de l'île. La plupart des sources s’accordent à dire que le vrai nom de St Patrick était Maewyn Succat. L'homme aurait été kidnappé et vendu en esclavage à l’âge de 16 ans et pour survivre à l’esclavage, il se serait tourné vers Dieu. Six ans plus tard, St Patrick s’échappe direction la France et devient prêtre, pour devenir ensuite le second évêque d’Irlande. Il passe alors les trente années suivantes à établir des écoles, des églises et des monastères dans tout le pays.

     

    Il est dit que St Patrick utlisa un trèfle comme métaphore de la Trinité (le Père, le Fils, et le Saint-Esprit), montrant ainsi comment trois individus pouvaient faire partie du même corps.

     

    Mettez-vous au vert

    Les t-shirts St Patrick sont très répandus et se portent fièrement. Un t-shirt vert avec une phrase faisant référence à l’Irlande : "Kiss me, I’m Irish !" ou "Time to fight!" par exemple. Notez quand même que tout irlandais préférerait mourir que d’être vu dans un tel t-shirt. Du coup, un t-shirt Guinness sera plus acceptable. C'est à vous de voir!

    Sinon, déguisez-vous en Leprechaun

    Hauts comme trois pommes (75 cm), ils s’habillent avec de vieux vêtements et sont coiffés d’un grand chapeau magique qui leur permet de disparaître en un clin d’œil. Ils sont farceurs, fument la pipe, et fabriquent les chaussures des fées qui les payent en retour avec des pièces d’or. Les Leprechauns sont riches, mais ils sont un peu radins sur les bords. Ils préfèrent cacher leurs trésors dans un chaudron. Vous vous reconnaissez ?

    Donc pour celles et ceux qui se sentiraient d'humeur festive, pensez au costume de leprechaun : de grandes chaussettes blanches, un chapeau haut de forme vert et une fausse (ou vraie) barbe rousse. Vous avez bien ça au grenier, non ?

    Accessoirisez

    Les badges et bijoux seront parfaits pour habiller votre tenue. Les badges avec des citations intelligentes (ou pas) sont aussi également encouragés. Mieux encore : porter des trèfles embrochés sur une épingle à nourrice (à la même place que vous porteriez un badge), une véritable tradition pour ceux qui célèbrent la fête et assistent aux parades.

    N'hésitez pas à teindre vos cheveux en vert aussi (ou les poils de votre chien)

    Peinture non toxique, bien entendu

    Apprenez des mots et formules irlandaises

    Les irlandais ont leur propre dialecte. Pour être dans l'ambiance, essayez d’insérer ces termes d'Anglais irlandais dans la conversation :

    - "What's the craic?", qui se traduit par "Comment ça va ?" ou "Quoi de neuf ?" et s’utilise dans les cadres non-formels. "Craic" est un mot très important en Irlande. Utilisez-le et vous gagnerez des points avec les Irlandais.

    -"Grand". Un mot multi-usage qui ne signifie pas de grande taille ou impressionnant, mais se traduit plutôt par "bien" ou "super", selon le contexte. "I’m grand" est une réponse tout à fait acceptable à la question "Comment vas-tu ?", par exemple.

    -"Eejit". "Eejit" est le terme irlandais signifiant "idiot". Si quelqu’un fait quelque chose de stupide, vous pouvez lui dire "Tu es trop eejit !". Ce n’est pas agressif, c'est juste pour taquiner (enfin...)

    On reprend : "What's the craic?" --> "I'm Grand!" --> "ok, youre an eejit!" --> TIME TO FIGHT !

    Apprenez la danse irlandaise

    La danse irlandaise est une forme de "step dancing" populaire en Irlande, mais pas que! Vous pourrez alors impressionner votre entourage, deviendriez plus souple et brûlerez des calories (ce qui ne serait pas du luxe, n'est-ce pas ?). Guinness à la main, vous passerez pour un(e) vrai(e) irlandais(e).

    Mangez des plats traditionnels irlandais

    Les bières et whiskies ne sont pas les seuls "merveilles" en provenance d’Irlande. Le "corned beef", le chou et le ragoût d’agneau accompagné de pain traditionnel sont des façons délicieuses de vivre intensément la Saint Patrick. Le tout accompagné de pommes de terre. A vos fourchettes !

    NB : Si vous ne mangez pas de viande, buvez du whisky. Si vous n'aimez pas le whisky, buvez de la bière. Sinon, allez danser. Quoi, vous n'aimez pas danser ?

    Jouez ou écoutez de la musique irlandaise

    L’Irlande possède une longue histoire musicale, avec de nombreux styles à son arc. La musique celte, la musique folklorique et les chansons classiques de pub irlandais vont mettront dans l’ambiance de la St Patrick.

    Faites la fête!

    En ce jour de fête, la population s’en donne à cœur-joie, chantant, dansant, et buvant, comme des trous. Les Pubs Irlandais ne désemplissent pas, les bières se remplissent et la musique irlandaise envahit les rues. Les grandes villes en profitent pour organiser de belles parades, comme à Dublin, où O’Connell Street se retrouve littéralement prise d’assaut par les dublinois.

    Si vous n’êtes pas un fan de sorties dans les bars mais voulez tout de même célébrer la St Patrick, invitez quelques amis et organisez votre propre fête. Insistez pour que tout le monde porte du vert et buvez quelques "binches" entre amis. Sinon, sachez qu'en Irlande il est commun de se réunir en famille le jour de la St Patrick, vous pourriez alors en faire de même.

    Bon ben, bon courage, et revenez-nous entier!

     
     

    Divertissement:  Dix conseils pour fêter la Saint-Patrick à l'irlandaise, le 17 mars prochain + vidéo

     
     

    Divertissement:  Dix conseils pour fêter la Saint-Patrick à l'irlandaise, le 17 mars prochain + vidéo

     

    Divertissement:  Dix conseils pour fêter la Saint-Patrick à l'irlandaise, le 17 mars prochain + vidéo

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    Rétrospective 2014 : les mannequins au top !

    Cette année a révélé ou confirmé l'influence de plus belles femmes de la mode. Ces douze derniers mois ont été marqués par l'avènement de jeunes mannequins très rapidement propulsés sur le devant de la scène. La mode est à la recherche de sang frais et le cru 2014 a été particulièrement intéressant ! Sur qui misez-vous ? Les paris sont ouverts...
    ©  Peters Doug/PA Photos/ABACA Hahn Lionel/ABACA

    Cara Delevingne, omniprésente

    Cara Delevingne, mannequin qui a marqué l'année 2014
    Elue "Mannequin de l'année" aux British Fashion Awards, la rebelle Cara a été sur tous les fronts. Omniprésente sur les podiums comme dans les campagnes des maisons de luxe, elle incarne à elle seule la mode en 2014.
    ©  Peters Doug/PA Photos/ABACA

    Kendall Jenner, propulsée au sommet

    Kendall Jenner, mannequin qui a marqué l'année 2014
    Quelle ascension vertigineuse ! En 2013, seuls les addicts de l'émission "L'incroyable famille Kardashian" la connaissaient, désormais, c'est toute la fashion sphère qui se l'arrache. C'est certainement la plus grande rivale de Cara Delevingne. Elle défile pour les plus grands noms dans les capitales mondiales et est désormais égérie Estée Lauder. La liste est longue et sa carrière ne fait que commencer...
    ©  Peters Doug/PA Photos/ABACA

    Gisele Bündchen, indétrônable

    Gisele Bundchen, mannequin qui a marqué l'année 2014
    Selon un sondage réalisé par nos soins, Gisele est le top qui a marqué les lecteurs du Journal des Femmes et remporte près de 40% des votes. A juste titre, la belle multiplie les contrats dont le plus marquant est celui avec Chanel pour son parfum n°5. Visionnée partout dans le monde, la publicité la montre en sirène sexy et sportive. Un véritable exemple pour les jeunes générations.
    ©  SdP Chanel

    Charlotte Free, rafraîchissante

    Charlotte Free, mannequin qui a marqué l'année 2014
    Rendue célèbre grâce à sa chevelure rose bonbon, Charlotte Free est la star des podiums, ouvrant et fermant les défilés au côté de Cara. Son minois et son énergie débordante ont séduit Karl Lagerfeld et nous avec.
    ©  SdP Chanel

    Suki Waterhouse, funky

    Suki Waterhouse, mannequin qui a marqué l'année 2014
    L'insolente et sensuelle girlfriend de Bradley Cooper a connu une année très mouvementée : égérie Superga et Burberry Eyes, on l'adore pour ses looks originaux et son dynamisme. 
    ©  Peters Doug/PA Photos/ABACA

    Jourdan Duun, angélique

    Jourdan Duun, mannequin qui a marqué l'année 2014
    Choisie par Prada pour être le second mannequin noir à défiler pour la marque depuis Naomi Campbell en 1997, Jourdan Duun a superbement commencé sa carrière en 2008. Après ce démarrage remarqué, elle jouit d'une belle réputation. Récemment égérie Maybelline à New York et pour Burberry, on ne se lasse pas de son sourire et de sa silhouette gracieuse.
    ©  Gouhier Nicolas/ABACA

    Georgia May Jagger, baby rock

    Georgia May Jagger, mannequin qui a marqué l'année 2014
    La digne fille de Mick Jagger est également l'une des étoiles montantes qui a envahi les podiums dont celui de Tommy Hilfiger en septembre dernier. Egérie Minelli mais moins médiatisée que Kendall Jenner, elle demeure tout de même l'un des tops à suivre en 2015.
    ©  SdP Minelli

    Anna Ewers, ultra-sexy

    Anna Ewers, mannequin qui a marqué l'année 2014
    Voici l'un des tops qui a le plus fait parler d'elle en fin d'année ! Ambassadrice Mango, elle a également posé pour Pirelli et son fameux calendrier 2015. Elle continue à faire monter la température avec sa dernière campagne porno-chic pour Alexander Wang où les poses lascives sont plus que suggestives.
    ©  SdP Mango

    Ilona Smet, prometteuse

    Ilona Smet, mannequin qui a marqué l'année 2014
    Fille du mannequin Estelle Lefébure et du chanteur David Hallyday, Ilona a de qui tenir son style et sa beauté ! Révélation de l'année, on lui souhaite une belle carrière internationale en tant que mannequin.
    ©  Instagram de Ilona Smet

    Aymeline Valade, magnétique

    Aymeline Valade, mannequin qui a marqué l'année 2014
    Incarner Betty Catroux dans "Saint Laurent" de Bertrand Bonello a permis au mannequin d'être connue et reconnue du grand public lors des défilés. Quant à ses airs de femme fatale, ceux-ci ont suffi à nous séduire.
    ©  MANDARIN CINEMA/EUROPACORP/ORANGE STUDIO/ARTE FRANCE CINEMA

     

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    9 parcs d'attraction à travers le monde tous

    plus uniques les uns que les autres

     

     

    Arnaud 
     
     

    Les parcs d'attraction signifient, que ça soit pour les enfants ou pour les adultes, des heures de plaisir et de distraction, mélangé à l'adrénaline et le frisson des montagnes russes, entre autres. Mais bien que la plupart des parcs d'attraction vous garantissent une journée (au moins !) de plaisir, c'est bien souvent les mêmes thèmes : des montagnes russes, une grande roue, des attractions aquatiques, etc... Si vous souhaitez avoir une expérience d'attraction hors du commun, allez donc faire un tour à ces parcs d'attraction uniques en leur genre, pour un grand frisson inoubliable !

     

    1.BonBon Land

    Ce parc d'attraction danois tient son nom d'un savoureux bonbon, avec un design à son image. avec des noms d'attraction assez spéciaux, comme le "chien péteur".

    2.Diggerland

    Si vous avez déjà pensé à ce que l'on pourrait ressentir si l'on se servait de véhicules de construction, visitez donc ce parc. Tous les manèges sont construits autour de la machinerie lourde. Vous pouvez en trouver quelqu'un en Angleterre uniquement.

    3.Harmonie Land

    Ce parc est situé au Japon et est l'endroit propice à Hello Kitty. Une fois arrivé là bas, vous pouvez faire un tour à son château. Il y a également une promenade en bateau qui passe sous les appartements.

    4.Haw Par Villa

    Si vous aimez la littérature chinoise, alors vous allez adorer ce parc. il contient au moins un millier retraçant des scènes célèbres dans l'histoire de la Chine. Une des expositions est une mare de sang avec un homme à l'intérieur...

     

    5.Dollywood

    Dolly Parton, la chanteuse de country, est tellement idolâtrée qu'elle dispose de son propre parc d'attractions ! Les différentes attractions sont basées sur sa carrière et ses chansons. En outre, sur certaines attractions, les tours de montagnes russes sont les plus rapides aux Etats-Unis.

    6.Wonder Land

    Situé à Saint-Pétersbourg, ce parc est l'un des plus terrifiants, même si vous risquez de rencontrer des personnages du film "Shrek"....

    7.La République des Enfants

    Les enfants du monde entier peuvent devenir "adulte" ne serait-ce qu'une journée, dans ce parc d'attraction. Ils disposent d'une somme d'argent prêtée par une "banque", et peuvent élire une... assemblée ! Un (petit) aperçu de l'indépendance et de savoir bien utiliser son argent.

    8.Le village de la mémoire

    Il faut l'avouer, ce parc a un thème assez flippant. De la nourriture et des vêtements d'esclaves vous sont "proposés" à l'entrée du parc pour vous mettre dans les meilleures conditions.

     

    9.Suoi Tien Park

    Ce parc aquatique est constitué en majorité par de nombreux aquariums où résident toutes sortes d'animaux et en particulier de crocodiles. L'autre particularité, un palais en l'honneur de la licorne.

     

    Divertissement:  9 parcs d'attraction à travers le monde tous plus uniques les uns que les autres

     

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