•  


    L'enquêteur de l'occulte


    Posté par Angélique le mercredi, 11 décembre 2013 dans Paranormal

     

     

    Paranormal:  L'enquêteur de l'occulte




    David Farrant dirige la Société Britannique du Psychique et de l'Occulte. Commentant ses recherches dans le domaine su paranormal, il nous révèle les dessous d'une affaire qui défraya la chronique Outre-Manche et dans laquelle il faut directement impliqué : celle du vampire de Highgate.

     

    David Farrant fit la « une » des journaux lors de son arrestation, dans les années 70, pour avoir « chassé le vampire » au cimetière de Highgate, à Londres. Farrant passa deux années en prison, pendant lesquelles il nourrit une double amertume : sur la façon dont la presse avait « couvert » l'affaire, mais aussi sur le traitement que la police lui réserva. Depuis lors, il a lutté pour faire entendre sa version des faits, aboutissant à la publication de son libre Beyond the Highgate Vampire(« Au-delà du vampire de Highgate »).

     

    Dès l'adolescence, Farrant s'est intéressé à l'occulte. Sa mère était membre de l'Eglise Spiritualiste, et il put ainsi pénétrer très tôt les sphères du paranormal. En 1967, il est l'un des fondateurs de la British Psychic and Occult Society (BPOS) et enquête à ce titre sur de multiples cas, notamment celui du vampire de Highgate qui fera tant pour son malheur...

     

    David Farrant nous a reçu à son domicile londonien.

    Avant toute chose, il m'importe de vous préciser ma conception de l'inexpliqué. Au cours de mes enquêtes, j'ai pu me rendre compte qu'il existait trois catégories de phénomènes inexpliqués. La première catégorie regroupe la majorité des événements paranormaux – ce sont les manifestations de « personnages-fantômes ». En second lieu, nous trouvons tout ce qui a trait à l'activité poltergeist : les esprits frappeurs, les déplacements d'objets, etc. sachez que j'hésite beaucoup à parler de la troisième catégorie, car elle concerne des entités qui semblent véritablement posséder une sorte d'intelligence.

     

    Bien, procédons par ordre. Quelle est votre définition des « personnages-fantômes » ?

     

    Je n'aime pas ces termes de « fantôme » ou de « revenant », parce qu'ils polluent l'esprit des gens avec un folklore de draps blancs et de chaînes. Pourtant il existe bien des personnages fantomatiques – voire des animaux et même des objets – projetant une image très réelle. Ce ne sont pas précisément des images dotées d'intelligence : elles viennent du passé, se reproduisent à certains moments et sous certaines conditions, notamment en fonction des alignements planétaires, des cycles lunaires et surtout des conditions atmosphériques. L'eau semble jouer un rôle très important : en effet, ces phénomènes apparaissent surtout lorsque l'eau est présente dans l'environnement.

     

    Pouvez-vous donner un exemple d'affaire où l'eau jouait un tel rôle ?

     

    Nous avons enquêté sur un cas de chien fantomatique, apparu à plusieurs reprises dans le comté de Hereford, près du Pays de Galles. Un soir où deux personnes rentraient chez elles en voiture, elles virent soudain un énorme chien noir, dressé au milieu de la route. Le temps d'un violent coup de frein, le chien avait disparu – ce qui est le cas 99 fois sur 100. sur place, nous avons découvert qu'un ruisseau coulait sous la route, précisément à l'endroit où le chien noir avait été vu.

     

    Pourquoi l'eau serait-elle si importante ?

     

    Je m'efforce de trouver la réponse à cette question... qui est probablement fondamentale. Je pense que l'eau joue le rôle de catalyseur d'une forme d'énergie que la science ne comprend pas encore très bien... Energie qui conduit à la matérialisation d'images psychiques en utilisant l'eau mais aussi la pierre comme moyens de diffusion.

     

    Quel est le rôle joué par la pierre ?

     

    Les phénomènes fantomatiques surviennent fréquemment dans de vieilles constructions en pierres, dans des abbayes u le long des « leys », ces fameux alignements souvent jalonnés par des pierres. À mon avis, les pierres jouent le rôle d'une batterie naturelle qui, dans certaines conditions, « condenserait » de l'énergie psychique.

     

    Qu'en est-il des poltergeists, votre seconde catégorie ?

     

    De nombreux événements puisent leur origine dans les nivaux inconscients de l'esprit humain. Ils se produisent souvent lorsque le sujet dort ou est sur le point de s'endormir. C'est au moment où la conscience se met au repos que d'étranges activités peuvent survenir. J'ai étudié, à Brighton, le cas d'une femme confrontée aux problèmes classiques de l'activité poltergeist. Quand elle sortait de chez elle, le soir, il arrivait que sa cuisinière à gaz s'allume toute seule, ou bien encore elle se réveillait la nuit pour entendre le bruit d'une étagère tombant à terre. Elle nous raconta qu'une fois, son neveu avait été poussé dans l'escalier par une force mystérieuse. Bien que je ne le lui ai jamais dit, je suis convaincu que la plupart des phénomènes qu'elle a décrits avaient pour origine son propre psychisme. Ce genre de choses arrive à certains plus qu'à d'autres ; sans doute cela dépend-il de leur degré de sensibilité.

     

    Ceci nous amène à votre troisième catégorie, c'est-à-dire les entités douées d'intelligence. Pourquoi hésitez-vous à en parler ?

     

    Parce qu'il 'agit d'un domaine mal connu. J'ai été confronté à un trop grand nombre d'affaires où je n'ai pas trouvé d'explication satisfaisante. De plus, ces entités peuvent être malveillantes, notamment quand elles cherchent à communiquer avec une personne précise. Aussi je répugne à parler d'une notion aussi délicate que celle du Mal, même s'il est clairement établi que ces entités peuvent avoir un effet négatif sur les personnes physiques.

     

    Pouvez-vous nous donner un exemple ?

     

    L'exemple qui me vient à l'esprit est celui d'une femme qui m'a écrit, en 1992, au sujet d'une force psychique qui la terrifiait. Il lui arrivait de se réveiller, au beau milieu de la nuit, et de se sentir totalement paralysée. Incapable de bouger un muscle, incapable de pousser un cri. Elle ressentait souvent une pression très forte sur sa poitrine, qui dans certains cas pouvait l'immobiliser totalement durant plus d'une minute. Une fois seulement elle avait aperçu la forme d'un homme qui se penchait sur elle. L'état de terreur dans lequel elle était plongée l'empêchait de se rendormir : cette femme développa rapidement des tendances suicidaires.

     

    Comment l'avez-vous aidée ?

     

    Je lui ai finalement fait parvenir un talisman protecteur qu'elle devait constamment porter autour de son cou. En parallèle, notre association a oeuvré pour sa protection. Au terme d'un an environ, les phénomènes cessèrent et, à ma connaissance, n'ont pas repris depuis. L'affaire illustre cependant jusqu'à quelles extrémités un contact avec des phénomènes psychiques peut emmener une personne comme vous et moi.

     

    Qu'entendez-vous par un talisman protecteur ?

     

    Il s'agit d'un talisman utilisant des symboles protecteurs, et que nous employons pour contrer – plutôt inverser – une énergie psychique. On peut penser que sa signification est purement symbolique, à l'image de la croix chrétienne utilisée à l'encontre des vampires... Mais comme il se trouve que cela marche dans certains cas, nous utiliserons ce talisman.

     

    Quels sont ces « travaux de protection » effectués au sein de votre association ?

     

    Dans un premier temps, j'ai demandé à cette femme de m'envoyer un objet intime – comme un collier ou une bague – pour nous aider à établir un lien psychique avec elle. Une fois ce lien créé, nous étions mieux placés pour tenter d'inverser l'énergie de l'entité qui s'en prenait à cette femme.

     

    Comment procédez-vous ?

     

    Il y a certaines méthodes dont je ne peux pas vous parler. Ce que je peux vous dire, c'est que notre association se réunit pour former un lien psychique et orienter l'énergie créée collectivement vers la personne concernée, un peu à la manière d'un exorcisme. Mais nous n'agissons ainsi que très rarement, uniquement si le problème est très grave, et en l'occurrence cela m'a semblé être le cas.

     

    Pourquoi rester si discrets ?

     

    Il y a plusieurs sujets sur lesquels nous préférons ne pas communiquer. D'ailleurs, si nous parlions de nos méthodes très ouvertement, les gens ne les comprendraient pas. De plus, nombre de talismans, de symboles et même de mots revêtent un pouvoir qu'il et nécessaire de n'utiliser qu'à bon escient. Je vous rassure, il n'y a rien de très spectaculaire, mais il s'agit néanmoins de techniques élaborées au fil des siècles et transmises de génération en génération. Aussi, conserver une part de secret nous assure qu'un emploi abusif de ces méthodes ne sera pas réalisé par des néophytes.

     

    Comme les tablettes, dans les séances de spiritisme ?

     

    Précisément. Ces objets jouent un rôle de « porte psychique » ; si les gens s'amusent à ouvrir la porte sans savoir vraiment ce qu'ils font... Eh bien, il est possible que surviennent ce que l'on appelle des cas de possession, et je vous assure que les personnes qui en font l'expérience peuvent le regretter. C'est comme jouer avec l'électricité – il faut savoir où l'on va, sinon on risque une décharge très pénible.

     

    L'intitulé de votre groupe associe les mots de « psychique » et d'« occulte ». Quelle différence faites-vous entre ces termes ?

     

    Les deux sont très étroitement liés. « Psychique » sous-entend des forces incomprises et « occulte » signifie littéralement quelque chose de caché, d'inconnu. Effectivement, beaucoup de personnes ne saisissent pas la nature des activités de notre groupement et pensent que s'intéresser à l'occulte consiste à faire de la magie noire. Il y a d'ailleurs de fréquentes équivoques dans le domaine du paranormal. La magie noire suggère par exemple de grandes bougies, des femmes nues, des orgies nocturnes... À l'inverse, une magie utilisée de façon bénéfique, pour aider ou guérir autrui, serait « blanche ». Quand nous parlons de magie, nous entendons simplement mettre à notre service uen force existant dans la Nature. Mais cette force n'est ni blanche, ni noire, elle est tout simplement neutre. Tout dépend, en définitive, des intentions de la personne qui l'utilise.

     

    On vous critique pour usage de « magie » ?

     

    Non. On m'a critiqué sur le vampire de Highgate, mais toute l'affaire est un tissu d'élucubrations médiatico-judiciaires.

     

    Que s'est-il vraiment passé à Highgate ?

     

    Au cours des années 70, on a commencé à parler d'une « entité » hantant le cimetière. Notre association s'est penchée sur l'affaire. Nous avons tenté d'établir un contact avec cette prétendue entité, que nous sentions réelle. Un jour que nous nous trouvions dans le cimetière, la police est arrivée sur les lieux ; je fus arrêté sous le prétexte d'être un « chasseur de vampire ». J'ai été relaxé mais les événements se sont ensuite précipités car l'affaire fit du bruit : des milliers de curieux sont alors venus au cimetière... provoquant des dégâts et faisant parfois du vandalisme. Cela devenait n'importe quoi. Puis, en 1974, un architecte regagnant sa voiture après avoir visité le cimetière trouva un authentique squelette assis à la place du conducteur. L'homme n'apprécia pas la surprise et porta plainte. Pour la police, j'étais le bouc émissaire idéal. Lors d'une perquisition à mon appartement, les policiers trouvèrent des photos de nos rites Wicca. Ils prétendirent que j'avais avoué utiliser le squelette pour des séances de magie noire, que quelqu'un m'avait surpris pendant son transport et que je m'en étais débarrassé dans la première voiture venue. Au tribunal, j'ai pu prouver que ce n'était que pure affabulation. Acquitté sur le principal chef d'accusation, j'ai malgré tout été tenu pour responsable des dommages causés au cimetière. Verdict : deux ans de prison.

     

    Qu'est-il advenu de l'entité de Highgate ?

     

    J'ai décidé de ne jamais retourner à Highgate. Mais il est possible que l'énergie s'y trouve encore puisqu'il n'y a jamais eu de véritable exorcisme du lieu. Or, quand une énergie psychique est reliée à un point quelconque de la Terre, elle y demeure tant qu'elle n'a pas trouvé le moyen de se diffuser.

     

    Étudiez-vous toujours ce genre d'affaires ?

     

    Oui. Il y a encore beaucoup de choses à apprendre sur le sujet, à l'image d'un immense iceberg dont on a découvert la partie émergée. La plupart des gens ne savent même pas que l'iceberg existe. Moi, au moins, j'ai fait les premiers pas.


    « Le fait de croire n'intervient pas dans mes recherches, c'est même quelque chose de dangereux. Mieux vaut comprendre : si l'on comprend quelque chose, il n'est nul besoin d'y croire. »

     

    Complément d'enquête

     

    La religion Wicca

     

    Paranormal:  L'enquêteur de l'occulte

     

    Au cours des années 1970, David Farrant devint un initié de Wicca, une religion polythéiste qui se dit essentiellement liée à la conscience humaine et à l'adoration de la Nature.

     

    « Il y a deux divinités » explique Farrant. « Les pouvoirs de la Nature sont symbolisés par une divinité féminine, la déesse mère, et une divinité mâle représentée par le Soleil. Pour moi, ces dieux sont surtout symboliques : le véritable message porte sur la célébration de la vie et de la fertilité. »

     

    En dépit de ce credo rassurant, les adeptes de Wicca ont mauvaise presse : on a associé leur culte à des pratiques de magie noire et de sorcellerie. « Nous n'avons aucun lien avec la magie noire ou le satanisme » se défend David Farrant. « Il est vrai que Wicca, comme toute religion, comporte une certaine mise en scène dans ses rites, mais cela n'a rien d'occulte. Les notions toutes chrétiennes du péché et du Mal sont étrangères à notre foi. »

     

     

    Point de vue


    Y avait-il un vampire au cimetière de Highgate ?

     

    Paranormal:  L'enquêteur de l'occulte

     

    Quelqu'un d'autre que David Farrant a cherché à percer le mystère de vampire de Highgate : Sean Manchester, actuellement évêque de la Old Catholic Church. Si David Farrant soutient que l'« entité » de Highgate n'était pas un vampire suceur de sang, Sean Manchester prétend lui avoir été directement confronté au vampire, dans le cimetière, en 1973, et avoir réussi à l'éliminer au terme d'une lutte. « En frappant de toutes mes forces, j'enfonçai le pieu dans le cœur de la créature » explique Manchester dans son livre The Highgate Vampire. « Elle poussa un rugissement terrible, comme surgi des entrailles de l'enfer... Sous nos yeux, l'enveloppe corporelle de la chose implosa et prit rapidement une couleur d'un brun répugnant... »

     

    Article paru dans le magazine Facteur X n°7 (1997).

    Pin It

    votre commentaire
  •  


    CHANGEMENT DE FRÉQUENCES

     

    Posté par clairsoleil33 le lundi, 09 décembre 2013 dans Expression Libre

     

     

    Paranormal:   CHANGEMENT DE FRÉQUENCES

    Christiane Dufaud


    Changement de fréquences

     

    IL y a des changements dans la matrice. C’est un peu flou et un peu vaste. Disons qu’en fait, un ensemble de fréquences changent. Pour le décrire plus facilement, on peut dire que c’est comme si chaque objet avait un ensemble de fréquences qui le définissent. C’est la même chose que des coordonnées dans l’espace. Plusieurs objets peuvent se trouver dans le même plan si par exemple, ils sont à la même altitude. De la même manière, plusieurs objets peuvent se trouver dans le même espace s’ils sont sur la même fréquence. Une partie de ces fréquences détermine comment deux objets peuvent interagir. Par exemple, votre chair est à la même fréquence que les objets qui vous entourent, autrement, vous pourriez par exemple passer à travers ou ne pas subir la gravité ou les voir comme lumineux, etc. En fait, ces fréquences sont changeantes, c’est sans doute ainsi que des rapports considérés comme fixes entre les caractéristiques des particules élémentaires sont en fait changeants. Il y a ainsi des rapports de masses entre certaines familles de particules qui peuvent changer très légèrement. En fait, toute la physique dépend sans doute de ces fréquences et pour décrire un objet, en plus de ses coordonnées spatiales et du temps, il faudrait sans doute définir une quinzaine de fréquences qui déterminent sa capacité à interagir avec d’autres objets selon la similitude entre ces fréquences.

     

    Globalement, c’est ainsi que des chasseurs de fantômes jouent à détecter des présences. Ces présences ne vibrent pas à la même fréquence que le monde matériel, mais conservent un ensemble de fréquences qui leur permet d’interagir dans une certaine mesure avec celui-ci. Par exemple, certaines personnes utilisent des thermomètres laser pour détecter les changements de température, donc l’engourdissement ou l’excitation que produisent des spectres. D’autres cherchent la trace électromagnétique de ces mêmes présences ou encore utilisent des pendules, baguettes, cristaux. C’est le signe au fond, qu’il n’est sans doute pas nécessaire d’être parfaitement aligné en fréquence avec un autre objet pour l’influencer. On peut sans doute se dire que par l’effort conscient, l’esprit (qui lui-même est porté sur son propre ensemble de fréquences) peut se déplacer pour interagir avec un univers ou l’univers voisin, il peut aussi interagir avec la matière de la même manière, ou communiquer avec d’autres esprits ainsi. On a ainsi rapidement une base commune pour la compréhension de la télépathie, de la télékinésie, des poltergeist etc. C’est tout simplement le principe du micro-onde, sauf qu’au lieu de simplement faire vibrer les molécules d’eau, on va pouvoir interagir avec une vaste gamme d’objets.

     

    C’est ainsi aussi que ce qui semble solide pour l’esprit incarné est tout à fait pénétrable pour le désincarné, et inversement. Si trop peu de fréquences sont proches alors les possibilités d’interactions sont limités. Par l’effort, on peut changer la fréquence de son point de conscience et aller vers des fréquences plus hautes ou plus basses, ou changer artificiellement de fréquence pour attirer à soi ce que l’on souhaite. C’est un moyen efficace mais temporaire d’utiliser la loi d’attraction, car l’esprit ne peut pas simuler une vibration qui n’est pas la sienne très longtemps. Cela ne devient véritablement efficace que lorsqu’on s’habitue à un nouvel environnement vibratoire et qu’on adopte les pensées qui correspondent.

     

    En fait, en ce moment, il semble que les fréquences du monde matériel changent. Elles varient et ainsi, elles permettent aux gens de retrouver leurs capacités naturelles d’esprits. Il y a un développement certain et généralisé des ressentis (sensations qui semblent physiques, mais sont énergétiques), des aptitudes (guérison, télépathie, prémonition, vision à distance, etc.) ou encore de la capacité à matérialiser ses pensées en tant que synchronicités et autres manifestations. En parallèle, il y a le fait que d’autres plans et entités néfastes y habitant se rapprochent du nôtre et que les gens sont ainsi pollués. C’est pour cela que les gens sont de plus en plus irritables, impatients et que le nombre de crimes à haut degré de violence (avec cannibalisme par exemple) augmente. On ne compte plus le nombre de cas de pétages de plomb avec meurtres puis amnésies qui sont le fait d’entités prenant temporairement le contrôle des individus. Soit elles sont externes, soit elles sont internes (côté sombre de chacun).

     

    Le fait que l’on vive dans un environnement changeant nous rend plus fragiles. On peut devenir davantage sujets à des pollutions venant d’autres. Par exemple, le stress des autres peut devenir très envahissant parce qu’on se retrouve soudainement avec une boule au ventre simplement parce qu’on a récupéré les vibrations de la personne qui nous parlait il y a trente secondes. C’est l’aspect négatif qui vient avec ces évolutions de fréquences, comme les aptitudes se développent, les gens ressentent mais ne comprennent pas. Il est facile de détecter pourtant une énergie étrangère : c’est la seule à laquelle on ne peut pas associer une raison d’être. Lorsque vous êtes contrariés, vous savez pourquoi. À l’opposé lorsque vous n’avez fait que récupérer les énergies d’une autre personne, vous ne pouvez associer les sensations à une situation et vous ne pouvez agir dessus comme vous réagissez à vos propres sensations pour revenir à l’équilibre.

     

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

    POLTERGEISTS

     

     

    Posté par  Angélique le samedi, 07 décembre 2013 dans Paranormal

     

    Paranormal:  Poltergeists

     

    « Certains états psychiques sont tels [dans les poltergeist] qu'il y a interférence avec la pesanteur, la lumière, les ondes sonores, les odeurs, les états différents de la matière. »

    Jean Michaux, écrivain

     

     

    Bien plus agressifs que les fantômes, les poltergeists peuvent s'attaquer aux biens comme aux personnes. Plusieurs cas attestent de la réalité de ces « esprits frappeurs ». Pouvoir de l'esprit ou pouvoir des esprits ?

     

    Les premières anomalies surviennent au mois d'août 1992 : dans la pavillon préfabriqué où vivent les Griggs, à Portsmouth (Angleterre), les meubles commencent à changer de place tout seuls. Puis – signes classiques de troubles liés à des poltergeists, ou « esprits frappeurs » - des odeurs nauséabondes et des bruits venus de nulle part s'installent dans la maison. Une pièce du rez-de-chaussée semble être le centre des manifestations. La famille, effrayée, l'évite.

     

    En désespoir de cause, Mme Griggs fait appel à un prêtre et à un médium. Les deux hommes s'accordent sur l'origine des phénomènes : selon eux, la petite Jasmin Griggs est apparemment possédée par l'esprit d'un précédent locataire...

     

    Paranormal:  Poltergeists

     

    L'hypothèse se confirme le jour où Jasmin commence à s'exprimer par de rauques intonations d'adultes. Régulièrement, la fillette répond à sa mère avec des accents gutturaux, proches du parler du nord de l'Angleterre. On fait alors appel à deux autres médiums qui parviendront à identifier la « présence » d'un homme nommé Percy, justement originaire de cette partie du pays.

     

    Surmontant le désespoir que suscite l'ignoble emprise qui s'exerce sur sa fille, la courageuse Mme Griggs va retrouver des forces dans l'action : elle soumet aux autorités locales les conclusions émises par les spécialistes du paranormal appelés à la rescousse. Elle refuse notamment de payer son loyer tant que les nuisances occasionnées au foyer familial ne seront pas « réparées ». Sa requête est toujours en cours d'examen...

     

     

    L'HYPOTHÈSE DE LA PSYCHOKINÉSIE

     

    Les esprits frappeurs ne sont pas un phénomène nouveau. Un cas a été signalé en Chine aux alentours de l'an 900 de notre ère. Une autre affaire, plus lointaine encore, eut pour cadre l'ex-Empire romain, en 530 après J.C. Plus près de nous, un phénomène de poltergeist anima la dernière rencontre entre Sigmund Freud et son disciple Carl Jung.

     

    Paranormal:  Poltergeists

     

    Les deux hommes s'étaient réunis en tête à tête, dans la demeure viennoise de Freud, pour tenter une dernière fois d'accorder leurs points de vue au sujet de l'inconscient. Loin de parvenir à un compromis, leur rencontre devint houleuse et même orageuse. Les deux génies en venaient aux invectives et aux anathèmes quand leurs échanges furent brusquement interrompus par des coups violents, frappés contre le mur qui les séparait de la bibliothèque. Interloqués, ils allèrent voir de quoi il retournait, mais ils ne trouvèrent personne dans la pièce voisine. Jung, qui croyait aux phénomènes occultes – notamment à la psychokinésie et à la réincarnation – considéra cet incident comme une manifestation psychokinétique spontanée. Freud refusa toute explication parascientifique : ce débat, qui fut le dernier entre les deux psychologues, consomma non seulement la rupture entre le maître et l'élève, mais ouvrit également deux courants opposés dans l'histoire de la psychanalyse.

     

    Le terme de « poltergeist » - un mot d'origine allemande signifiant « esprit bruyant » - est très approprié pour désigner un phénomène s'accompagnant fréquemment de bruits aussi forts qu'étranges. Principale différence entre les poltergeists et les fantômes : dans le premier cas, le phénomène s'attache généralement à une personne plutôt qu'à un lieu. Là où se déplace la personne « épicentre », l'activité poltergeist suit. Plus précisément, ces phénomènes d'esprits frappeurs sont souvent reliés à une personne jeune, de sexe féminin, généralement dans une situation de stress.

     

    Andrew Green, célèbre enquêteur dans le domaine du paranormal, connaît bien ce lien entre l'activité poltergeist et les jeunes personnes. Il considère néanmoins, à la lumière de ses nombreuses investigations, qu'il n'y a pas d'explication passe-partout. Il est convaincu que l'activité poltergeist relève en fait de la psychokinésie, c'est-à-dire la capacité de déplacer les objets et de produire des bruits par la seule pensée. Andrew Green soutient que ces phénomènes peuvent être générés inconsciemment par des personnes des deux sexes, dès l'âge de 3 ans jusqu'à la fin de la quarantaine. Le plus souvent, on relève un traumatisme psychique chez le sujet. Pour étayer cette thèse, Green cite l'un des cas sur lesquels il a enquêté : l'affaire Johnson.

     

    LE MOINE-FANTÔME

     

    Les époux Johnson s'inquiètent de l'étrange comportement de leur garçon, âgé de 4 ans. L'inquiétude grandit au point de soupçonner la présence d'une entité surnaturelle car, dans la maison, des craquements se manifestent, des objets semblent se déplacer tout seuls et des appareils électriques cessent de fonctionner sans raisons. Toute cette activité paraît être concentrée autour de l'enfant.

     

    Le père du garçon, Tom Johnson – qui vient d'être licencié – et sa femme Julie, incriminent des phénomènes paranormaux. Julie affirme même avoir vu le « fantôme d'un moine glissant sans bruit le long de l'escalier ». En juin 1983, les époux Johnson sont au bord de l'hystérie quand ils sont mis en rapport avec Andrew Green. Avant de se rendre au domicile des Johnson, à Gravesend, dans le Kent, ce dernier compulse sa documentation sur l'endroit. Il ne découvre aucun lien historique entre l'emplacement du pavillon et une quelconque communauté religieuse. L'affaire moine-fantôme lui paraît peu plausible. Il pense plutôt que Julie Johnson a été abusée par son imagination, stimulée par des phénomènes inexplicables. Selon Green, l'ensemble des signes décrits – sons étranges, caprices des appareils ménagers, légers mouvements de petits objets, famille en état de stress – indiquent qu'il ne s'agit pas d'un phénomène de fantôme mais peut-être de « psychokinésie récurrente spontanée », généralement associée à un membre de la famille en état de déséquilibre mental.

     

    POUVOIRS DE L'ESPRIT

     

    Lorsque Green rencontre les Johnson, il devine tout de suite que le problème n'est pas uniquement d'ordre surnaturel mais implique le psychisme de leur jeune fils. Green pense que l'activité poltergeist a été déclenchée par un sentiment de mal-être du petit garçon, négligé par ses parents. Les Johnson vivent en effet dans un climat familial tendu ces derniers temps. Sur les conseils de Green, tous vont s'efforcer de rétablir des relations familiales normales. Effectivement, peu de temps après, l'activité poltergeist – moine-fantôme y compris – disparaît. D'après Green, ce cas illustre comment les pouvoirs de l'esprit peuvent déboucher sur une manifestation surnaturelle.

     

    William Roll, un parapsychologue américain, rejoint en partie cette analyse. Il a constaté que « sur 92 affaires d'activité poltergeist centrée sur une personne, quatre des épicentres supposés étaient épileptiques ». Après l'étude des travaux de Roll, Green reconnaît que certaines affaires de poltergeist peuvent avoir un rapport avec l'épilepsie. Le sujet atteint de cette maladie, siégeant dans le lobe temporal, perd conscience pour une période variable – d'une minute à une demi-heure –, et certains pouvoirs de son esprit pourraient être libérés et produire des phénomènes psychokinétiques. Cependant, comme Roll l'a constaté, l'épilepsie n'intervient que dans un faible pourcentage de cas.

     

    POLTERGEIST ET SCHIZOPHRÉNIE

     

    À la lumière de ces travaux, Green a mis en évidence la possibilité d'un lien avec un autre type de troubles psychiques : la schizophrénie. L'une de ses premières enquêtes, en 1956, concernait une jeune fille de 15 ans vivant à Battersea, un quartier du sud de Londres. Shirley Hitching pouvait produire à la demande des sons frappeurs longs et bruyants. Elle expliqua à Green et aux deux journalistes qui l'accompagnaient que les sons provenaient de Donald, son « polty » (poltergeist). « Quelques jours après avoir rencontré Shirley, j'ai eu la surprise de recevoir une lettre de quatre pages de son « polty », et plus tard une carte de Noël » se rappelle Green. « J'ai demandé à Shirley comment une entité invisible pouvait écrire une lettre, acheter un timbre au bureau de poste et déposer l'enveloppe dans une boîte aux lettres. Elle répondit calmement : "Il faudra que je pose la question à Donald". Mais je ne reçus cette fois aucune réponse. Trois psychologues spécialisés confirmèrent que la lettre avait été écrite par une personne atteinte de schizophrénie, ou pour le moins sujette à un grave désordre mental. »

     

    Plus significative est une célèbre affaire qui survint également en Angleterre. L'enquête réalisée par le parapsychologue Maurice Grosse dans un pavillon d'Enfield fit d'ailleurs l'objet d'un livre écrit par un certain Guy Playfair. Voici un résumé de ce cas surprenant.

     

    Pendant 14 mois, à partir de la fin août 1977, le domicile de Mme Peggy Hodgeson est la proie d'une activité poltergeist centrée autour de Janet, sa fille âgée de 11 ans. Le mobilier familial subit d'importants dégâts : plusieurs meubles sont déplacés violemment en différentes parties de la maison. Des graffitis apparaissent spontanément sur les murs, et l'on voit de l'eau sourdre ici et là...

     

    Paranormal:  Poltergeists

     

    Peggy Hodgeson se baisse pour éviter un jouet (une petite brique) projeté par une force invisible. Il ne s'agit que d'un incident parmi les centaines qui se produisirent, devant témoins, dans sa maison d'Enfield, au nord de Londres.

     

    Ces phénomènes sont la une de nombreux journaux du monde entier, et pour cause : ils peuvent en effet être observés par de nombreux témoins, y compris par la police, par des scientifiques et des enquêteurs spécialisés.

     

    Après plus d'un an, les troubles d'Enfield s'arrêtent de façon aussi mystérieuse qu'ils avaient commencé. On ne sait toujours pas s'il s'agissait d'une véritable activité poltergeist ou de psychokinésie récurrente spontanée, produite inconsciemment par Janet Hodgeson à une période difficile de sa vie.

     

    Paranormal:  Poltergeists

    Janet Hodgeson et Maurice Grosse

     

     

    POLTERGEIST ET GLANDE PINÉALE

     

    Gary Playfair, le biographe de cette affaire, va échafauder sa propre théorie sur la source de l'énergie poltergeist : la glande pinéale. Située au centre du cerveau, cette glande contrôle l'émission des hormones sexuelles. Selon Playfair, cette glande peut, au cours de la puberté, sécréter des « hormones générant une énergie créatrice. Lorsque l'enfant se sent doté de cette nouvelle force, il lui faut un exutoire. À défaut, cette énergie disponible pourra être captée par des « entités maraudeuses », qui se l'approprient pour leurs propres fins ». Plus schématiquement, Playfair compare cette énergie à une sorte de « football psychique ». « Arrivant sur les lieux deux ou trois esprits aperçoivent le « ballon » qui est là. Il font alors ce que ferait n'importe quel groupe de gamins : ils tapent dedans et s'amusent avec, brisant des vitres et provoquant une hilarante pagaille ! »

     

     

    CRÉATION D'UN POLTERGEIST

     

     

    Paranormal:  Poltergeists

     

    La thèse de Playfair sous-entend que les incidents poltergeist résultent de l'activité d'une entité intelligente, d'une forme d'esprit malin qui cherche à détruire ou à « posséder ». Pour Andrew Green, au contraire, les incidents poltergeist procèdent uniquement de l'inconscient : ils refléteraient les pouvoirs créateurs et de mise en scène auxquels le sujet fait appel pour gérer des émotions réprimées et des conflits émotionnels.

     

    En 1972, à Toronto, au Canada, une fascinante série d'expériences est entreprise pour tenter de démontrer l'origine humaine des phénomènes de psychokinésie récurrente spontanée. Huit membres de la Société Canadienne pour la Recherche Psychique créent, avec leur énergie mentale, un personnage totalement imaginaire du XVIIè siècle qu'ils nomment Philip. Après plusieurs mois de séances hebdomadaires, « Philip commence à communiquer en frappant sur une table et en la faisant bouger ». Il est même capable d'en provoquer la lévitation devant les caméras de télévision !

     

    Cette première affaire de psychokinésie récurrente spontanée induite marque un tournant en matière de recherche paranormale. Hélas, l'expérience ne sera jamais validée. Impossible en effet de prouver que les chercheurs ont réellement provoqué la psychokinésie, sans être à leur insu les jouets d'un poltergeist. Une « entité maraudeuse » intervenant dans une expérience visant à réfuter son existence, quelle ironie !

     

     

    L'ESPRIT D'ASSURANCE

     

    D'autres tentatives scientifiques pour expliquer la cause de la psychokinésie récurrente spontanée restent vaines. Les tests effectués sur Janet Hodgeson, la jeune fille au centre de l'affaire d'Enfield, n'ont fait que souligner que ce sujet possédait des capacités extraordinaires en matière de perceptions extrasensorielles... sans pour autant parvenir à expliquer le phénomène.

     

    Inexpliqué mais réel : en 1944, une compagnie d'assurances britannique, la Commercial Union, accepta en effet de verser 400 livres sterling en réparation de dégâts immobiliers constatés dans une HLM écossaise. La compagnie avait délégué deux enquêteurs chargés d'évaluer la réalité des phénomènes poltergeist supposés responsables des dégâts. Après deux semaines seulement, ils en avaient vu assez pour admettre le bien-fondé de la demande et préconiser un dédommagement de 50% du sinistre !

     

    Si le concept d'entité surnaturelle n' pas troublé outre mesure le sens des affaires d'une compagnie d'assurances, les chercheurs spécialisés en matière de paranormal s'échinent toujours à prouver l'origine du phénomène poltergeist : serait-il issu d'une vie au-delà de la mort ou des fantastiques capacités de l'inconscient, en grande partie inexplorée ? La recherche continue pour élucider une question pleine d'esprit.

     

     

    TÉMOIN

    MAURICE GROSSE

     

    Paranormal:  Poltergeists

     

    Chercheur ayant assisté à un grand nombre de phénomènes liés à la psychokinésie spontanée, Maurice Grosse a participé à l'enquête sur le poltergeist d'Enfield, en 1977.

     

    « J'ai vu des billes projetées à travers la pièce s'arrêter tout net sur le plancher, sans rebondir... comme si une main invisible les avait posées là. Et quand on les touchait, les billes étaient chaudes. Puis de gros meubles commencèrent à se déplacer, jusqu'au jour où, sous nos yeux, un canapé se renversa complètement. De l'eau suinta sur le plancher de la cuisine, et dessina les contours d'un nain. Des pots de fleurs s'alignèrent au milieu de la pièce, et des graffitis apparurent sur les murs. Il y eut aussi des débuts d'incendies, des odeurs très fortes, et des endroits particulièrement froids dans la maison. Il s'agissait d'une activité typique de psychokinésie, mais l'ampleur de cette affaire a changé ma façon de voir la vie après la mort. »

     

    ANALYSE

    LA PETITE HANTISE

     

    Le mot hantise recouvre l'ensemble des manifestations psi qui se produisent dans un lieu déterminé. La grande hantise, avec apparition de fantômes, est rattachée à un endroit spécifique, parfois historique, et peut être récurrente.

     

    Paranormal:  Poltergeists

     

    La petite hantise, limitée à des phénomènes physiques, est le plus souvent liée aux problèmes psychiques d'un adolescent en pleine puberté (un deuil, une mésentente familiale). Le poltergeist correspond à la petite hantise. La présence de l'adolescent catalyserait de façon inconsciente la production de ces manifestations avec de l'énergie prélevée dans l'environnement. Ce qui expliquerait la sensation de froid ressentie par les témoins – alors que les objets déplacés, eux, seraient chauds – comme les perturbations magnétiques, électriques ou électroniques constatées.

     

    C'est l'officier de gendarmerie français Emile Tizané qui, le premier, attira l'attention des chercheurs sur la fréquente présence d'un adolescent ou d'une adolescente en difficulté dans les cas de poltergeist.

     

    Sur la base de centaines de témoignages recueillis en un-demi siècle, il a conclu que « dans le poltergeist, la force inconnue est indépendante su sujet. C'est en quoi le poltergeist est différent des lévitations et des craquements provoqués par les médiums. »

     

    ARGUMENT

    APPELS FANTÔMES

     

    Peu de victimes de poltetgeists sont conscientes que ces manifestations sont peut-être de leur fait.

     

    L'épicentre de l'affaire Rosenheim, qui se déroula en Bavière, de 1967 à 1968, était la jeune Annemarie Schaberl, âgée de 18 ans. Peu de temps après son entrée comme secrétaire dans le cabinet de l'avocat Sigmund Adam, les premiers phénomènes apparurent. Sur le passage d'Annemarie, les fils électriques des plafonniers se balançaient et les ampoules avaient tendance à exploser, les débris de verre se dirigeant alors toujours vers elle. Autres problèmes : le dysfonctionnement du téléphone, qui enregistrait un nombre incroyable d'appels alors que personne ne l'utilisait, un tableau se déplaçant tout seul et une armoire de 175 kg, située près d'Annemarie, qui s'écarta spontanément du mur à deux reprises.

     

    Quand la jeune fille quitta le cabinet, qui avait subi des dégâts considérables, tout redevint normal.

     

     

    COMPLÉMENT D'ENQUÊTE

    DES CAS RÉCENTS EN FRANCE ET EN BELGIQUE

     

    Parmi les derniers cas relevés en France, il faut citer la bombardement par des pierres de la clinique d'Arcachon, en 1963, affaire sur laquelle le professeur Tocquet, de l'Institut Métapsychique International, a réalisé une très sérieuse enquête.

     

    Au début des années 80, les habitants d'une maison normande, près de Lisieux, aperçurent des pommes venues du grenier qui « atterrissaient » dans la salle de séjour après avoir « traversé » la porte.

     

    Citons également le cas de la maison « qui saigne » à St-Quentin (Aisne), en 1986, et celui de la maison « qui n'oublie pas » à Montbazon (Indre-et-Loire), où les phénomènes de poltergeists ont duré de 1987 à 1989.

     

    En Belgique, le plus célèbre cas est celui vécu par les époux Dubart, habitant Arc-Wattripont. Le 5 janvier 1993, vers 20h, des phénomènes bizarres se déclenchent dès l'arrivée dans la maison d'Eric Barbe, le petit ami de leur fille : le lourd buffet se déplace, une desserte s'agite, des objets s'envolent et semblent converger vers Eric. Venu sur place, un ecclésiastique anglican, Monseigneur Meurant, décide d'exorciser le sujet « infesté » ainsi que la maison. Les phénomènes disparurent après cet exorcisme... et l'éloignement du galant.

     

    Article paru dans la magazine Facteur X n°7, 

      

    Pin It

    votre commentaire
  •  

     

    Souvenez-vous de Pearl Harbor

     

    Paranormal:  Souvenez-vous de Pearl Harbor

     

     

    Un matin du 7 décembre 1939, on découvrit un étrange graffiti sur un trottoir devant le lycée de Owensville en Indiana.

     

    L’inscription était écrite en lettres énormes. En cette année, la population pensa à un simple acte de vandalisme ou une blague de collégien. En effet, la phrase ne voulait absolument rien dire, car on pouvait lire : »souvenez-vous de Pearl Harbor ! ».

     

    On ne trouva jamais le responsable et cette anecdote fut vite oubliée.

     

    Deux ans plus tard, les Japonais attaquaient sans prévenir la base navale américaine de Pearl Harbor.

     

    « Souvenez-vous de Pearl Harbor ! » devint alors le cri de guerre de toute l’Amérique.

     

    V.Battaglia (04.2005)

     

    Pin It

    votre commentaire
  •  

    Visages de Bélmez

     

     

    Par une chaude matinée du mois d’août 1971, dans le sud de l’Espagne, une vieille femme et son petit-fils étaient assis dans leur cuisine quand le petit enfant poussa des cris d’excitation. Pour lui, sa découverte n’était qu’un nouveau jeu. Par contre, l’apparition allait terrifier sa grand-mère et donner naissance à une énigme qui demeure non résolue.

     

    Des visages sur le carrelage

     

    Ce qu’avait vu l’enfant, c’était un visage humain qui, spontanément s’était dessiné sur le carrelage rose de la cuisine. C’est un visage aux traits incertains, mais empreint d’une grande tristesse.

     

    Quand les habitants essayèrent de l’effacer, ils s’aperçurent avec horreur que les yeux ne faisaient que s’agrandir, laissant paraître le visage plus désespéré encore.

     

    Inquiet, le propriétaire arracha le carrelage et le remplaça par du ciment. Trois semaines après, un nouveau visage se dessina, plus nettement encore.

     

    L’affaire débordait maintenant du cadre du petit village. Les autorités locales s’en mêlèrent. On ôta une partie du sol et des ouvriers creusèrent, mettant finalement au jour les vestiges d’un cimetière médiéval.

     

    Sur ces entrefaites, s’était produite une troisième apparition, puis une quatrième, enfin plusieurs visages se dessinèrent d’un coup sur le sol.

     

    Paranormal:  Visages de Bélmez

     

    La cuisine fut fermée et la porte scellée. Quatre nouveaux visages se formèrent, dont celui d’une femme, dans une autre pièce de la maison.

     

    Ce devaient être les dernières. Les apparitions cessèrent aussi brusquement qu’elles avaient commencé.

     

    L’avis des experts en paranormal

     

    Des experts de toutes sortes avaient bien sûr afflué dans le village. Les plus sceptiques d’entre eux se montrèrent incapables de faire la preuve d’une intervention humaine.

     

    On décida alors d’installer dans la maison des micros ultra-sensibles.

     

    Les appareils détectèrent des sons inaudibles à l’oreille humaine. On entendit des voix s’exprimant dans des langues inconnues et des gémissements douloureux.

     

    Paranormal:  Visages de Bélmez

     

    A ce jour, nul n’a fourni d’explications satisfaisantes aux Visages de Bélmez. Tout ce que les experts avancèrent fut que la maison avait été autrefois le théâtre de quelque événement tragique, peut-être en rapport avec la sorcellerie.

     

    V.Battaglia (8.11.2005)

     

    Pin It

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique